Auteur/autrice : Instant-Chris

  • La Métamorphose de Franz Kafka | Texte illustré par Nadège Michel

     

     

    En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux.

     

    « Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de le peindre »

     

    Nadège Michel, peintre passionnée, pourrait très bien faire sienne cette citation d’Edward Hopper. Elle sait qu’il est des histoires indicibles, des souffles épiques portés par l’évanescence de toute chose, des instants vaporeux qui chamboulent tout. Et on le lit dans sa peinture.

    Nadège Michel, c’est une envie de restituer le monde en couleurs de rêve, de se laisser envoûter par la nature humaine et fasciner par toutes ses émotions. Elle a choisi de travailler un registre abstrait, à tout le moins non figuratif, le plus spontané possible. Sa peinture est pleine de vie et on y devine ce désir de découvrir, au fil de ses créations, qui elle est, qui est l’autre.

    Elle expose au Hilton Hôtel Airport à Zurich du 21 Janvier 2016 jusqu’à fin Mai 2016.

    Le choix de « La Métamorphose » de Franz Kafka est avant tout personnel car c’est une œuvre moderne, d’actualité, symbolisée par le changement. Le changement du corps, de l’âme et de nouveau de l’âme par le corps. Nous n’aimons pas la duplication et pourtant chaque être cherche son harmonie. Le pouvoir dans ce livre est individuel, il est montré du doigt et justifie l’œuvre de Franz Kafka. Son livre est une incroyable histoire pleine de lucidité.

    Premier exemplaire actuellement en vente, prix : 500 €.

    Tirage strictement limité : 5 exemplaires numérotés.

    Format 21 cm x 21 cm, huit illustrations uniques et originales pour chaque exemplaire, faites de la main de l’artiste.

    Technique mixte. Reliure pleine peau, cousue à la main, dorure à l’or fin, papier précieux, 102 pages.

    Et c’est à découvrir ici.

     

     

    Instant-City-Nadege-Michel-004

     

     

     

  • Difficile d’échapper aux collages de Konny Steding…

     

     

    Depuis quelques années, aux alentours de Beaubourg, il est difficile d’échapper aux collages de Konny Steding… Une grande feuille blanche et souvent, en traits noirs, rageurs, ce visage féminin (Konny herself ?) rarement paisible. Autoportrait ? Peut-être… Même si la réalité reflète apparemment plus de douceur. La voici au travail… Collage…

    Il y a du punk chez Konny Steding. Comme un parfum de fin du monde… Dans ses oeuvres, on ressent l’urgence, une sorte de lutte inexorable contre le temps qui passe. Alors elle s’approprie frénétiquement chaque espace pour y laisser une trace de son passage. Nous voici donc lancés à sa poursuite, tentant de distinguer ses collages monochromes des supports sur lesquels ils sont apposés. Mais Konny Steding nous échappe sans cesse…

     

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Kony Steding

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Galerie Moretti & Moretti

     

     

     

  • Explorez ce tableau de Salvador Dalí à 360°

     

     

    Une exploration inédite de « Réminiscence archéologique de l’Angélus de Millet » de Dalí.

    Le musée Salvador Dalí de St. Petersburg, situé en Floride, vous offre une expérience inédite grâce à la réalité virtuelle : entrer dans un tableau de l’artiste catalan Dalí et explorer ses détails à 360°. La vidéo, repérée par Courrier International, vous offre une plongée rare dans l’univers du peintre.

    Exceptionnel…

     

     

     

  • Bob Marley & Stevie Wonder : The Wonder Dream Concert (October 75)

    Bob Marley & Stevie Wonder : The Wonder Dream Concert (October 75)

     

     

    Comment qualifier cette rencontre hors-norme entre deux des musiciens les plus visionnaires de leur génération ? On parle là d’un temps où Bob Marley, Bunny Wailer et Peter Tosh se produisaient ensemble pour la toute dernière fois, au National Stadium, Kingston, Jamaïque, ce soir d’octobre 1975.

     

    Cet événement intitulé « The Wonder Dream Concert » a vu les trois musiciens jouer des titres solos, mais aussi des morceaux de l’époque Wailers, dont le classique ska « Simmer Down »…

    Mais un autre événement au coeur de ce concert fut la prestation en duo de Stevie Wonder et Bob Marley, deux figures qui incarnaient déjà tellement de choses à l’époque. Ce fut donc une rencontre au sommet lorsqu’ils jammèrent sur scène en reprenant « I Shot The Sheriff » et « Superstition »…

    S’il n’existe pas de trace vidéo de cette performance, un rush audio de plus d’une heure a été préservé, sur lequel vous pouvez entendre le « Superstition » à la fin de l’enregistrement, ce qui devrait vous faire vibrer un peu…

    Ça ne sera d’ailleurs pas la seule fois que les deux hommes joueront ensemble, puis qu’ils renouvelleront cette performance au Black Music Association Concert à Philadelphie en 1979. Stevie rendra ensuite plusieurs fois hommage à Bob après la disparition de ce dernier, notamment avec le morceau « Master Blaster (Jammin’) » en 1982.

    Exceptionnel…

     

     

    [youtube id= »_tEYFANqzYo » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    © Jean Morel @ NovaPlanet

     

     

     

  • TheNotch | Odd Haze

     

     

    Deux ans après son premier Ep, « Box #1 », TheNotch est de retour avec son nouvel opus, « Odd Haze ». Entouré de ses potes TheYellowBeats et Griot, le musicien aixois de 22 ans nous livre un Ep naviguant entre hip-hop, beatmaking, neo-soul et pop 80’s.

    A l’écoute de « Odd Haze », on se rend vite compte du chemin parcouru. C’est plus abouti, plus pensé. TheNotch a pris son temps pour intégrer à son style musical de coeur, le jazz, « son premier excitant mental », comme il se plaisait à le définir il y a deux ans, les diverses influences qui ont peu à peu construit son propre son, sa propre martingale…

    « Odd Haze » s’ouvre donc avec « You Never Really Try », qui laisse la part belle aux claviers et à une rythmique guitare bensonienne à souhait. C’est frais, léger, même s’il s’y exprime quelques reproches à l’encontre de quelqu’un qui n’essaye jamais vraiment, apparemment… La mélodie reste en tête, s’installe insidieusement, et n’est pas sans rappeler « Outta Space » de Jimmy Tenor, sur son premier album « Intervision » sorti en 1997.

    Toute autre ambiance avec « Birds Sing In The Dark » et son atmosphère très pop anglaise 80’s, depuis la voix caractéristique de l’époque aux nappes de synthé omniprésentes.

    Puis TheNotch nous fait faire un bond en arrière, avec le très cinématographique « That’s Where You’re Wrong Frank », mêlant joliment le flow de Griot à la voix de Whispering Jack Smith, extraite de la comédie musicale « Blossoms on Broadway » (1937). On se croirait presque dans un film de Woody Allen. A creuser, semble-t-il…

    Suit une belle reprise bien jazzy du « Crazy » de Gnarls Barckley, avec la mutine Loï aux vocals. Classe…

    Retour de l’ambiance neo-soul avec « Awake ». You have brain in your head, you have feet in your shoes, so come on…

    A découvrir…

     

     

    [bandcamp width=100% height=120 album=4189198234 size=large bgcol=ffffff linkcol=0687f5 tracklist=false artwork=small]

     

     

     

  • The Rolling Stones : Live at the Marquee Club (1971)

     

     

    The Rolling Stones & Chuck Berry Live at the Marquee Club (1971).

     

     

     

  • Makema Films

    Makema Films

     

     

    Il y a un an, nous découvrions la première Instant City Live Session, avec TheYellowBeats en maître de cérémonie, juste avant la sortie de son Ep « Echoes inD ». Et derrière la caméra, les trois compères de Makema Films, qui réaliseront trois mois plus tard le clip « Illusion » du même TheYellowBeats. A cette occasion, nous avions une petite discussion informelle avec Maxime Garnaud.

     

    ICity : Maxime, un petit brief sur Makema ? 

    M.G. : En substance, Makema, c’est un groupe de jeunes cinéastes montpelliérains, composé de trois membres : Martin Grillet, Kevin Fracchiolla et Maxime Garnaud. On s’est rencontré à la Fac à Montpellier. On a toujours travaillé ensemble.

     

    ICity : Et Recorderz, dans tout ça ?

    M.G. : C’est notre association. Makema, ce sont juste les deux premières lettres de nos trois prénoms. Un groupe quoi, mais rien de bien officiel.

     

    ICity : Ah, voilà, tu vois, tu lèves le voile…

    M.G. : On voulait pouvoir se démarquer des autres. Mais tout en sachant de qui on tient, et d’où on vient… Quand je dis les autres, je parle de nos amis chez Recorderz. Mais dans le fond, on signe Recorderz car c’est la mère patrie.

     

    ICity : La mère patrie… C’est bon, ça.

    M.G. : Faudra que tu t’arranges avec ce que je viens de te dire… Ahahaha !

     

    ICity : Non, mais écoute, je crois qu’on a bien avancé, là ! Sinon, il est bien cool, ce clip « Illusion ». Et toi, tu en penses quoi, d’ailleurs, de votre travail ?

    M.G. : C’est là où ce genre d’exercice est compliqué. « Illusion » reflète plus la vision de Manu, l’image y étant vraiment au service de sa musique. Et c’est bien car chacun imagine ce qu’il veut de cette course poursuite… Un fantôme, un souvenir, une histoire impossible… En même temps, je trouve un lien entre l’esthétique du clip « Illusion » et celle de « ADV & TLKS ». Et cette esthétique d’image, c’est ce qui attire l’oeil en premier lieu…

     

    ICity : Si tu devais mettre en avant un film parmi ceux que vous avez faits, ce serait lequel ?

    M.G. : Un court-métrage ?

     

    ICity : Oui…

    M.G. : « 21 Centimes », c’est le plus beau à l’image, pour moi. C’est Manu [TheYellowBeats] qui a fait la musique aussi.

     

    ICity : Vous en êtes à combien de films réalisés ?

    M.G. : Trois… « 716 », le premier vrai qu’on ait fait quand on était en 2ème année de Fac. En fait, non, c’est « Nono » le premier. Mais bon c’est vieux et pas top. Tout est sur notre page Vimeo. « Nono » puis « 716-353-617 » puis « 21 Centimes »… Après, on en a fait d’autres. C’est pas nous qui avons réalisé mais c’est tout comme. Par contre, on a fait beaucoup de clips.

     

    ICity : Pour un clip, vous préférez que le musicien vous oriente, ou vous pouvez faire un truc selon votre propre ressenti ?

    M.G. : On peut carrément faire un truc selon notre propre ressenti. Mais pas pour « Illusion ». Ca n’était pas l’objectif, d’ailleurs…

     

    ICity : Mais là, pour la peine, dans « 21 Centimes », c’est la musique qui est au service de l’histoire. Et ça le fait bien, d’ailleurs.

    M.G. : Carrément. ça rajoute vraiment un truc noir. un truc un peu lugubre.

     

    ICity : C’est clair… Tiens, listen to this et dis-moi si ça t’inspire…

    M.G. : J’écoute, là… C’est perché quand même… Ahahaha ! Ca fait penser à un long voyage, après ça ne m’inspire pas vraiment d’histoire pour le moment…

     

    ICity : Ahahaha ! Alors, comme ça, c’est perché, quand même ! Merci Maxime, et bonne chance pour « Illusion » demain. On adore.

     

     

    A suivre, « 21 Centimes », court-métrage réalisé dans le cadre du Nikon Film Festival 2015.
    Réalisé par Maxime Garnaud, Kevin Fracchiolla et Martin Grillet

     

    [vimeo id= »125233329″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

     

  • Gainsbourg Toujours

     

     

    Il y a vingt-cinq ans disparaissait Serge Gainsbourg. Expos, disques, émissions, il est partout…

     

    A la Mairie du 9ème Arrondissement, où Lucien Ginzburg a passé son enfance, au 11 Rue Chaptal, se tient jusqu’au 10 avril « De Gainsbourg à Gainsbarre », une expo de photos d’Odile Montserrat et Pierre Terrasson, proches de l’artiste. Des clichés intimistes et pour la plupart inédits. Tony Frank, lui, expose à la Galerie de l’Instant, jusqu’au 31 mai, de magnifiques portraits en noir et blanc de Serge, avec ou sans Jane. Du 4 mars au 8 avril 2016, la galerie d’art contemporain HEGOA met en place l’exposition « Gainsbourg Toujours 25 Ans » dans plusieurs lieux de son quartier du Carré Rive Gauche (7ème arrondissement), sous l’égide de Nathalie Atlan Landaburu.

    Côté musique, ça thématise dur chez Mercury / Universal, sa maison de disques, qui réédite l’intégrale de l’artiste, un double DVD de 79 titres et interviews filmées (« D’autres nouvelles des étoiles »), un double CD qui réunit pour la première fois un Best of Gainsbourg et un Best of de ses interprètes (« Gainsbourg & Co »), de Bardot à Paradis, ou encore « London Paris », une compil de ses morceaux les plus pop-psyché des années 60.

    Enfin, l’émission « Monte Le Son » sur France 4 consacrera une soirée spéciale Gainsbourg et Bashung, quant à lui disparu le 14 mars 2009, avec un documentaire diffusé le 16 mars à 22h45, dit par Alain Chamfort, et revenant sur leurs parcours croisés (« Gainsbourg / Bashung : Fantaisie Nelson »). Aux larmes, et caetera…

     

    F.T. pour le Magazine ELLE (11 mars 2016)

     

     

     

  • George Martin, le cinquième Beatle, s’en est allé…

     

     

    George Martin, le producteur légendaire et mentor des Beatles, surnommé « le cinquième Beatle », est décédé le mardi 8 mars, à l’âge de 90 ans, a annoncé ce mercredi Ringo Starr. « Que Dieu bénisse George Martin, la paix et l’amour pour Judy et sa famille […] George va nous manquer », a écrit l’ex-batteur des Fab Four sur son compte Twitter, avant de publier une ancienne photo du producteur accompagné des membres du groupe.

     

    George Martin, jeune directeur artistique de Parlophone, division de EMI, produisait du jazz et de la musique classique lorsqu’il découvrit les Beatles en 1962. Il les auditionne pour la première fois le 6 juin 1962, alors que le groupe a essuyé un refus catégorique de tous les labels de musique d’Angleterre auxquels son manager Brian Epstein a proposé ses morceaux. Le premier sentiment de Martin sur ce qu’il entend ce jour-là n’est guère engageant. Il les trouve « assez horribles ». Il décide malgré tout de les signer, Parlophone voulant rajeunir son image tout en s’ouvrant à d’autres genres musicaux que le classique ou le Jazz.

    Plus que la qualité intrinsèque des premières compositions des Beatles, ce qui a attiré l’attention de George Martin, c’est leur humour, d’abord, et un fort potentiel artistique, fait d’enthousiasme, de fraîcheur, de candeur et d’insouciance. Son oreille infaillible a aussi été séduite par l’enchevêtrement des voix de Lennon et McCartney, qui constitue une originalité certaine dans le paysage du rock ‘n’ roll à l’époque, où on a plus affaire à des formations accompagnant un chanteur qu’à un groupe en tant que tel, sans leader mais avec plusieurs voix se complétant si parfaitement. Préalablement à l’enregistrement des deux premiers singles des Beatles chez Parlophone, « Love Me Do » et « Please Please Me », Martin décide d’évincer le premier batteur, Pete Best, au profit de Richard Starkey, alias Ringo Starr, qui officie alors avec Rory Storm and The Hurricanes.

    Un bon ingénieur du son, c’est celui qui écoute les propositions, qui les analyse et qui passe les idées initiales des musiciens au spectre de son propre ressenti et de sa propre expérience, tout en respectant le sens premier voulu par le compositeur. George Martin impose que le tempo de « Please Please Me » soit accéléré, Et par ce simple artifice, ce qui ne devait être qu’un coup d’essai au destin assez incertain devient rapidement le premier coup de maître d’une longue série. Le single monte ainsi à la première place des charts anglais en cet automne 62.

     

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    L’accession de « Please Please Me » à la première place des charts anglais marque donc le début d’une fructueuse collaboration entre les Beatles et George Martin, qui durera sept années et produira ces chefs d’oeuvre absolus qui mèneront les Beatles du Cavern Club à Liverpool jusqu’au toit du monde. Bien-sûr, il y a le talent des Fab Four, et leurs mélodies imparables, mais c’est bien cet ingénieur du son de génie qui va façonner cette pierre brute pour en faire un diamant à la beauté incomparable.

    De « Strawberry Fields Forever » à « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band », en passant par « Eleanor Rigby », « Yesterday » ou « Penny Lane », dans les studios d’Abbey Road, l’expérimentation devient la règle, avec le grand sorcier George Martin qui accompagne la mutation des quatre garçons dans le vent, devenus en quelques années des compositeurs tant géniaux que prolixes. Il intervient en matière de composition ou d’orchestration, et c’est encore lui qui, en plus de jouer du piano, arrange trompettes, hautbois, violoncelles, swarmandal et mellotron, le tout agrémenté d’effets sonores et autres innovations technologiques.

     

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    George Martin, le cinquième Beatle… Le compositeur, producteur et arrangeur détestait ce surnom, attribué à tant d’autres, et ne voulait pas en entendre parler. « Cinquième Beatle ? C’est stupide. Je n’aurais jamais pu écrire et encore moins interpréter toutes ces chansons ».

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Quand George Martin inventait le son des Beatles

     

     

     

  • L’Habibliothèque Needs U

     

     

    En mai 2015, nous consacrions un article à la start-up « L’Habibliothèque » fondée par trois soeurs passionnées de mode et persuadées qu’il existe une autre façon de la consommer.

    L’Habibliothèque, c’est le nouveau concept tendance, pour louer les collections actuelles des créateurs les plus en vogue à prix accessible. De partout en France, vous choisissez vos pièces sur le e-shop de L’Habibliothèque, et en 48 heures, elles sont chez vous ! Et pour les Parisiennes, vous pouvez également vous rendre au Showroom du Marais.

    Depuis un an et demi, L’Habibliothèque vous propose donc des créateurs à emprunter au quotidien. Aujourd’hui, elle revient avec une nouvelle offre, qui vous permet de louer des pièces de créateurs pour tous vos événements. La « Designers Room » était lancée il y a un mois, ainsi qu’une nouvelle offre de location ponctuelle sans abonnement, sans engagement.

     

    La Designers Room, qu’est ce qu’est ?

    La Designers Room, ce sont les créateurs les plus renommés, les best sellers, les plus belles pièces des collections à emprunter à prix accessible. L’Habibliothèque propose aujourd’hui dans sa Designers Room : Kenzo, Carven, Alexander Wang, Cacharel, Red Valentino, Vanessa Bruno…

     

    Et l’offre de location ponctuelle ?

    Un mariage, un anniversaire, une soirée, Noël, le Réveillon… ? Vous avez toutes des événements particuliers au cours de l’année, et vous avez toutes envie d’une nouvelle robe, d’un nouveau look pour ces occasions. Mais surtout pas envie de porter la même pièce à chaque fois, ou d’acheter une tenue que vous ne porterez qu’une seule fois. L’offre de location ponctuelle vous permet ainsi de renouveler votre look à l’occasion de chacun de ces événements, sans engagement et surtout sans vous ruiner. Entre 25 et 80 €, vous empruntez des pièces en location ponctuelle pour 10 jours. Ce prix comprend le pressing, les frais de port aller-retour, et la réservation des pièces jusqu’à deux mois à l’avance. C’est facile, vous ne vous souciez que de choisir vos pièces et d’en profiter !

     

    Aujourd’hui, L’Habibliothèque souhaite continuer à améliorer sa Designers Room et vous proposer plus de marques, plus de choix, plus de modèles à emprunter. Presque deux ans après la première campagne de crowdfounding, cette nouvelle phase de développement doit permettre de proposer le service de location à encore plus de personnes, et en faire la nouvelle tendance de demain pour devenir le concept numéro 1 de location de mode en France. L’Habibliothèque a donc besoin de vous pour collecter un montant minimum de 15 000 €, afin de faire rentrer trois nouvelles marques dans la Designers Room :

    ✓ Sonia by Sonia Rykiel : le chic de la Parisienne par excellence
    ✓ Paul & Joe : Des pièces chics et raffinées
    ✓ Manoush : Les pièces fortes et événementielles que vous avez toujours rêvé de porter

     

    L’Habibliothèque espère ainsi pouvoir continuer cette belle aventure grâce à vous.

    Le lien de la campagne, c’est ici !

     

     

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