Catégorie : Films

  • Je suis une fille…

     

    Je suis une fille… Et en tant que fille, mon film préféré a longtemps été « Pretty Woman » (1990). Forcément… Mais pas très original, en même temps. Ma scène préférée ? Définitivement celle de la baignoire, quand Julia se coule dans la mousse, le casque sur la tête et Prince dans les oreilles. Trooop charmant, cette petite voix fluette qui chantonne  » I just want your extra time.. ». Quant à la réplique culte de Richard Gere qui conclut la négociation d’un « Done » le plus sexy de toute l’histoire du cinéma…

    Mais depuis, j’ai grandi, et le 7ème Art a produit en 2003, LE film romantique de la décennie : LOVE ACTUALLY. Culte. Britannique. Des acteurs à la pelle en veux-tu, en voilà. Hugh Grant, so british. Bill Nighly so rock’n roll, Keira Nightley so cute, Liam Neeson so sexy, Colin Firth so sweet, Andrew Lincoln so moving, Emma Thompson so class… et il y en a encore comme ça tant et tant dans ce film… Qu’on aime tous.

    Ce film chorale est un pur plaisir. La BO est un pur plaisir (Dido, Texas, Ottis Reding, Norah Jones…). Vous l’aurez compris, c’est LA seconde référence suprême du film romantique, après, il est vrai, l’indéboulonable « Love Story » (1970), je veux bien le concéder. Dix ans ont passé, alors j’attends avec impatience LE film romantique de la décennie prochaine qui prendra la 3ème place (ou plutôt la 4ème après « Quand Harry rencontre Sally » (1989) ?). D’ici là, et pour patienter, il nous reste LA scène culte de « Love Actually », celle qui nous fait toujours pleurer et qu’on ne se lasse pas de revoir.

     

     

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    Love Actually 001

     

     

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  • La sortie de la semaine : « Still Alice »

     

     

    Julianne Moore, Oscar 2015 de la meilleure interprétation féminine de l’année pour son rôle dans « Still Alice » de Wash Westmoreland et Richard Glatzer, décédé il y a quelques jours, rentre dans la peau d’Alice Howland, une femme de 50 ans, professeur à Harward, mariée, trois enfants, qui découvre qu’elle est atteinte d’une forme précoce de la maladie d’Alzeimer. Loin de l’analyse clinique de la maladie (ses symptômes, ses conséquences, les soins à apporter), le film expose le point de vue et le ressenti de chaque membre de la famille face à cette situation, du mari dans le déni à Alice elle-même.

    Le film a reçu un accueil mitigé de la critique (3,1 / 5), qui salue davantage la performance des acteurs (Kristen Stewart dans « Twilight », Alec Baldwin et Kate Bosworth dans « Superman Returns ») que la réalisation. Le public semble avoir été, quant à lui, plus touché (3,7 / 5) par l’histoire de cette femme, dont le roman éponyme de Lisa Genova avait déjà séduit 2 millions de lecteurs dans 31 pays. Après « 50 Nuances de Grey », les adaptations ont le vent en poupe en ce début d’année.

     

     

     

     

    Still Alice 2014

     

     

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  • Fiers de « Pride »…

     

    Il y a de quoi être fiers de « Pride »… Du film, et de ces personnages dont le film nous narre l’histoire vraie. A l’instar de « The Full Monty », on plonge en 1984, en pleine crise économique en Grande-Bretagne, alors que Margaret Thatcher soutient la fermeture de vingt mines de charbon déficitaires. S’ensuit une longue année de grève des mineurs. Privés de salaire, acculés à faire appel à la solidarité nationale, accepteront-ils l’argent récolté par un groupe de gays et lesbiennes venus de Londres ? La fierté de ces mâles qui descendent chaque jour à la mine sera-t-elle compatible avec l’argent des « tafioles » ?

    De fierté, il en est justement question dans ce film : celui des gays et lesbiennes qui récoltèrent la somme la plus importante de tout le pays. Celle des grévistes, bafoués par le gouvernement, et qui se retrouvent contraints de mendier faute de ressources pour nourrir leurs familles. Celle des mineurs non-grévistes qui se sentent atteints dans leur virilité, jusqu’à se réunir afin de voter le refus de cet « argent de pédé ».

    « Pride » est de fait, aussi, la chronique de la vie des homosexuels dans une société qui les rejette encore comme des contaminés, chose qui ne tardera pas à se produire avec l’arrivée du sida, dont on sent la présence en arrière plan.

    Les personnages sont plus qu’attachants. Hauts en couleur, chacun raconte sa part des travers de notre société. Chacun va évoluer au contact des autres. La solidarité qui se développe alors entre des personnes que tout oppose est enthousiasmante. Jusqu’au point d’orgue final absolument bouleversant, tant cela semblait improbable. La BO joue l’harmonie avec des icônes gays des années 80 : Bronski Beat, Queen, Culture Club, The Communards, UB40, Depeche Mode.

    Aucun doute possible, « Pride » est à mettre dans le Top 3 des meilleurs films de l’année 2014.

     

     

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    Pride 002

     

     

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  • Indian Palace : bienvenue au Marigold Hotel

     

    « Indian Palace » (2012) est un de ces petits films qu’on aime bien regarder pour se détendre et passer un bon moment. Il s’adresse plutôt à un public post-quarantaine, plus sensible sans doute aux préoccupations et aux émotions de leurs congénères en âge de partir à la retraite. Ou devrais-je dire, de quitter la société, et de faire le deuil d’un quelconque rôle à y jouer : quand on n’a plus de mari, plus de sex-appeal, plus d’économies, plus la santé ou plus de boulot, que faire de soi ?

    Sonny Kapoor (Dev Patel, « Slumdog Millionaire ») a l’idée très drôle de « délocaliser » tous ces vieux dont l’Occident ne veut plus, pour leur offrir un Palais où mourir en paix. John Madden (Oscar en 1998 du meilleur film pour « Shakespeare in Love ») en fait le sujet de son film. Son talent réside à la fois en des dialogues extrêmement affinés qui font mouche à chaque fois, et il a l’intelligence de s’entourer d’acteurs (britanniques bien sûr) au talent reconnu : Judi Dench (Philomena), Bill Nighy (Good Morning England), Maggie Smith (Harry Potter) , Celia Imrie (Bridget Jones) et Tom Wilkinson (The Full Monty). Ceux-là ne se découvrent pas : ils ont déjà tous plus ou moins joué ensemble à diverses reprises, et on sent leur complicité, entre eux et avec le réalisateur. Ce qui nous rappelle le « Calendar Girls » du réalisateur Nigel Cole (2003) : même tribu d’acteurs, même thème (la retraite), même humour.

    Un autre atout évident du film, c’est l’Inde, personnage à part entière. Celle-là même qui ne laisse personne indifférent (et surtout pas le personnage de Penelope Wilton !) : tous les ingrédients sont réunis pour assurer le spectacle du choc culturel qui nous vaut cette réplique savoureuse : « Ce que je n’arrive pas à prononcer, j’évite de le manger en général. ». Les vieux sont grincheux, exigeants et râleurs, c’est bien connu. On assiste alors à une transformation des personnages sous l’effet de ce nouvel environnement, à l’issue de laquelle chacun trouvera sa nouvelle place.

    En plus d’être une comédie sympathique et intelligente, « Indian Palace » fait partie de ces films qui méritent d’être ajoutés à la « Cinéma Playlist », de ces films « qui font du bien ». Il est plein de joie, d’espoir, de foi en la vie et d’ondes positives. Ce sont ces films-là qu’on a plaisir à voir et revoir, quand on a un petit coup de blues : « A la fin de l’histoire, ça finit toujours par s’arranger. Si ça ne s’est pas arrangé, c’est que l’histoire n’est pas terminée ! ». Et on a vraiment hâte de repartir séjourner au Marigold Hotel pour un « Indian Palace 2 », dont la sortie en France est prévue le 1er avril 2015. Avec un petit bonus : Richard Gere au casting…

     

     

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    Indian Palace 003

     

     

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  • I Origins

     

    Dès les premières images, on se dit que la photo, l’image, la lumière, sont magnifiques. On se dit que le réalisateur qui a fait ça dans les quelques premières minutes ne peut pas avoir fait un mauvais film. Ca semble impossible. Alors on s’émerveille, et on entre dans l’histoire avec la délectation de se dire qu’on va passer un super moment. Pour un cinéphile, cette promesse, c’est du nectar. Ces yeux magnifiques, tous ces regards : ils sont fascinants.

    On sent bien, dès le départ, que ce film est différent des autres. Non pas par son humour (comme « Django Unchained » de Tarantino), mais par son scénario, un peu comme « Usual Suspects« … I Origins est construit comme un roman : avec des chapitres. On le regarde comme on lit un excellent bouquin : on attend la suite… Et on ne le regrette pas ! Car la suite est géniale, et ne prend tout son sens qu’à la dernière minute. Là, on décolle les yeux de la dernière ligne du livre, et on se dit, les pages ouvertes sur nos genoux en regardant dans le vague : « waow ».

    Bienvenue à travers mes yeux.

     

     

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  • Bill Nighy, de ces acteurs qu’on aime…

     

    Bill Nighy fait partie de ces acteurs qu’on aime… Cliquez sur son nom, et vous avez une liste impressionnante de très très bons films. Pas juste des films « sympas », non, des films « à voir et à revoir ». Britannique, bien sûr.. CQFD.

    De sa prestation poilante dans « Love Actually » à celle plus rock’n roll de « Good Morning England« , pour arriver au drame de « Il était temps« , toutes les palettes de son art sont disponibles sur grand écran. Du film moins connu comme l’excellentissime « Pride » au blockbuster « Harry Potter« , il y en a pour tous les publics et tous les goûts.

    Bill Nighy n’est pas seulement une référence en matière d’excellents films, il est aussi le gage d’un casting de rêve, aux côtés d’acteurs tous plus émérites les uns que les autres (Anglais, of course) ; Judi Dench et Maggie Smith dans « Indian Palace« , Ralph Fiennes dans « The Constant Gardener » ou encore Cate Blanchett dans « Chronique d’un Scandale« .

    En bref, et pour conclure, Bill Nighy est une porte d’entrée bien choisie pour découvrir le cinéma britannique que j’aime tant. Sa reconnaissance tardive en 2003 aux English Awards a décuplé les sollicitations, pour notre plus grand plaisir de cinéphiles.

    So British…

     

     

     

     

     

    https://vimeo.com/72254393

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Bill Nighy Filmographie

     

     

  • Night Call – Bienvenue au pays de l’angoisse…

     

    Bienvenue au pays de l’angoisse… Ce type fait froid dans le dos. Le film et la montée en puissance du scénario sont parfaitement maîtrisés. La transformation physique de Jake Gyllenhaal est impressionnante. On se demande d’ailleurs, comme pour Leonardo DeCaprio, pourquoi il n’a toujours pas d’Oscar…

    Night Call est la parfaite démonstration du fait que, si vous êtes intelligent et que vous avez de l’ambition, vous pouvez gravir très vite les échelons de l’ascenceur social. Sauf que là, en l’occurrence, c’est trop. L’intelligence aigüe se transforme en vice au débit inquiétant, glaçant. Le visage, le regard, les yeux, la posture du corps, le port de tête : tout chez Gyllenhall concourt à faire du rôle de Lou un serial cinglé brillant.

    Bon voyage au pays du démoniaque.

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Paramount Night Call

     

     

  • La sortie ciné de la semaine : CitizenFour – Héros ou traître ?

     

    Edward Snowden est un informaticien américain de 32 ans, employé par la CIA et la NSA, lorsqu’il prend la décision, lourde de conséquence (il a tout perdu, et risque la peine de mort) de fournir des disques durs bourrés de fichiers à des journalistes, prouvant que l’Agence NSA espionne les citoyens du monde entier, dont Angela Merkel la chancelière allemande.

    Il prend contact par mail, sous le pseudonyme de « CitizenFour », avec Laura Poitras, réalisatrice de documentaires, qui travaille déjà depuis 2011 sur les programmes de surveillance de masse, et qui a levé des fonds pour la défense de Bradley Manning, un soldat américain accusé d’avoir fourni des câbles diplomatiques et des rapports de l’armée à WikiLeaks (site web lanceur d’alerte). Une rencontre est ainsi organisée avec Laura Poitras et un collaborateur, Glenn Greenwald, dans la chambre d’un hôtel à Hong Kong. Il leur faudra pas moins d’une semaine pour décider de la meilleure manière d’exploiter les quelques 20 000 fichiers remis par Snowden.

    C’est au Royaume-Uni, dans le journal « The Guardian », et aux Etats-Unis dans le « Washington Post », que la bombe médiatique va être lancée. Tous deux recevront le Prix Pulitzer le 14 avril 2014. Accusé d’espionnage, de vol et d’utilisation illégale de biens gouvernementaux, Edward Snowden obtient l’asile temporaire à Moscou, puis un droit de résidence en Russie valable jusqu’en 2017.

    Le documentaire « CitizenFour » qui retrace cette incroyable prise de risques a quant à lui reçu un Oscar en février 2015 et le BAFTA (équivalent britannique) en janvier 2015.

    L’histoire pour l’instant s’arrête là. Mais elle intéresse déjà Hollywood. A la manière de David Fincher et « The Social Network » (2010), qui retraçait la naissance de Facebook, c’est Oliver Stone (JFK ) qui prendra les rênes du film au cinéma. Le tournage a lieu en Allemagne, avec Joseph Gordon-Levitt (qui jouait un accro au porno en couple avec Scarlet Johansson dans Don Jon en 2013) dans le rôle principal, et un scénario basé sur le livre de Luke Harding : « Les fichiers Snowden : L’histoire vue de l’intérieur de l’homme le plus recherché au monde ». Le film sortira aux Etats-Unis le 25 décembre 2015

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] WikiLeaks

     

     

  • Nos Etoiles Contraires

     

    Dès le début du film, Nos Etoiles Contraires, on entre directement dans le vif du sujet : la mort et le cancer. Comme les protagonistes du film, on n’a pas de temps à perdre, alors on va droit au but. Je m’appelle Hazel, Gus, j’ai un cancer et je vais mourir. Tout est dit. S’en suit un hymne à la vie plein d’humour et de gaieté. Tout va vite, et seul l’essentiel est important. Ces jeunes sont cools, attachants, drôles. Ils nous donnent la force de vivre car ils ont un cancer mais… « ils ont de la chance parce que… » parce qu’ils ont décidé « de ne se priver d’aucun des plaisirs simples de la vie ».

    Ce film nous guérit de notre peur de la mort. Chaque dialogue est une pure merveille, et Ansel Elgort est tout simplement parfait. Bienvenue à « Cancerland » pour célébrer la vie. Apprêtez-vous à être contaminé par le virus de la joie et du bonheur de vivre. A noter aussi une chouette BO.

     

     

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  • Connaissez-vous le cinéma britannique ?

     

    Le Cinéma Britannique est définitivement un cinéma très particulier. J’en suis tombée amoureuse en voyant « Les Chariots de Feu » (1981) quand j’étais gamine, avec sa musique inoubliable qu’on écoutait en boucle dans nos chambres. C’était l’époque pré-pubère des images de David Hamilton. Puis j’ai grandi, et à l’adolescence, j’ai découvert la salle moite du Studio Galande avec « The Rocky Horror Picture Show » (ok, le film est américain, certes, mais la pièce, elle, et donc le scénario original, sont anglais), les « Monty Python : La Vie de Brian » (1979), et « Un poisson nommé Wanda » (1988). Je me suis indignée avec « Gandhi » (1982) et « Cry Freedom » (1987). J’ai découvert l’homosexualité avec « My Beautiful Laundrette » (1985), et les prisons turques avec « Midnight Express« . Là encore, la musique tournait en boucle dans ma chambre, en même temps que celle de Dire Straits ou Supertramp, encore des Britanniques. Décidément…

    A l’âge adulte, ou presque, j’ai connu le beau Hugh Grant dans « 4 Mariages et 1 Enterrement » avec son air de « pas y toucher » à tomber par terre. J’ai pu tour à tour être romantique (« Le Patient Anglais« ), intello (« Raisons et Sentiments« ), fleur bleue (« Coup de Foudre à Notting Hill« ) ou célibataire désespérée (« Le Journal de Bridget Jones« ). J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps dans cette scène culte de « Love Actually » sur fond de Dido, celle où Mark avoue son amour en égrenant ses pancartes…

    Mais le Cinéma Anglais que j’aime, que j’adore, c’est celui, souvent populaire, qui se plait à raconter une tranche de vie de personnages issus du monde ouvrier, dans un Royaume-Uni en crise. Je pense à « The Full Monty« , « Billy Eliot » ou encore « Les Virtuoses » et « Pride« . Il ne faut pas moins que l’humour anglais légendaire et des dialogues savoureux, des rencontres, des hommes, des femmes, des personnages incroyables de retenue et de pudeur, pour nous faire pleurer, rire, sourire… On les aime, tous ces Britanniques pince-sans-rire qui nous enchantent par leur intelligence, de celle qui nous fait tellement de bien. Les excellents « Arnaques, Crime et Botanique« , « Petits meurtres entre amis« , « Good morning England » et « Joyeuses Funérailles » vous enchanteront par leurs situations cocasses et leurs dialogues drôles, fins et tout en retenue.

    Alors, si comme moi, vous aimez l’humour grinçant, les dialogues intelligents, le cocasse, et la très bonne musique, jetez-vous dès ce soir sur un film britannique.

     

     

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