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  • Le Concept Store, ou l’art du concept…

     

     

    Dans Concept Store, il y a Store. Mais pas seulement… Il y a Concept, aussi. Donc, un Concept Store, c’est littéralement un commerce à thème. Un genre de boutique à plusieurs pièces, où l’on vend des articles de familles différentes dans chaque pièce : livres, café ou jus d’orange, objets de papeterie originaux, vêtements, meubles design, galerie d’exposition d’art… L’idée, c’est d’y passer un agréable moment, comme à la maison. On va dans la chambre prendre un gilet. On redescend par l’escalier, où trônent de nombreux tableaux de famille et des photos. On va à la bibliothèque prendre un livre, puis dans la cuisine se préparer un thé, et on s’assoit dans un fauteuil du salon.

    Une seule obligation : tous ces articles vendus doivent avoir un lien entre eux. Un thème (les fleurs), une philosophie (le commerce solidaire), un matériau (le bois), une origine (la Chine), un style (post-moderne). Autre contrainte : innover dans le domaine de la mise en scène et du marketing. Le décor et l’atmosphère du lieu sont essentiels : vieil immeuble du XIXe siècle, petite voie pavée, plantes tropicales, musique branchée…

    Le pionnier du Concept Store en France fut « colette », avec l’ouverture en 1997 de 700m² de surface de vente, Rue St-Honoré à Paris. Des vêtements et des articles de mode, tous griffés de la célèbre marque. On parle alors davantage de « vaisseau amiral » entièrement dédié à une marque, dont la vocation reste uniquement l’image de la marque et son pouvoir d’attraction. Diversifier l’offre et le nombre d’objets à vendre pour attirer davantage de clients, qui se laisseront tenter par un stylo alors qu’ils sont venus acheter une écharpe.

    Autre Concept Store réputé : « Merci », ouvert en 2009 par Bernard et Marie-France Cohen, les fondateurs de Bonpoint, après trois longues années de travail sur le projet. 1 500 m² dédiés à la mode et à la maison, avec bien sûr un café littéraire et une cantine chic pour faire une pause grignotage, sans oublier le fleuriste. Sa particularité : 100% des bénéfices sont reversés à des associations humanitaires de Madagascar. Et une grande partie des produits sont issus du commerce solidaire, ou estampillés développement durable.

    On compte ainsi cinq Concept Stores incontournables dans le monde :

    Colette à Paris
    10 Corso Como à Milan : un résumé de tout ce que l’Italie compte de plus tendance.
    Opening Ceremony à New -York, roi du happening.
    ✓ The Corner à Berlin, en Allemagne, pays où l’on compte le plus grand nombre de Concept Stores.
    Villa Daslu, Sao Paulo : un temple du luxe au Brésil.

    Au-delà de ces usines gigantesques à consommer, il reste le concept, et on trouve à Paris comme dans de nombreuses villes de Province des tas de petits Concept Stores aux ambiances intimistes et chaleureuses, ouverts par des passionnés d’art, de littérature, de musique, de déco. On passe y faire un saut, prendre un café, feuilleter un bouquin, acheter des assiettes marrantes, découvrir de nouveaux tableaux d’artistes. Si vous connaissez l’un de ces lieux magiques, écrivez-nous ! Nous ne manquerons pas de lui consacrer un article pour le faire connaître.

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Les nouveaux concept stores

     

     

     

  • Au temps de Klimt à la Pinacothèque de Paris

     

    La Pinacothèque consacre une exposition à Gustav Klimt du 12 février au 21 juin 2015. Grand représentant de l’Art Nouveau à Vienne, Klimt est l’un des pères de la Sécession viennoise : la Pinacothèque de Paris revient sur sa carrière en 180 œuvres !

    L’exposition Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne revient ainsi sur le développement de l’art viennois de la fin du XIXe siècle. Un renouveau s’opère alors dans les arts à Vienne, grâce à l’Union des Artistes Figuratifs, qui veulent offrir à « l’art autrichien une reconnaissance internationale à laquelle il aspire ».

    L’émancipation artistique de Gustav Klimt se fait en 1898, avec le célèbre tableau « Pallas Athena« , utilisé comme affiche pour la première exposition de la Sécession la même année. Gustav Klimt sera critiqué pour son œuvre jugée trop érotique, et en particulier du fait de l’utilisation de formes phalliques dans la représentation de ses femmes fatales.

    Si l’exposition à la Pinacothèque se concentre sur l’oeuvre de Klimt, elle présente aussi les travaux qui ont inspiré son œuvre, ceux de Max Kurzwell, Théodor Hörmann ou bien Carl Schuch, ainsi que les grands chefs d’oeuvre de la Sécession et de l’avant-garde autrichienne.

    Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
    Du 12 février au 21 juin 2015
    Lieu : Pinacothèque 2
    Horaires : 10h30 à 18h30 tous les jours, mercredis et vendredis jusqu’à 21h
    Tarifs : 13.00 € (tarif réduit 11.00 €)

     

     

    Gustav Klimt 000

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Pinacothèque de Paris

     

     

  • Mommy (2014) : l’amour d’une mère…

     

    Waow… Mommy est un film incroyablement puissant. On sort de là complètement secoué, comme après être passé dans le tambour d’une machine à laver. Autant d’émotions condensées en 2h de temps, ça ne laisse pas indemne. Coeurs sensibles, vous voilà prévenus !

    Diane est la mère d’un adolescent hyperactif, dont il faut gérer les crises de violence brusques et dévastatrices. Elle possède en elle une telle force, un tel concentré de volonté, un pouvoir de résistance hors du commun, qui la transforment en héroïne du quotidien. Portée par l’amour pour son fils, elle affronte, l’une après l’autre, ses crises, aidée par l’amitié de sa voisine. Ce film est aussi un plaidoyer pour le droit à la liberté et à la différence. L’urgence de profiter, la tension créée par la crainte que tout bascule, nous prend aux tripes.

    Xavier Dolan, le réalisateur, n’a que 25 ans, et déjà cinq films à son actif. Il signe là un OVNI dans le paysage cinématographique, servi par une très bonne BO. On sort de la salle en état de choc, totalement bouleversé par des acteurs époustouflants, dont Antoine-Olivier Pilon qui crève l’écran. Avec aussi la curiosité de découvrir les autres films de ce réalisateur prodige, dont « Tom à la ferme » (2013) ou « J’ai tué ma mère » (2009).

     

     

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    Mommy 002

     

     

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  • Hi, I am Nile Rodgers

     

     

    « Good times are here again » ! En juin 2015, Warner Bros. Records publiera le nouvel album studio de Chic feat. Nile Rodgers. Cette sortie, qui met fin à 23 années d’absence dans les bacs, depuis « Chic-ism » (1992), est précédée du premier extrait de l’album, « I’ll Be There », dévoilé le 20 mars dernier.

    A cette occasion, Nile Rodgers revient avec un bioclip de deux minutes sur 45 ans de carrière, depuis sa rencontre en 1970 avec l’autre moitié de Chic, le bassiste Bernard Edwards, décédé en 1996, et ses dernières collaborations en date avec Daft Punk, Sam Smith ou encore Disclosure.

    Nice…

     

    Hi, I am Nile Rodgers…

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    Chic – I’ll Be There (UK Version)

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    Chic – I’ll Be There (Extrait)

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    Chic – Good Times (The Jonathan Ross Show March 21)

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nile Rodgers Official

     

     

     

  • TheYellowBeats : Echoes InD

    TheYellowBeats : Echoes InD

     

    The Yellow nous revenait le 14 mars avec son dernier EP, Echoes InD. Avec cet album, qui s’avère être le prolongement du précédent, Illusion, sorti en janvier, Manu Alias continue à explorer un genre musical qui lui va finalement comme un gant, à savoir un son downtempo lancinant, psychédélique et planant, mâtiné de folk, de blues, voire de soul.

    Mais avec Echoes InD, un deuxième niveau de lecture apparait en filigrane, comme dans tout bon vieux concept album qui se respecte. Car avec Echoes InD, on parle bien d’un concept album… D’abord, cet écho, présent en fond sonore sur tous les morceaux, les liant les uns aux autres. Et puis, cette note, D. Ou Ré, suivant qu’on se réfère au mode de notation utilisé dans les pays à tradition catholique, note sur laquelle reposent toutes les compositions de l’album. Ré, comme Resonare fibris, dans l’Hymne de Saint-Jean Baptiste.

    Pour tout dire, Echoes InD résonne à la perfection… Et qui dit résonner dit durer, souhaitons donc à The Yellow de continuer à résonner encore longtemps à nos oreilles.

    Nous profiterons de l’occasion pour préciser que l’album Echoes InD est la première production d’Instant City… D’autre part, saluons le superbe travail de Nadia aka La GazL, qui a composé la pochette de l’album.

    A découvrir…

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] TheYellowBeats Official

     

     

     

  • La sortie de la semaine : « Dear White People »

     

    « Dear White People », c’est le titre d’une émission de radio durant laquelle une étudiante métisse, Sam, se moque des préjugés des étudiants blancs à l’égard des noirs sur le campus.

    L’affiche est alléchante : Coup de cœur à Sundance, prix spécial du jury. Mais la critique est mitigée : coup de maître pour certains, pâle copie sans saveur du cinéma de Spike Lee pour les autres. Pourtant, le film un énorme succès aux Etats-Unis.

    L’histoire raconte les relations entre étudiants noirs et blancs sur un campus américain. Quatre étudiants noirs font face aux clichés et caricatures véhiculés par leurs congénères blancs, qui ont organisé une soirée déguisée « Afro ». Il est question, vous l’aurez compris, d’identité raciale dans la toute nouvelle Amérique d’Obama.

    Pour voir le film, branchez la radio !

     

     

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    Dear White People 004

     

     

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  • Festival Bouche à Oreille : Le Jazz en Ballade

     

    La sixième édition du festival de Jazz Bouche à Oreille (le JazzMaine) se tiendra du 22 au 25 mai 2015 à Bouchemaine, petit village de 6 500 habitants en bord de Loire, à seulement 10 km au sud de la capitale angevine, et à moins de 2h de Paris.

    Pendant quatre jours, lors du week-end de la Pentecôte, vous pourrez vous régaler à écouter tous ces musiciens de jazz, groupes, jeunes amateurs locaux, ou encore têtes d’affiche internationalement connues.

    Particularité de ce festival : les concerts ont lieu en plein air, dans les parcs, les jardins privés, les places du village ou les bords du fleuve.

    A l’occasion de cette édition 2015, à noter qu’un défi sera à relever… Sur les 10 km qui séparent Angers de Bouchemaine, en bord de Loire, des musiciens seront installés tous les 100 mètres, soit une centaine, qui joueront de 10h30 à 13h00 sur le thème de « l ‘improvisation ».

    Thème de cette 6ème Edition = Les Batteurs

    Tarifs = 55 euros le Pass (4 jours) ou 30 euros la journée (dimanche).

     

     

    Festival BAO 002

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Festival Bouche à Oreille

     

     

  • Matt Henry : le déclin de l’empire américain…

    Matt Henry : le déclin de l’empire américain…

     

     

    Le photographe anglais Matt Henry (né en 1978) a grandi au Pays de Galles, avant de s’installer à Brighton.

    Vous l’aurez sûrement remarqué, le travail de Matt Henry tourne autour de l’Amérique, et plus précisément de l’Amérique des années 60 & 70. Cette Amérique qui n’en a pas encore fini avec la guerre du Vietnam, cette Amérique qui s’accroche encore à son passé glorieux et conquérant, qui est en train de lui filer entre les doigts. A l’instar d’un Garry Winogrand, Matt Henry nous dépeint dans ses clichés la fin du rêve américain. Les couleurs vives et chatoyantes s’opposent à la noirceur et à la tristesse des sujets. On y ressent l’ennui, l’attente, l’inquiétude, le vide parfois…

     

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Matt Henry Official

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  • Leonardo et les Oscars

     

    Pourquoi Leonardo DiCaprio n’a-t-il jamais obtenu d’Oscar ? Depuis le temps que je me pose cette question, il serait temps d’enquêter sur le sujet.

    Monsieur DiCaprio a derrière lui 22 années de carrière et 50 films. Mais il n’a jamais obtenu « que » quatre prix, alors qu’il a été nommé 26 fois, ce qui représente une moyenne de plus d’une nomination chaque année. Quant aux Oscars en particulier, il a été nommé pour la première fois en 1994, il avait 20 ans. Pas mal… La dernière, c’était vingt ans plus tard, en 2014 pour « Le Loup de Wall Street », l’excellent film de Martin Scorsese. C’est « tout »… Alors que se passe-t-il avec Leonardo ?

    Reconnu par les critiques (NBR Award en 2012 – meilleur second rôle masculin dans « Django Unchained ») et par la presse (Golden Globe en 2014 pour « Le Loup de Wall Street »), mais pas par ses pairs, malgré trois prestations époustouflantes trois années de suite (avec « J. Edgar » en 2013), peut-on dire de lui qu’il n’est pas aimé par « Le Tout Hollywood » ?

    Il multiplie pourtant les casquettes : acteur, scénariste, producteur, comme Brad Pitt, ou les interventions en faveur de la planète comme Clooney. Mais rien n’y fait… Pas même le « Titanic », le plus gros succès du box-office mondial : 11 Oscars, mais pas un seul pour Leonardo.

    On dit que l’acteur est mal vu de l’Académie en raison de sa vie privée (il pourrait être découvreur de mannequins pour l’agence Elite).

    On dit aussi qu’il joue de malchance en tombant chaque fois face à des films événements comme « Dallas Buyer’s Club » avec Matthew MacConaughey, lauréat en 2013.

    On dit qu’il est encore trop jeune… Adrien Brody n’avait pourtant que 29 ans en 2003 pour « Le Pianiste ».

    On dit que les producteurs et distributeurs de ses films ne mettent pas assez d’argent pour la promotion, et que lui-même ne serait pas du genre à faire campagne, pourtant tout aussi importante que sa prestation. On s’en est bien rendu compte pour Jean Dujardin avec « The Artist ». Puni de ne pas vouloir jouer le jeu ? N’oublions pas que le cinéma est moins un art qu’une industrie aux US.

    On dit que c’est parce qu’il traîne partout avec lui sa mère, « sans qui rien de tout cela ne serait arrivé », au lieu de remercier réalisateurs et producteurs.

    Tout ça sonne faux. Talentueux, bosseur, ambitieux, il est l’un des talents les plus époustouflants de sa génération. Il ne compte pas ses efforts, s’investit à 200 % dans ses rôles, ne boude pas la transformation physique et les entraînements, qui peuvent durer des mois, pour préparer un rôle.

    Qu’à cela ne tienne… On prend le même et on recommence… Léonardo Di Caprio prépare sa course aux prochains Oscars. Ceux de février 2016, en l’occurrence. Il interprétera pas moins de 24 personnalités différentes dans le film « The Crowdeed Room » adapté du livre « Les mille et une vies de Billy Milligan ». Il en sera également le producteur. Reste à trouver le réalisateur. Avec, à la clef, on le lui souhaite, un Oscar. Enfin…

    Vidéo : The Wolf Of Wall Street / Run With The Wolf  © 2014 HelloMuller

     

     

     

     

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  • Je suis une fille…

     

    Je suis une fille… Et en tant que fille, mon film préféré a longtemps été « Pretty Woman » (1990). Forcément… Mais pas très original, en même temps. Ma scène préférée ? Définitivement celle de la baignoire, quand Julia se coule dans la mousse, le casque sur la tête et Prince dans les oreilles. Trooop charmant, cette petite voix fluette qui chantonne  » I just want your extra time.. ». Quant à la réplique culte de Richard Gere qui conclut la négociation d’un « Done » le plus sexy de toute l’histoire du cinéma…

    Mais depuis, j’ai grandi, et le 7ème Art a produit en 2003, LE film romantique de la décennie : LOVE ACTUALLY. Culte. Britannique. Des acteurs à la pelle en veux-tu, en voilà. Hugh Grant, so british. Bill Nighly so rock’n roll, Keira Nightley so cute, Liam Neeson so sexy, Colin Firth so sweet, Andrew Lincoln so moving, Emma Thompson so class… et il y en a encore comme ça tant et tant dans ce film… Qu’on aime tous.

    Ce film chorale est un pur plaisir. La BO est un pur plaisir (Dido, Texas, Ottis Reding, Norah Jones…). Vous l’aurez compris, c’est LA seconde référence suprême du film romantique, après, il est vrai, l’indéboulonable « Love Story » (1970), je veux bien le concéder. Dix ans ont passé, alors j’attends avec impatience LE film romantique de la décennie prochaine qui prendra la 3ème place (ou plutôt la 4ème après « Quand Harry rencontre Sally » (1989) ?). D’ici là, et pour patienter, il nous reste LA scène culte de « Love Actually », celle qui nous fait toujours pleurer et qu’on ne se lasse pas de revoir.

     

     

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    Love Actually 001

     

     

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