Auteur/autrice : Instant-Chris

  • Au temps de Klimt à la Pinacothèque de Paris

     

    La Pinacothèque consacre une exposition à Gustav Klimt du 12 février au 21 juin 2015. Grand représentant de l’Art Nouveau à Vienne, Klimt est l’un des pères de la Sécession viennoise : la Pinacothèque de Paris revient sur sa carrière en 180 œuvres !

    L’exposition Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne revient ainsi sur le développement de l’art viennois de la fin du XIXe siècle. Un renouveau s’opère alors dans les arts à Vienne, grâce à l’Union des Artistes Figuratifs, qui veulent offrir à « l’art autrichien une reconnaissance internationale à laquelle il aspire ».

    L’émancipation artistique de Gustav Klimt se fait en 1898, avec le célèbre tableau « Pallas Athena« , utilisé comme affiche pour la première exposition de la Sécession la même année. Gustav Klimt sera critiqué pour son œuvre jugée trop érotique, et en particulier du fait de l’utilisation de formes phalliques dans la représentation de ses femmes fatales.

    Si l’exposition à la Pinacothèque se concentre sur l’oeuvre de Klimt, elle présente aussi les travaux qui ont inspiré son œuvre, ceux de Max Kurzwell, Théodor Hörmann ou bien Carl Schuch, ainsi que les grands chefs d’oeuvre de la Sécession et de l’avant-garde autrichienne.

    Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
    Du 12 février au 21 juin 2015
    Lieu : Pinacothèque 2
    Horaires : 10h30 à 18h30 tous les jours, mercredis et vendredis jusqu’à 21h
    Tarifs : 13.00 € (tarif réduit 11.00 €)

     

     

    Gustav Klimt 000

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Pinacothèque de Paris

     

     

  • Hi, I am Nile Rodgers

     

     

    « Good times are here again » ! En juin 2015, Warner Bros. Records publiera le nouvel album studio de Chic feat. Nile Rodgers. Cette sortie, qui met fin à 23 années d’absence dans les bacs, depuis « Chic-ism » (1992), est précédée du premier extrait de l’album, « I’ll Be There », dévoilé le 20 mars dernier.

    A cette occasion, Nile Rodgers revient avec un bioclip de deux minutes sur 45 ans de carrière, depuis sa rencontre en 1970 avec l’autre moitié de Chic, le bassiste Bernard Edwards, décédé en 1996, et ses dernières collaborations en date avec Daft Punk, Sam Smith ou encore Disclosure.

    Nice…

     

    Hi, I am Nile Rodgers…

    [vimeo id= »118341563″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

    Chic – I’ll Be There (UK Version)

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    Chic – I’ll Be There (Extrait)

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    Chic – Good Times (The Jonathan Ross Show March 21)

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nile Rodgers Official

     

     

     

  • TheYellowBeats : Echoes InD

    TheYellowBeats : Echoes InD

     

    The Yellow nous revenait le 14 mars avec son dernier EP, Echoes InD. Avec cet album, qui s’avère être le prolongement du précédent, Illusion, sorti en janvier, Manu Alias continue à explorer un genre musical qui lui va finalement comme un gant, à savoir un son downtempo lancinant, psychédélique et planant, mâtiné de folk, de blues, voire de soul.

    Mais avec Echoes InD, un deuxième niveau de lecture apparait en filigrane, comme dans tout bon vieux concept album qui se respecte. Car avec Echoes InD, on parle bien d’un concept album… D’abord, cet écho, présent en fond sonore sur tous les morceaux, les liant les uns aux autres. Et puis, cette note, D. Ou Ré, suivant qu’on se réfère au mode de notation utilisé dans les pays à tradition catholique, note sur laquelle reposent toutes les compositions de l’album. Ré, comme Resonare fibris, dans l’Hymne de Saint-Jean Baptiste.

    Pour tout dire, Echoes InD résonne à la perfection… Et qui dit résonner dit durer, souhaitons donc à The Yellow de continuer à résonner encore longtemps à nos oreilles.

    Nous profiterons de l’occasion pour préciser que l’album Echoes InD est la première production d’Instant City… D’autre part, saluons le superbe travail de Nadia aka La GazL, qui a composé la pochette de l’album.

    A découvrir…

     

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] TheYellowBeats Official

     

     

     

  • Matt Henry : le déclin de l’empire américain…

    Matt Henry : le déclin de l’empire américain…

     

     

    Le photographe anglais Matt Henry (né en 1978) a grandi au Pays de Galles, avant de s’installer à Brighton.

    Vous l’aurez sûrement remarqué, le travail de Matt Henry tourne autour de l’Amérique, et plus précisément de l’Amérique des années 60 & 70. Cette Amérique qui n’en a pas encore fini avec la guerre du Vietnam, cette Amérique qui s’accroche encore à son passé glorieux et conquérant, qui est en train de lui filer entre les doigts. A l’instar d’un Garry Winogrand, Matt Henry nous dépeint dans ses clichés la fin du rêve américain. Les couleurs vives et chatoyantes s’opposent à la noirceur et à la tristesse des sujets. On y ressent l’ennui, l’attente, l’inquiétude, le vide parfois…

     

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Matt Henry Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Matt Henry Tumblr

     

     

     

  • Madame Bovary en langage Jeuns…

     

    « C’est l’histoire d’un p’tit puceau tout mou comme les Chocapic au fond de leur bol »

     

    C’est ainsi que commence la libre interprétation de Madame Bovary par Jean Rochefort. Le blog Boloss des Belles Lettres a mis à contribution l’acteur qui, tel que nous le connaissons, n’a pas du trop se faire prier pour se prêter au jeu… Le résultat est assez jubilatoire.

    « Emma, elle se fait chier, donc elle commence à toucher la nouille de quelques keums qui passent »

     

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Les Boloss des Belles Lettres

     

     

  • Le Souper : le vice appuyé sur le bras du crime

     

     

    « Le Souper », pièce en un acte écrite par Jean-Claude Brisville en 1989, est créée le 20 septembre de la même année au Théâtre Montparnasse. Avec dans le rôle de Fouché, Claude Brasseur, dans celui de Talleyrand, Claude Rich, et à la mise en scène Jean-Pierre Miquel. En 1992, Edouard Molinaro adapte « Le Souper » au grand écran, toujours avec Brasseur et Rich.

     

    Après la défaite de Waterloo et l’exil de Napoléon, Wellington et ses troupes sont dans Paris. Le peuple est dans la rue et la révolte gronde. Qui va gouverner le pays ? Le 6 juillet 1815 au soir, Fouché et Talleyrand, qui ont réussi à traverser sans encombre les temps troublés de la Révolution, en sauvant leur tête, se retrouvent lors d’un souper pour décider du régime à donner à la France. Si le premier souhaite une république, le second envisage le retour des Bourbons. Aucun des deux ne peut agir sans l’autre…

    Bon, n’y allons pas par quatre chemins, « Le Souper » est un chef d’oeuvre. D’abord parce que ce huit-clos confronte deux des personnages parmi les plus complexes de l’Histoire de France. La lumière, Talleyrand, face à l’ombre, Fouché… Ensuite parce que ce texte au cordeau est ciselé pour des comédiens d’exception. Et les deux distributions majeures qu’a connu « Le Souper » depuis sa création en 1989 ne démentent pas ce fait.

    On n’interprète pas de tels rôles sans s’être au préalable plongé dans la réalité d’une époque, d’un contexte historique, et de deux personnages qui ont marqué l’histoire de leur empreinte indélébile. Cette pièce trouve écho dans la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Talleyrand, rompu aux relations extérieures et à la diplomatie, c’est notre Ministre des Affaires Etrangères. Fouché, quant à lui, inventeur de la police moderne et du renseignement, pourrait évoquer de nos jours le Ministre de l’Intérieur.

    Autant on connait Talleyrand, à qui Dieu prêta longue vie, puisqu’il mourut à l’âge de 84 ans, ce qui lui permit d’être dans la lumière pendant tant d’années, autant Fouché fut plus un personnage de l’ombre. Alors, quand on veut tenter d’appréhender la vraie nature de Joseph Fouché, on se doit d’avoir lu ses mémoires, d’abord, mais aussi la biographie remarquable que lui consacra Stefan Zweig, qui était fasciné par l’homme.

    A présent, en partant du postulat que cette pièce fut écrite pour des acteurs d’exception, et si nous devions nous hasarder à comparer les prestations des couples Brasseur / Rich et Arestrup / Chesnais, je dois admettre que j’ai une légère préférence pour la création originale de 1989… Quand je dis cela, je tiens à préciser qu’il ne s’agit en aucun cas d’un jugement de valeur quant aux comédiens en tant que tels, bien entendu, mais plutôt vis-à-vis de l’appréhension des personnages.

    Ce qui n’empêche qu’il faut courir au Théâtre de la Madeleine voir « Le Souper », à ne surtout pas rater !

    « Ensuite, je me rendis chez Sa Majesté : introduit dans une des chambres qui précédaient celle du roi, je ne trouvai personne ; je m’assis dans un coin et j’attendis. Tout à coup une porte s’ouvre : entre silencieusement le vice appuyé sur le bras du crime, M. de Talleyrand marchant soutenu par M. Fouché ; la vision infernale passe lentement devant moi, pénètre dans le cabinet du roi et disparaît. Fouché venait jurer foi et hommage à son seigneur ; le féal régicide, à genoux, mît les mains qui firent tomber la tête de Louis XVI entre les mains du frère du roi martyr ; l’évêque apostat fut caution du serment. » (Chateaubriand, Mémoires d’Outre-tombe).

    Au Théâtre de la Madeleine, depuis le 14 mars 2015

    De Jean-Claude Brisville
    Avec Niels Arestrup, Patrick Chesnais, Paul Charieras et Benjamin Migneco.
    Mise en scène : Daniel Benoin
    Assistante à la mise en scène : Linda Blanchet
    Scénographie : Jean-Pierre Laporte
    Lumières : Daniel Benoin
    Costumes : Nathalie Bérard-Benoin
    Vidéo : Paulo Correia

     

     

     

     

    Le Souper 003

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Théâtre de la Madeleine

     

     

     

  • Instant City Playlist – Mars 2015

    Instant City Playlist – Mars 2015

    Mars 2015

    Allez, c’est parti, la Playlist Instant City de mars 2015 est enfin en ligne !

    On attaque avec le “Roc Boys” de Jay Z remixé par Matoma, le dernier trax très groovy du producteur norvégien, qui nous réchauffe en ce mois de mars, quand le fond de l’air est encore un peu frais…

    A suivre notre coup de coeur du moment, l’Impératrice, avec son trax edit “Vanille Fraise“, sortie il y a deux mois, et qui sent déjà bon l’été… Profitons de l’occasion pour vous suggérer d’aller faire un petit tour sur son site internet. C’est beau et original… A noter aussi l’article publié récemment dans le Mag Instant City, au sujet de l’histoire du sample utilisé dans ce morceau. A découvrir…

    History, aka Ryan Merchant, l’autre moitié du duo CapitalCities, nous revient ici avec son morceau éponyme, “History“. Une jolie pop mélodieuse, qui reste bien dans la tête…

    A présent, nos amis de Tuxedo, qui nous viennent de la West Coast, avec leur dernier trax, “Number One“, et leur son toujours aussi funky old-school, sur  Stones Throw Records, notre label préféré du moment, à l’éclectisme qui ne se dément pas…

    Ensuite, nos deux petits Frenchy Adrien et Arthur, qui composent le duo pop Sunblocks, nous livraient en 2014 un “Joey Overdrive” bourré à souhait de disco house à l’ancienne, du piano aux keys, du sol au plafond.

    Toujours sur le label californien Stones Throw Records, un ovni, une vraie bombe, “Suede“, le premier single des deux compères de NxWorries, à savoir Anderson Paak et Knxlwledge.

    Paper Recordings, le label anglais, fêtait ses vingt ans l’année dernière. Ne nous privons pas de ce “Gammal Morro” des norvégiens de Diskobeistet, qui représente tout à fait le son du label, bien qu’étant sorti en janvier 2015…

    Mick Brundstatt, aka Rondo (Electro), venu de… Ah, de l’univers, semble-t-il, suivant sa bio, nous livre un “Stigmates” dans l’esprit du son house des 90’s.

    Nous remontons encore un peu le temps, toujours avec Rondo (Electro), et leur morceau “ChicagoTribute“.

    A suivre TheYellowBeats, avec “Amen“, le premier extrait de son dernier Ep “Echoes InD” sorti il y a quelques jours. On ne rate pas la moindre occasion de parler de The Yellow, car c’est du talent pur, et on ne doute pas une seconde qu’il ira loin. Et puis, c’est une production Instant City, alors on ne va pas se gêner pour n’en dire que du bien…

    Une fille. Deux musiciens. De la folk. Une voix à la Soko, des histoires de soldats ou de coupe de cheveux, June Bug charme, trouble puis fait rire. Avec “I’ll Miss You Sometimes“, la petite Lilloise nous balance sa folk à la gueule, tout en douceur, et commence à se faire une place dans le paysage musical français.

    Allez, on se remet un petit trax de l’Impératrice, juste pour être bien sûr… Son morceau “L’Impératrice” sorti début 2013 sur le label Cracki Records contient déjà tous les ingrédients qui peuvent nous laisser raisonnablement penser que la miss va aller loin…

    A l’écoute de “Do It Do It Disco (Tom Noble Remix)” de Myron & E, encore et toujours sur Stones Throw Records, mes pieds bougent de façon incontrôlable… Eric, le E de Myron and E, DJ californien de The Roots, Missy Elliott, et Mary J Blige, un soir qu’il scratche à Helsinki, se met à chanter avec un groupe local, The Soul Investigators, qui connaît tous les standards de la Motown. A cette collaboration à distance se joint Myron Glasper, du ghetto de South Central. Myron & E est né…

    Direction le Québec maintenant, avec Griot Urbaniseur, et son “Dice B (Good Vibes RMX)“. A découvrir plus particulièrement son album Maximiser Le Son sorti en 2012.

    A suivre un extrait de l’album de J Rocc, Beats On Tap(e) : “Fire Dancer“.

    Et pour clôturer cette playlist de mars en beauté, le Canadien DaBrooke nous balance un “Sexe Insolite” dont on sort quelque peu frustré, tellement c’est court, mais tellement ça sonne…

    Allez, salut maintenant ! See you in April !

    Soumettez-nous vos morceaux sur notre Page Soundcloud

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »LES ARTISTES D’INSTANT CITY PRESENTS DANS CETTE PLAYLIST » class= » » id= » »]

    @theyellowbeats

    Vous pouvez  en discuter aussi dans ce District d’Instant City

     

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »TOUS LES LIENS VERS LES ARTISTES DE LA PLAYLIST » class= » » id= » »]

     

     

     

    Et en cadeau, le clip de Jay Z – Roc Boys…

    https://vimeo.com/123356006

     

    + TheYellowBeats – Ain’t No Perfect World… Le clip en avril !

     

    + Tuxedo – Number One

    https://vimeo.com/121932046

     

    Et allez, juste pour le plaisir, toujours Tuxedo : Do It

     

     

  • Instant City Live Sessions #01 : TheYellowBeats

    Instant City Live Sessions #01 : TheYellowBeats

     

    Le premier artiste à se prêter au jeu des Instant City Live Sessions est notre petit protégé, l’Aixois Manu Alias aka The Yellow.

    Tout commence à Aix en Provence, quand Manu Alias rencontre Lionel Pelissier, son professeur de batterie, qui lui apprendra la rigueur, la technique, mais surtout la musicalité et le langage. Puis c’est au Conservatoire, en classe de Jazz, avec Jean François Bonnel, son professeur de Jazz, qu’il poursuit ses études et obtient son diplôme (en ateliers, notamment avec Cécile Mc Lorin).

    Dans le même temps, Manu Alias s’attaque à ses premières compositions, faisant le grand écart entre Pop et Rap, en passant par la Country, la Soul ou le Swing, et toujours guidé par sa passion pour Thelonious Monk, Duke Ellington, Bill Evans…

    « TheYellowBeats », le nouveau projet de Manu Alias réunit, comme base initiale, un quarter Jazz / HipHop qui a pour seule ambition de créer. C’est sur cette formation que débuteront les premiers arrangements et les premières créations Jazz / HipHop / Soul / Reggae. La composition du groupe ne sera jamais fixe, et évoluera au gré des projets qui se présentent.

    C’est en prenant de plus en plus plaisir à créer en studio que The Yellow va par la suite composer pour le cinéma. Les associations cinématographiques MAKEMA et RECORDERZ seront les premières à faire appel à lui, pour plusieurs œuvres.

    The YellowBeats travaille aujourd’hui en studio, sur les prochains albums à sortir, sur les musiques d’émissions TV, sur ses prochains clips, sur scène, accompagné de son trio, ainsi que sur plusieurs collaborations artistiques qui, contribuant à son bonheur et son bien-être, nourrissent petit à petit ses projets personnels.

    A noter pour finir que « Ain’t No Perfect World » est le premier extrait du nouvel album de TheYellowBeats, dont la sortie est imminente. En exclusivité, juste pour les habitants d’Instant City… A présent, profitez bien de ce concert privé, et vous pouvez retrouvez les albums de TheYellowBeats sur Bandcamp.

     

     

    Ain’t No Perfect World

     

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    Damn Dog

     

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    MYL AND

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] TheYellowBeats ⎜Bandcamp

     

     

  • Instant City Sessions – Coming Out Soon !

    Instant City Sessions – Coming Out Soon !

     

    Instant City Sessions ☯ Bientôt des concerts privés uniquement pour les habitants d’Instant City ! Comme à la maison !

    Le premier à se jeter dans l’arène dans quelques jours, c’est notre petit chouchou du moment,  TheYellowBeatsqui a ravi nos oreilles en janvier, avec son dernier opus, « Illusion », et qui nous revient ici avec quelques jolies versions inédites de certains de ses titres. On adore !

    Alors, tenez-vous prêts, c’est pour très bientôt, à la seule condition que vous vous soyez inscrits au préalable à Instant City… Et n’oubliez pas de vous abonner à la newsletter afin d’être informés de toute l’actualité de la communauté.

    Rêve-o-Lution 2.0.14, Never Surrender !

     

     

    Illusion

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Instant City Inscription

     

     

  • Histoire d’un sample : Spoiled By Your Love

    Histoire d’un sample : Spoiled By Your Love

     

     

    En 1979, sort l’album « Songs Of Love » d’Anita Ward sur le label de Miami T.K. Records, qui comptera dans son écurie des artistes tels que KC & The Sunshine Band, George McCrae, et même James Brown, le temps d’un album et de quelques singles.

     

    Dans la tracklist de « Songs Of Love » (T.K. Records), on retrouve l’incontournable « Ring My Bell », mais c’est finalement une boucle du morceau « Spoiled By Your Love » qui sera utilisée à plusieurs occasions depuis la sortie de l’album en 1979.

    A commencer par Carole Gonzales qui nous livre sa version reggae dub du morceau en 1991, suivie par le DJ producer allemand Ian Pooley en 1998, avec son « Disco Love », extrait de l’album « Meridian », puis par le collectif français La Clinique, formé par Doc Gyneco à l’occasion de la parution de son album « Première Consultation », avec le titre « La Playa », sorti en 1999, pour en arriver à la version de L’Impératrice, « Vanille Fraise », sortie il y a un mois, et qui sent bon l’été… Profitons de l’occasion pour vous suggérer d’aller faire un petit tour sur son site internet. C’est beau et original…

     

     

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