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  • Gare aux Impressionnistes !

     

     

    C’est en 1872 que Claude Monet peint son fameux tableau : Impression, soleil levant. Deux ans plus tard, un groupe de 39 artistes, parmi lesquels Monet, Pissarro, Manet, Degas, Sisley, Renoir, Cézanne, qui se définissent avant tout comme des peintres du concret et du vivant… Se prénommeront désormais les Impressionnistes !

    Cette année, le Musée d’Orsay, le STIF et la SNCF vous souhaitent de nouveau la bienvenue à bord du Train des Impressionnistes, et vous proposent, tous les week-ends du 18 avril au 27 septembre 2015, de repartir sur les traces de ces artistes majeurs, à la faveur d’un parcours initiatique qui vous mènera de la gare Paris Saint-Lazare à Vernon-Giverny ou à Rouen.

    Entre l’impressionnisme et vous, il n’y a qu’un train ! Une escapade « clé en main », proposée au travers du « Pack Destination Giverny » et des « Packs Destination Rouen ». C’est le moment d’en profiter : les musées de Giverny et de Rouen accueillent régulièrement de formidables expositions temporaires !

    Le Train de l’Impressionnisme n’est pas un train comme les autres… Car dès que vous montez à bord, vous êtes dans l’univers impressionniste. Le train est habillé à l’extérieur de célèbres tableaux de Claude Monet et Camille Pissarro. A bord du train, vous trouverez des panneaux explicatifs sur chaque peintre et chaque œuvre, ainsi qu’un site mobile dédié, accessible via un flash code, pour vous accompagner durant tout le voyage.

    Une belle escapade à prévoir…

     

    [youtube id= »2GHfwAN19c4″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Voyages SNCF

     

     

     

  • La Sortie DVD du Mois : Interstellar (S.F. – 2014)

     

    La Terre se meurt. Seule solution : trouver une autre planète sur laquelle fonder une nouvelle humanité. Aux commandes : Matthew MacConaughey (Oscar du meilleur rôle pour « Dallas Buyer’s Club » la même année), Anne Hathaway (qui ne sera pas en Prada) et Jessica Chastain (très remarquée pour son rôle dans « Zero Dark Thrity » retraçant l’arrestation de Ben Laden).

    Le projet du film « Interstellar » avait été initié par Steven Spielberg en 2006, abandonné, puis finalement repris six ans plus tard par Christopher Nolan (« Inception », « Batman 3 », « Insomnia », « Memento » et « Man of Steel »), une pointure en matière de films spectaculaires. C’est le physicien américain Kip Thorne, un des plus grands experts de la théorie de la relativité, qui sert de caution au scénario. Ses sujets de prédilection : le temps, l’espace et la gravité. Et plus précisément : les trous noirs, les trous de ver et les ondes gravitationnelles. Le tournage a eu lieu au Canada et en Islande, pays lunaire des origines.

    Avec « Interstellar », on se pose la question suivante : peut-on voyager dans le temps à travers un « trou de ver », comme à travers un vortex ou une machine à remonter le temps ? Peut-on relier deux régions distinctes de l’espace-temps ? Cooper, projeté dans l’avenir, pourra-t-il retourner dans le passé, en utilisant le passage dans un trou de ver, pour délivrer un message à sa fille, et ainsi sauver l’humanité toute entière ?

    « Interstellar » est aussi un hommage rendu au courage des astronautes qui partent explorer l’espace sans garantie de retour, laissant derrière eux leurs familles si précieuses. Il renoue avec un genre oublié depuis « Apollo 13 » en 1995, et qu’on a eu plaisir à retrouver avec« Gravity » en 2013. Il y est question de la mort, de l’oubli, du deuil et de la passion, de la vocation, mais aussi de la folie des hommes, incapables de gérer le capital-planète de notre incomparable Terre.

    Avec plus de neuf millions d’entrées dans le monde, et 75 % de critiques positives, « Interstellar » aura rapporté à ses producteurs depuis sa sortie en novembre 2014 environ 675 millions de dollars.

    Le débat sur l’effet Doppler (aspect brillant ou sombre de la coquille de lumière autour de Saturne) ou sur la logique du scénario (retourner dans le passé sauver une humanité qui l’est puisqu’elle a un futur, ou parce que le temps est immuable) ne gâchent en rien le plaisir éprouvé pour ce voyage incroyable, bien au contraire. Qu’il est excitant de se poser toutes ces questions, de s’intéresser à toutes ces énigmes, et de nous plonger dans ces théories sans rien connaître de leurs équations mathématiques ! Pour l’anecdote, Kip Thorne et Stephen Hawkings (Une brève histoire du Temps) sont amis. Leurs théories sont dans l’ensemble assez proches, hormis sur la question de la perte ou non d’information dans les trous noirs.

    Top 10 des meilleurs films de l’année 2014 :

    ✓ Meilleurs effets spéciaux

    ✓ Meilleur film de science- fiction (Awards 2015)

    ✓ Meilleurs effets visuels

    ✓ Meilleurs décors

    ✓ Meilleur réalisateur

     

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    Interstellar 001

     

     

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  • En 24 Images Sonores | Natasha Pincus

    En 24 Images Sonores | Natasha Pincus

     

     

    Le clip de Gotye : « Somebody That I Used To Know (feat. Kimbra) » / Réalisé par Natasha Pincus (2012)

     

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    Interview de Natasha Pincus (March 18, 2012) :

     

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    Natasha Pincus 002

     

     

    Le Clip de The Paper Kites : « St Clarity » / Réalisé par Natasha Pincus (2014)

     

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    Making-of de The Paper Kites : « St Clarity » / Réalisé par Natasha Pincus (2014)

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Starkraving Productions

     

     

     

  • OnStage | Tuxedo – Live at The Regent Theater

    OnStage | Tuxedo – Live at The Regent Theater

     

    Tuxedo’s first live show, March 4th, 2015 at The Regent Theater in Los Angeles, CA.

    “Number One” / “Do It”

    Catch Tuxedo Live on tour in Summer 2015.

    Tickets/Dates: Tuxedo Funk

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Tuxedo Funk

     

     

  • From Mambo to Hip-Hop, a South Bronx Tale

    From Mambo to Hip-Hop, a South Bronx Tale

     

    [kleo_pin type= »circle » left= »yes » right= » » top= » » bottom= » »]          « FOCUS » : un article de fond sur un thème que nos rédacteurs ont sélectionné.

     

    Penser que le Mambo ou la Salsa sont nés à Cuba ou Puerto Rico, pour être ensuite importés aux Etats-Unis, c’est occulter complètement l’influence majeure du South Bronx dans l’émergence de ces musiques aux yeux du monde.

     

    A la fin de la seconde guerre mondiale, l’arrivée massive de populations en provenance de Puerto Rico sera à l’origine du dynamisme créatif de ce quartier de New York. Le Mambo est partout, et des clubs consacrés à cette musique, les Latin Balrooms, fleurissent à chaque coin de rue. Des bancs de la Public School 54 émerge dans les années 40 une génération bénie de musiciens exceptionnels, de Ray Barretto à Eddie Palmieri, en passant par Willie Colon et Benny Bonilla, tous originaires du South Bronx. Quant à Tito Puente, d’environ dix ans leur ainé, il grandit à Spanish Harlem.

    Ce qui va d’abord réunir tous ces gamins, c’est le Stickball, « the poor man’s baseball ». Puis viendra la musique et la danse, avec comme point d’ancrage le jukebox trônant au milieu de l’épicerie tenue par les parents d’Eddie Palmieri. Tout ce beau monde fera ensuite ses armes dans les meilleures formations du moment, parmi lesquelles celles de Machito ou Tito Rodriguez.

    Dans les années 50 et 60, au coeur du Bronx où se côtoient les communautés African American et Afro-Cubaines, le Mambo made in NYC s’imprègne peu à peu d’influences diverses telles que l’Afro Beat et le Rhythm ‘n’ Blues.

    A la fin des années 60, la combinaison de toutes ces facettes de la musique cubaine posera les bases d’un style plus « agressif », que le label prédominant de l’époque, Fania Record Company, dénommera Salsa. La Salsa n’est pas un rythme, c’est un concept. Comme le disent les divers initiateurs de ce nouveau son : « Salsa,  Cuban Music with a freakin’ New York attitude »…

    L’explosion de la Salsa connaitra son apogée avec le concert géant des Fania All Stars organisé au Yankee Stadium en 1973, en plein coeur du Bronx. Quarante-mille personnes en transe assistent à cet évènement réunissant la crème des musiciens latinos du moment, tous originaires des alentours du stade. Ce qui caractérise cette nouvelle forme de musique cubaine, c’est le rythme qui prend le pas sur la mélodie. Regardez une performance de Tito Puente, el rey de las timbales, pour vous convaincre du pouvoir hypnotique et tribal de la Salsa. Ce qui est sûr, c’est que sans l’établissement de cette communauté portoricaine dans Spanish Harlem ou le South Bronx, à partir des années 20, la musique cubaine n’aurait probablement pas survécu.

    Mais le Bronx change… L’arrivée en force du trafic de drogue coïncide avec la formation des premiers gangs qui, conjuguée à la construction du Cross Bronx Express Way, mènera peu à peu à un nouvel exil des populations cubaines et portoricaines vers le West Bronx, ainsi qu’au déclin du borough. Les Dancehalls ferment les uns après les autres, tandis que l’esprit du Bronx disparait au gré des incendies.

    En 1974, des cendres et des gravats encore fumants du South Bronx va émerger une nouvelle musique qui, comme la Salsa, met en avant le rythme par rapport à la mélodie : le Hip-Hop. Les pionniers de ce genre musical, à l’instigation d’Africa Bambaataa et de sa Zulu Nation, investissent les immeubles délabrés du quartier, et dieu sait s’il y en a, pour créer autant de dancehalls improvisés où s’affronteront désormais de façon pacifique les gangs, devenus crews, dans le cadre très codifié de battles sur le dancefloor.

    La communauté black du South Bronx est à l’origine de l’émergence du Hip-Hop, avec Grandmaster Flash ou Cold Crush Brothers, mais les portoricains ne sont pas en reste avec quelques Djs qui deviendront des mythes, comme Charlie Chase.

    A l’aube des années 80, Sugarhill Gang offre le tout premier hit planétaire au Hip-Hop, Rapper’s Delight, tandis que la Disco Music investit Brooklyn.

    Ne manquez pas « From Mambo to Hip-Hop, a South-Bronx Tale », un documentaire exceptionnel revenant sur la contribution d’un quartier de New York à l’émergence d’un genre musical qui va révolutionner la musique moderne…

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] South Bronx

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Musical Landscape of the South-Bronx

     

     

  • La Petite Pause Digitale ⏩ Graphonaute

    La Petite Pause Digitale ⏩ Graphonaute

     

     

    Graphonaute… Derrière ce nom étrange se cache un étudiant en sciences de 19 ans, Hugo Germain. Le jeune graphiste nous livre une combinaison subtile entre images réelles et animations 3D, par l’intermédiaire de gifs hallucinants, à découvrir sur son site.

     

    [vimeo id= »89182144″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

     

  • La sortie de la semaine : Avengers 2

     

    Réalisé par Joss Whedon, qui avait déjà produit le premier opus, le deuxième volet de la série Avengers, « Avengers 2 : L’ère d’Ultron » est sorti hier sur nos écrans. On y retrouve évidemment tous les personnages Marvel : Iron Man, Captain America, Thor, Hulk, Black Widow et Hawkeye, qui vont unir leurs forces pour lutter contre Ultron, un monstre de technologie qui s’est juré d’éradiquer la race humaine.

    Le film a coûté 250 millions de dollars. Le premier opus sorti en 2012, avait rapporté 1,5 milliard de dollars, devenant ainsi le 3ème plus gros succès de tous les temps. « Avengers 2 : L’ère d’Ultron » comporte pas moins de 3 000 plans à effets spéciaux, un record en la matière pour Marvel. Le premier était très bon. Le second promet encore un grand moment de cinéma spectacle.

     

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    Instant-City-Avengers-002

     

     

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  • Les Vieux Fourneaux (BD)

     

    Wilfrid Lupano & Paul Cauuet : Les Vieux Fourneaux

    (3 tomes – Dargaud – 2014) / Prix du public Angoulême 2015

    Trois volumes pour trois papys qui déménagent. Pierrot et Mimile retrouvent leur vieux copain de jeunesse, Antoine, aux obsèques de Lucette, son épouse. Ils y rencontrent Sophie, la petite fille d’Antoine et Lucette, enceinte de sept mois, et qui ressemble étrangement à sa grand-mère.

    S’ensuivent trois histoires, une pour chaque grand-père, afin de comprendre que ces vieux-là ont été jeunes, et qu’ils ont eu une vie bien remplie et militante. Notre regard sur ces septuagénaires change à la lecture de leur vie passée, comme celui de Sophie. On s’attache à eux. On les comprend. On ne voit plus en eux les vieux à moitié sourds et courbatus, mais les hommes qu’ils ont été. On les aime car, sous la plume de Lupano, ils sont absolument incroyables !

    L’humour des dialogues et l’originalité du scénario sont servis par des dessins simples mais extrêmement riches de Paul Cauuet, dont il ne faut pas rater les détails amusants, comme de multiples clins d’oeil hilarants. Ces vieux ont gardé le langage ouvrier de leurs 30 ans, plein d’humour et de vannes bien placées. Quant à Sophie, elle incarne à merveille, avec beaucoup de gentillesse et de tendresse, mais aussi un caractère bien trempé, la jeunesse des années 2 000 ou celle, intemporelle, qui se retrouve face aux vieux en général. Car l’histoire parle de vieillir, de l’inter-génération, de développement durable, de militantisme, de tout un tas de sujets en arrière toile, traités avec un humour décapant.

    Vivement le volume 3 qui doit sortir en 2015.

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Dargaud

     

     

  • Imitation Game (Biopic – 2014)

     

    Avec « Imitation Game », réalisé par Morten Tyldum, réalisateur norvégien inconnu, on a affaire à un film classique, très académique. C’est bien réalisé, bien joué, bien rythmé.

    Il s’inspire de la vie du mathématicien et cryptanalyste Alan Turing, qui n’est ni plus ni moins que l’inventeur de l’intelligence artificielle, avec la bombe électromécanique, ancêtre de l’ordinateur. Grâce à celle-ci, il a pu décrypter Enigma, une machine électromécanique portable réputée inviolable, utilisée par les Allemands durant la seconde guerre mondiale, pour chiffrer les informations stratégiques militaires. Il eut l’idée de passer ses journées à inventer une machine capable d’analyser les données, plutôt que de tenter chaque jour de les analyser avec le cerveau humain. Cette découverte a écourté de deux ans la durée de la guerre, sauvant ainsi des centaines de milliers de vies.

    Mais l’histoire d’Alan Turing ne s’arrête pas là. Connu pour ses articles qui posèrent les bases de l’informatique (concepts de programmation et de programme), soupçonné un temps d’espionnage, il fut condamné en 1952 à la castration chimique en raison de son homosexualité. Il fut retrouvé mort par empoisonnement au cyanure en 1954. L’enquête conclut au suicide. Le moyen d’ingestion aurait été une pomme, d’où pour certains, l’origine du logo « Apple » (démenti par la firme).

    Benedict Cumberbatch obtient une nomination aux Oscars 2015, et entre dans le Top 100 des personnes les plus influentes du monde, dans un rôle que Leonardo DiCaprio avait décliné. Les scènes sont tournées en Angleterre, à Betchley Park, là précisément où Turing et ses collègues ont réellement travaillé durant la guerre. A noter aussi que « La bombe », la machine électromécanique créée pour décrypter Enigma, est encore visible au Musée de Betchley Park.

    « Parfois ce sont les personnes qu’on imagine capables de rien qui font des choses que personne n’aurait imaginées ».

    Avec Benedict Cumberbatch et Keira Knightley.

     

    https://vimeo.com/101315181

     

     

    Imitation Game 002

     

     

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  • 33 tours autour d’un microsillon – Barry Godber

     

    In the Court of the Crimson King est le premier album studio du groupe britannique King Crimson, paru le 10 octobre 1969. Le critique Edward Macan écrit dans son livre « Rocking The Classics », que l’album “Pourrait être l’album de rock progressif le plus influent jamais publié”. Et pour info, Pete Townshend, leader des Who, parle d’un « chef-d’œuvre de l’étrange ».

    La pochette de l’album est réalisée par Barry Godber, un jeune informaticien de 23 ans, mort l’année suivante d’une attaque cardiaque. La pochette a joué un grand rôle dans les ventes de l’album : le public, interloqué par elle, achète le disque sans même savoir ce qu’il contient.

     

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