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  • TheNotch | Un être aux multiples facettes…

    TheNotch | Un être aux multiples facettes…

     

    Box #1 est le premier EP de TheNotch, alias Jean-Baptiste Beltra, jeune artiste aixois de 20 ans qui nous livre le fruit de quatre années d’évolution musicale. Dans sa boîte, on trouve cinq compositions, rangées en un joyeux désordre, qui racontent plusieurs histoires.

    Celle du jazz, d’abord, son premier excitant mental, qui lui fit commencer la batterie dès l’âge de sept ans pour ne plus en sortir, et qui, dans l’album, prend la forme d’une trompette de Dizzy Gillespie, ou s’incarne encore dans la voix d’outre-tombe de Ray Charles. Celle de la soul ensuite, plus nuancée, mais qui laisse tout de même la trace de son invisible présence dans chacun des titres, au détour d’une voix ou de quelques accords. Celle du rap enfin, qui apporte par ses sonorités et sa diction saccadée une énergie quasi animale.

    À sa manière, Jean-Baptiste s’inscrit dans cette tendance du rap de rapprochement des musiques, apparue dès la fin des années 80. « La culture hip-hop ouvre plus de possibilités », avance-t-il. Il ajoute : « Quand tu t’ouvres au hip-hop, toute ta bibliothèque de jazz et de soul constitue des samples potentiels ». Dans cet album, il mêle samples et prises live, officiant lui-même, selon les différents titres, à la batterie, à la basse et au piano. Quand on lui demande de définir son travail, il répond : « S’approprier et créer », insistant sur le fait qu’un musicien doit nécessairement accumuler les heures d’écoute pour se constituer une solide culture musicale avant de tenter quoi que ce soit. Une culture musicale, Jean-Baptiste en possède une, incontestablement.  Il parle avec passion, autant de la simplicité des phrases de Count Basie, que du jeu chaloupé de Ray Charles, ou du flow délié de Mc Solaar. Il est à l’image de son EP hip-hop : un être aux multiples facettes…

    A découvrir absolument…

     

    [bandcamp width=100% height=120 album=424142009 size=large bgcol=ffffff linkcol=333333 tracklist=false artwork=small]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] The Notch @ Soundcloud

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] The Notch @ Bandcamp

     

     

     

  • TheNotch | un être aux multiples facettes…

    TheNotch | un être aux multiples facettes…

     

    Box #1 est le premier EP de TheNotch, alias Jean-Baptiste Beltra, jeune artiste aixois de 20 ans qui nous livre le fruit de quatre années d’évolution musicale. Dans sa boîte, on trouve cinq compositions, rangées en un joyeux désordre, qui racontent plusieurs histoires.

    Celle du jazz, d’abord, son premier excitant mental, qui lui fit commencer la batterie dès l’âge de sept ans pour ne plus en sortir, et qui, dans l’album, prend la forme d’une trompette de Dizzy Gillespie, ou s’incarne encore dans la voix d’outre-tombe de Ray Charles. Celle de la soul ensuite, plus nuancée, mais qui laisse tout de même la trace de son invisible présence dans chacun des titres, au détour d’une voix ou de quelques accords. Celle du rap enfin, qui apporte par ses sonorités et sa diction saccadée une énergie quasi animale.

    À sa manière, Jean-Baptiste s’inscrit dans cette tendance du rap de rapprochement des musiques, apparue dès la fin des années 80. « La culture hip-hop ouvre plus de possibilités », avance-t-il. Il ajoute : « Quand tu t’ouvres au hip-hop, toute ta bibliothèque de jazz et de soul constitue des samples potentiels ». Dans cet album, il mêle samples et prises live, officiant lui-même, selon les différents titres, à la batterie, à la basse et au piano. Quand on lui demande de définir son travail, il répond : « S’approprier et créer », insistant sur le fait qu’un musicien doit nécessairement accumuler les heures d’écoute pour se constituer une solide culture musicale avant de tenter quoi que ce soit. Une culture musicale, Jean-Baptiste en possède une, incontestablement.  Il parle avec passion, autant de la simplicité des phrases de Count Basie, que du jeu chaloupé de Ray Charles, ou du flow délié de Mc Solaar. Il est à l’image de son EP hip-hop : un être aux multiples facettes…

    A découvrir absolument…

     

    [bandcamp width=100% height=120 album=424142009 size=large bgcol=ffffff linkcol=333333 tracklist=false artwork=small]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] TheNotch @ Soundcloud

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  • Mona & Co | Cargo Culte In Tokyo

    Mona & Co | Cargo Culte In Tokyo

     

    En novembre 2012, Mona & Co publie sur Soundcloud son morceau Cargo Culte In Tokyo, en hommage au mythique Cargo Culte de monsieur Serge Gainsbourg. En avril 2013, le groupe aixois Nothing But Silence revisite le morceau, en lui apportant ce joli son electro pop bien léché, et très British, qui lui donne un nouveau souffle.

    Un an plus tard, le parisien Elvis Maurice, guitariste du groupe Diskover, nous propose à son tour sa propre relecture du morceau, avec un remix plus destructuré, mais tellement bon…

    A découvrir absolument sur le Ep deux titres Cargo Culte In Tokyo

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Andco Recordings

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nothing But Silence

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Mona & Co @ Bandcamp

     

     

     

  • Parlons Toilettes | Esplanade du Centre Georges Pompidou

    Parlons Toilettes | Esplanade du Centre Georges Pompidou

     

    Des WC avec une cabine transparente trônent depuis dimanche sur l’esplanade du Centre Georges Pompidou à Paris, dans le cadre de l’opération « Parlons Toilettes » destinée à alerter l’opinion publique sur le manque de sanitaires dans le monde.

    Le manque d’accès aux toilettes, qui touche 2,5 milliards de personnes dans le monde, est « un tabou qu’il faut briser », a estimé mardi la Coalition Eau, un collectif d’ONG, à la veille de la Journée Mondiale des Toilettes.

    D’après la Coalition Eau, en 2014, « un milliard de personnes font leurs besoins en plein air », et deux-mille enfants de moins de cinq ans meurent chaque jour de maladies diarrhéiques, causées par l’absence de toilettes, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). En effet, qui dit besoins en plein air implique immanquablement des problèmes de pollution de la nappe phréatique, avec comme conséquence un accès restreint à l’eau pour ces personnes, ainsi que la consommation par 1,8 millard d’individus d’eau contaminée par des matières fécales.

    En 2000, l’ONU s’est fixé l’objectif de réduire de moitié d’ici à 2015 la proportion de la population mondiale qui n’a pas accès à des toilettes décentes. Un but très loin d’être atteint, estime le collectif Coalition Eau. Depuis 2010, l’accès à l’assainissement est reconnu comme un droit de l’homme par les Nations Unies.

     

    [youtube id= »ThMZb3lPuR8″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Organisation Mondiale de la Santé

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nations Unies

     

     

     

  • Mona & Co | And The Beat Goes On…

    Mona & Co | And The Beat Goes On…

     

    Mona & Co joue et compose de la musique depuis la fin des années 90, à l’âge d’or de la musique électronique française, avec les St Germain, Alex Gopher, Etienne de Crécy, Motorbass, Cassius, Demon, Aqua Bassino, Shazz, F Com, Radio Nova, Magic Garden, Respect ou Rex Club. Quinze ans plus tard, il aime toujours autant voir les gens danser…

    Au début de l’année 2004, il y a plus de dix ans, on a pu entendre pour la première fois le son de & Co sur la compilation « No Tag No Music », avec un premier trax pop electro, « A Lil’ Pop Thing ». Depuis, il mixe ses influences diverses et variées dans sa musique : Mona Moore, Serge Gainsbourg, The Isley Brothers, The Doors, Studio One, St Germain, Troublemakers, Tiefschwarz, Rotax Disques, 20:20 Vision, Blue Note Records, Doubledown Recordings, Drop Music, Dessous Recordings, Lords of Svek, Chet Baker, John Coltrane, …

    & Co est toujours à la fin de tout…

    En 2014, Andco Recordings renaît, et il est temps de répandre de nouveau la bonne parole.

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Mona & Co

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Andco Recordings

     

     

     

  • Keira Knightley vs Photoshop

     

     

    « J’ai vu mon corps être malmené tant de fois, et pour tant de raisons différentes, que ce soit par des paparazzi ou sur des affiches de films. Je suis d’accord pour faire des shootings topless, tant qu’on ne me retouche pas, moi ou mes seins. Parce qu’il me semble important de dire que ce n’est pas la forme qui compte ».

    C’est en ces termes, parus dans le cadre d’une interview publiée récemment dans le magazine The Times, que l’actrice Keira Knightley a justifié la séance photo qui la montre dénudée, pou le magazine Interview, en réaction aux retouches photoshop dont son corps fait régulièrement l’objet.

    « Je veux bien poser avec les seins nus à condition qu’ils ne soient pas grossis et qu’il n’y ait pas de retouche. Parce qu’il est essentiel de montrer que la forme de notre corps n’a pas d’importance ».

    Keira Knightley s’est lancée dans ce combat il y a dix ans, à la sortie du film « Le Roi Arthur », lorsque que son visage ainsi que sa poitrine avait été modifiés pour les besoins de l’affiche.

    On retrouvera l’actrice au cinéma dans Imitation Game, sortie prévu le 28 janvier 2015.

     

    [youtube id= »QC0prng1jDY » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Keira Knightley by Patrick Demarchelier

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Keira Knightley Filmographie

     

     

  • Far Cry 4 | Réveille Ton Instinct

     

    Le quatrième volet de la saga Far Cry s’annonce comme un des jeux les plus attendus de cette fin 2014 !

    Cette nouvelle aventure, conçue par les créateurs d’Ubisoft, se déroule dans le monde fictif de Kyrat, situé dans l’Himalaya, avec ses chaînes de montagnes et sa nature sauvage, où les animaux évoluent à leur guise tout au long du voyage du héros. Mais ce n’est pas tant du jeu en lui-même dont j’aimerais vous parler…

    Dans l’attente de la sortie officielle de cette 4ème Saga, prévue pour le 18 novembre, Ubisoft nous offre un préambule à son jeu, appelé « Réveille Ton Instinct ».

    Le studio propose ainsi une suite d’histoires courtes dont vous êtes le héros. L’action se déroule à la première personne, dans quatre périples où les décisions de jeu influent sur la suite de l’aventure. Même si la liberté d’action n’est pas très grande, les possibilités qui s’offrent au joueur permettent de créer de nouvelles situations captivantes. Par exemple, un combat contre un homme à l’aide d’un corps d’alligator. Une fuite à l’aveugle, un sac sur la tête, avec comme seul guide les bruits alentour, ou encore en expérimentant différents breuvages afin d’explorer son subconscient.

    Ces choix que le joueur fait au fil de ces aventures mettent en avant cinq caractéristiques de sa personnalité : la ténacité, la bravoure, la violence, l’endurance et la sagesse. Et se découvrir soi-même, dans un jeu vidéo, s’avère être plutôt amusant !

    Mais ces quatre histoires nous permettent surtout de découvrir de façon très ludique, comme une avant-première, le monde et l’ambiance dans lesquels seront bercés les joueurs du nouveau Far Cry !

    A testez sur le site…

     

     

    [youtube id= »4Y854kuNMFU » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Réveille Ton Instinct

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Ubisoft

     

     

     

  • Instant WaveBoard

     

    La première Waveboard voit le jour en 2002, en Corée, et connait ensuite un succès fulgurant en Asie, en Amérique et en Océanie, avant de conquérir l’Europe. La Waveboard (littéralement planche pivotante, qui se braque) est un mélange de Snowboard, de Skateboard et de Surf. Elle est composée d’un plateau en deux parties (deck), disposant chacune d’une roue pouvant pivoter à 360°. Les deux parties du plateau sont reliées par une barre de torsion centrale permettant d’avancer sans avoir à poser le pied par terre.

    Dans la vidéo ci-jointe, les planches utilisées (Oxelo et Ripstik) disposent de roues pivotantes à 120° selon un système de ressorts. Il suffit de faire un mouvement de « serpent » en bougeant les talons et les orteils de bas en haut pour que la planche avance. Les roues doivent être changées tous les deux ou trois mois, selon le talent du skater et le terrain. La roue arrière, qui propulse la planche, s’use beaucoup plus vite que la roue avant.

    Le nom générique de cet engin n’est pas encore fixé, et reste tributaire de plusieurs marques commerciales qui s’en disputent la dénomination définitive. Pour la même sorte de planche, on entend ainsi parler de Waveboard, d’Essboard, ou encore d’Overboard.

    La Waveboard se distingue des deux autres simplement par ses deux barres en plastique. Créée ces dernières années, elle est déjà très répandue aux Etas-Unis. Elle peut servir à se déplacer, mais surtout à réaliser des figures (tricks) de toutes sortes, comme en Skateboard, en environnement urbain ou dans des Skateparks.

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Street Surk

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Street Surfing

     

     

     

  • In Memoriam : René Burri

    In Memoriam : René Burri

     

     

    Le 20 octobre 2014, le monde de la photographie perdait une de ses icônes. Après un long combat contre le cancer, René Burri, photographe vedette de l’agence Magnum, disparaissait à l’âge de 81 ans.

     

    Dans cette courte interview datant de 2013, René Burri nous raconte l’histoire de ses six clichés les plus connus, et en même temps sa propre histoire, à savoir comment il est devenu le photographe iconique que nous connaissons tous.

    Du Che fumant le cigare dans son bureau en 1963 au GI se divertissant dans un bordel de Seoul en 1961, en passant par Pablo Picasso à Cannes en 1957, son fameux « Men on a rooftop » saisi à Sao Paulo en 1960, les écuries de San Cristobal à Mexico City en 1976 ou la réouverture du Canal de Suez en 1974, René Burri nous emmène en voyage, et nous explique pourquoi certaines techniques modernes telles que le photoshopping vont à l’encontre de notre poursuite incessante de la vérité.

     

    [vimeo id= »68146128″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

    Crédits:
    Directed by Anthony Austin
    Interview by Matt Willey
    Produced by Helena Reis
    Lighting by Genki McClure
    Camera Assistance by Patrick Larder
    Sound by Daniel Brosnan
    Make up by Ezana Ove

    Music:

    ‘Tu’ by Bebo Valdés
    ‘Trem Das Onze’ by Adoniran Barbosa
    ‘Recuerdos de la Alhambra’ by Narciso Yepes
    ‘El Gato Montés’ by Banda Corrida
    ‘Suki Sa Suki Sa Suki Sa’ by Nana Kimono
    ‘La Ouaynaki’ by Farid El Atrache
    ‘Granada’ by Mariachi De México

    A Bosh film

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] René Burri

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] René Burri at Magnum

     

     

  • In Memoriam : Manitas de Plata

     

    Le guitariste gitan Manitas de Plata est mort dans la nuit de mercredi à jeudi à l’hôpital de Montpellier, où il était hospitalisé depuis plusieurs jours, selon sa famille. Agé de 93 ans, il avait été placé en maison de retraite en août, et il est décédé entouré de ses proches, a précisé sa fille Françoise.

    De son vrai nom Ricardo Baliardo, il était né en août 1921 dans la roulotte familiale, à Sète, d’un père marchand de chevaux. Dès l’âge de neuf ans, il maîtrise la guitare, encouragé par son oncle. Il n’apprendra jamais le solfège. jusque dix ans après la mort de son maitre, Django Reinhardt, survenue en 1953, la musique ne sera qu’un revenu d’appoint pour Manitas de Plata, jouant généralement l’été, en allant de cafés en terrasses, ou encore lors du pèlerinage aux Saintes-Maries-de-la-Mer.

    En 1965, Le photographe Lucien Clergue le recommande à des producteurs américains, qui lui feront enregistrer son premier album, et le convaincront d’aller jouer à New York, où il triomphe au Carnegie Hall. Devenu Manitas de Plata (littéralement « petites mains d’argent » en espagnol, mais plutôt « doigts de fée ») le virtuose gitan commence à fréquenter Cocteau, Brigitte Bardot, Picasso et Dali.

    En 1968, La télévision française donne carte blanche à Bardot pour présenter une émission qui lui ressemble, Le B.B Show. Un programme calqué sur celui de son ami Sacha Distel, le Sacha Show. Elle décide à cette occasion de présenter  le guitariste au grand public. « Vous entendez, c’est magnifique, c’est Manitas de Plata ».

    L’artiste, qui s’est également produit au Royal Albert Hall de Londres, aura enregistré depuis ses débuts professionnels plus de 80 disques, et vendu 93 millions d’albums.

    En 2011, il racontait qu’il avait toujours vécu à fond ses deux passions, « la musique et les femmes ». « J’ai joué avec le cœur. J’ai toujours vécu au jour le jour », disait-il. Il confiera avoir « plusieurs femmes illégitimes », sans savoir exactement combien d’enfants il a engendré : entre 24 et 28. Mais le guitariste génial en a reconnu au moins treize…

     

    [youtube id= »Eex1aqbfP08″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Manitas de Plata

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Django Station