Catégorie : Peinture

  • Ella & Pitr | Par Terre

    Ella & Pitr | Par Terre

     

    Ella & Pitr, tous deux originaires de Saint-Etienne, se sont rencontrés par hasard en 2007. Tandis qu’Ella collait des affiches, Pitr cherchait une suite logique et cohérente à dix ans de graffiti. Ils se sont très vite « collés l’un à l’autre », et depuis, ils ne se sont plus quittés, se forgeant peu à peu une réputation solide dans le monde du street-art.

    Ces deux dernières années, ils ont basculé dans la démesure, parcourant le monde en peignant les géants qui apparaissent vus du ciel dans leur vidéo « Par Terre ». la première oeuvre de cette série a été peinte sur une piste de décollage d’un aéroport désaffecté de Santiago de Chile.

    A découvrir.

    Image à la Une :

    “Femme Cannon” (2014) de Ella & Pitr

    Courtesy Galerie LeFeuvre

    © Photo Éric Simon

     

    [vimeo id= »118246794″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

    Ella & Pitr 001

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Papiers Peintres

     

     

  • Gare aux Impressionnistes !

     

     

    C’est en 1872 que Claude Monet peint son fameux tableau : Impression, soleil levant. Deux ans plus tard, un groupe de 39 artistes, parmi lesquels Monet, Pissarro, Manet, Degas, Sisley, Renoir, Cézanne, qui se définissent avant tout comme des peintres du concret et du vivant… Se prénommeront désormais les Impressionnistes !

    Cette année, le Musée d’Orsay, le STIF et la SNCF vous souhaitent de nouveau la bienvenue à bord du Train des Impressionnistes, et vous proposent, tous les week-ends du 18 avril au 27 septembre 2015, de repartir sur les traces de ces artistes majeurs, à la faveur d’un parcours initiatique qui vous mènera de la gare Paris Saint-Lazare à Vernon-Giverny ou à Rouen.

    Entre l’impressionnisme et vous, il n’y a qu’un train ! Une escapade « clé en main », proposée au travers du « Pack Destination Giverny » et des « Packs Destination Rouen ». C’est le moment d’en profiter : les musées de Giverny et de Rouen accueillent régulièrement de formidables expositions temporaires !

    Le Train de l’Impressionnisme n’est pas un train comme les autres… Car dès que vous montez à bord, vous êtes dans l’univers impressionniste. Le train est habillé à l’extérieur de célèbres tableaux de Claude Monet et Camille Pissarro. A bord du train, vous trouverez des panneaux explicatifs sur chaque peintre et chaque œuvre, ainsi qu’un site mobile dédié, accessible via un flash code, pour vous accompagner durant tout le voyage.

    Une belle escapade à prévoir…

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Voyages SNCF

     

     

     

  • Au temps de Klimt à la Pinacothèque de Paris

     

    La Pinacothèque consacre une exposition à Gustav Klimt du 12 février au 21 juin 2015. Grand représentant de l’Art Nouveau à Vienne, Klimt est l’un des pères de la Sécession viennoise : la Pinacothèque de Paris revient sur sa carrière en 180 œuvres !

    L’exposition Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne revient ainsi sur le développement de l’art viennois de la fin du XIXe siècle. Un renouveau s’opère alors dans les arts à Vienne, grâce à l’Union des Artistes Figuratifs, qui veulent offrir à « l’art autrichien une reconnaissance internationale à laquelle il aspire ».

    L’émancipation artistique de Gustav Klimt se fait en 1898, avec le célèbre tableau « Pallas Athena« , utilisé comme affiche pour la première exposition de la Sécession la même année. Gustav Klimt sera critiqué pour son œuvre jugée trop érotique, et en particulier du fait de l’utilisation de formes phalliques dans la représentation de ses femmes fatales.

    Si l’exposition à la Pinacothèque se concentre sur l’oeuvre de Klimt, elle présente aussi les travaux qui ont inspiré son œuvre, ceux de Max Kurzwell, Théodor Hörmann ou bien Carl Schuch, ainsi que les grands chefs d’oeuvre de la Sécession et de l’avant-garde autrichienne.

    Au temps de Klimt, la Sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
    Du 12 février au 21 juin 2015
    Lieu : Pinacothèque 2
    Horaires : 10h30 à 18h30 tous les jours, mercredis et vendredis jusqu’à 21h
    Tarifs : 13.00 € (tarif réduit 11.00 €)

     

     

    Gustav Klimt 000

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Pinacothèque de Paris

     

     

  • Willie Mattéi : la foule en Bad Painting

    Willie Mattéi : la foule en Bad Painting

     

    Enfant de Marseille, où il vit et travaille toujours, Willie Mattéi, 51 ans, peintre voyageur des îles entre Corse et Islande, nous invite à découvrir le Bad Painting qui emprunte aux arts de la rue (graffitis, pochoirs, affiches).

    Après l’Ecole des Beaux Arts, sa recherche artistique l’amène à nous proposer une réflexion sur le thème de « La Foule ». Ou comment mettre en peinture, d’un geste vif et rapide, une seule unité, mais plusieurs personnages à la fois. Ses toiles sont des modules, un peu comme des zooms, assemblés les uns aux autres pour former une grande surface qui, comme une foule, englobe le commun des humains en plusieurs visages chaque fois singuliers.

    A découvrir absolument…

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Willie Mattéi Facebook

     

     

  • Cinquante ans de Bowie dans un Gif…

    Cinquante ans de Bowie dans un Gif…

     

    Le 08 janvier 2015, David Bowie célébrait son 68ème anniversaire. A cette occasion, l’illustratrice Helen Green a créé un portrait animé, afin de rendre hommage au sens du style de l’icône pop. Cette série d’images revient sur les looks successifs de Bowie de 1964 à 2014, entre foulards, lentilles et autres maquillages glam. Si vous ne pouviez pas imaginer avant qu’un homme puisse se réinventer tant de fois, cette étonnante animation pourra vous aider à réviser votre jugement.

    Helen Green a créé ce GIF hypnotique en sélectionnant dix époques, parmi les 29 illustrations fixes différentes de Bowie compilées dans une composition unique, « Time May Change Me » (janvier 2015). Ces illustrations sont disponibles à l’achat sur le site Société 6.

     

     

    Bowie Hair

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Helen Green Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Dolly Chops

     

     

  • Marie Pélissier, du talent à revendre…

     

     

    Marie Pélissier est une jeune artiste de 32 ans aux talents divers. C’est d’abord le théâtre qui fut sa première passion. Elle commence à 10 ans par des cours amateurs, puis intègre sur audition la troupe professionnelle « Madani Compagnie » à l’âge de 16 ans, ce qui lui permet de jouer notamment à la Cartoucherie de Vincennes et au festival de La Villette. A 18 ans, Marie rentre aux Cours Florent dont elle sort diplômée trois ans plus tard.

    Parallèlement à cela, notre comédienne se penche avec frénésie sur la musique, puisque depuis l’adolescence, elle est également pianiste, chanteuse, et auteur-compositeur. Elle fonde son groupe Matty en 2003 et joue de nombreux concerts à Paris, notamment au Gibus et au New Morning. Actuellement Marie travaille d’ailleurs sur le projet de son premier album.

    Mais c’est la peinture qui nous intéresse ici, puisque Marie est aussi artiste peintre depuis une dizaine d’années. Son œuvre est saisissante, laissant sa créativité sans limites s’exprimer en totale liberté. Elle peint essentiellement à l’acrylique, lui préférant sa spontanéité. Les couleurs chaudes, les contrastes forts, les reliefs profonds, dévoilent ainsi des formes symboliques et évocatrices. Mais ce qui apparait comme une évidence en contemplant les toiles de Marie, c’est cette conscience écologique qui l’habite. Elle y parle de l’homme, du coeur, de l’eau, de renouvelable, de confrontation ou de régénérescence… Elle y parle de la vie, en fait.

    Marie a récemment exposé à la galerie En AparThé à Paris,  ainsi qu’au Grand Marché de l’Art Contemporain de Bastille.

    A découvrir…

     

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Marie Pélissier

     

     

     

  • Bonjour, je suis Niki de Saint-Phalle…

     

    Du 17 septembre 2014 au 2 février 2015, le Grand Palais présente la Rétrospective Niki de Saint Phalle, l’une des artistes les plus populaires de la seconde moitié du XXe siècle. Depuis l’exposition qui lui fut consacrée au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 1993, aucun événement important n’avait plus mis en avant son travail.

    Plasticienne, peintre, sculptrice et réalisatrice de films, Niki de Saint-Phale (1930 – 2002) a d’abord été mannequin, puis mère de famille, avant d’aborder l’art en autodidacte. Elle commence à peindre en 1952, s’inspirant de l’Art Brut, Dubuffet en particulier, mais aussi de Gaudi ou Pollock, pour peu à peu installer à partir de la fin des années 50 un univers personnel, original et singulier, libre de toute tendance ou mouvement.

    Plus de deux-cents œuvres et archives, beaucoup inédites, ponctuent un parcours chronologique et thématique sur plus de 2000 m2, assorti d’écrans sur lesquels l’artiste commente son travail. Des maquettes de projets architecturaux et une sculpture-fontaine (L’Arbre de Vie) devant l’entrée du Grand Palais, permettront d’évoquer l’ampleur et la diversité de son œuvre publique.

    Artiste franco-américaine, Niki de Saint Phalle ne cessera de voyager entre ses deux pays d’adoption, et d’en réconcilier les tendances artistiques. Connue comme la seule artiste femme du Nouveau Réalisme en France (avec CésarChristoYves Klein…), c’était aussi une artiste américaine, dont les œuvres sont à replacer dans une histoire des Combine Paintings Néo Dada, au côté de Jasper Johns et Robert Rauschenberg, mais aussi à l’origine du Pop Art dont son approche renouvelle la lecture.

    Ses œuvres comportent plusieurs niveaux de lecture et d’interprétation dont on a souvent omis le caractère politique, au profit d’une lecture décorative et superficielle. Aller au-delà, c’est reconnaître par exemple aux Tirs toute leur puissance subversive. Ces performances, où des tableaux étaient détruits à la carabine par elle-même, par ses amis artistes ou par le public invité, furent à la fois fondatrices dans l’histoire du happening et particulièrement scandaleuses car orchestrées par une femme.

    Dirigés contre une vision de l’art, une idée de la religion, une société patriarcale, une situation politique où guerre froide et guerre d’Algérie s’entremêlent, un pays, les États-Unis, où le port d’arme est légalisé, les Tirs sont à l’image de son œuvre ultérieure, qui se nourrit presque toujours de questionnements sociétaux.

    On en découvrira la violence, exprimée dans l’audace de ses performances, l’engagement et la radicalité du contenu politique et féministe de son travail, même si l’on se souvient peut-être avant tout des couleurs vives et gaies de ses personnages, de leurs formes si pleines et de leur si petite tête.

    Une de ses oeuvres les plus célèbres, La Cabeza Grande, sera quant à elle exposée aux mêmes dates au 104, et une sculpture de Niki de Saint Phalle sera installée en écho au Jardin flottant des berges de la Seine.

    Une biographie récente et très vivante de l’artiste : Niki de Saint Phalle, la révolte à l’œuvre, très documentée, a été écrite par Catherine Francblin et publiée chez Hazan. Elle vous permettra de compléter l’approche qui est faite ici. Les amis, les influences, les feelings apportent beaucoup à la compréhension du personnage.

    Cette exposition est organisée par la RMN – Grand Palais avec l’aimable participation de la Niki Charitable Art Foundation, et co-organisée avec le Guggenheim Museum de Bilbao. Elle bénéficie de prêts exceptionnels des musées de Hanovre et de Nice, qui ont reçu d’importantes donations de l’artiste. Elle sera présentée au musée Guggenheim de Bilbao du 27 février au 29 juin 2015.

    Niki de Saint Phalle, du 17 septembre 2014 au 2 février 2015. Grand Palais, entrée Champs-Élysées. Métro Champs-Élysées-Clemenceau ou Franklin-D.-Roosevelt. Tlj sauf le mardi de 10 à 22h. Fermeture à 20h les dimanche et lundi. 13 ou 9€ (16-25 ans, demandeurs d’emploi, famille nombreuse). Gratuit pour les moins de 16 ans, bénéficiaires du RSA et du minimum vieillesse.

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Niki de Saint-Phalle

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Grand Palais

     

     

     

  • Réouverture du Musée Picasso | Hôtel Salé, Paris

     

    Après cinq années de fermeture pour travaux, et quatre mois de retard sur la date de réouverture initialement prévue, les 5000 oeuvres de la Collection Picasso retrouvent enfin leur écrin originel, à savoir l’Hôtel Salé dans lequel le Musée est installé depuis 1985. La totalité de cet hôtel particulier du Marais, datant de 1659, est à présent consacrée, des caves aux combles, à la collection publique la plus importante au monde. Ce sont dorénavant 37 salles dont dispose le Musée Picasso, et qui constituent une surface d’exposition doublée.

    Anne Baldassari, la présidente de la Collection Picasso, vous propose un parcours magistral sur trois niveaux, durant lequel elle retrace l’ensemble de la carrière de Pablo Picasso, depuis ses premiers tableaux en 1895, à l’âge de 14 ans, aux dernières œuvres réalisées en 1972, quelques mois avant sa mort. Cette présentation chronologique est ponctuée de séquences thématiques : les autoportraits, le cubisme, les peintures de guerre… Dans les combles, le visiteur découvre la collection personnelle de Pablo Picasso : des peintures de Degas, Matisse, Cézanne, Braque, Le Douanier Rousseau ou Modigliani. Enfin, les anciennes caves de l’Hôtel Salé sont consacrées aux différents ateliers de l’artiste, ainsi qu’à son processus de création.

    Ce sont donc environ cinq-cents oeuvres sélectionnées parmi la totalité de la Collection, qui seront exposées au public à compter de ce week-end, après avoir parcouru le monde durant la durée des travaux. « Mon grand-père avait dit « donnez-moi un musée, je le remplirai ! ». Il faut savoir qu’il y a un peu moins de 500 œuvres qui sont exposées, sur un total de presque 5000 ! C’est un dixième de ce que le musée Picasso possède » déclare Olivier Picasso, le petit-fils de l’artiste. Il y expose d’ailleurs au dernier étage une partie de la collection personnelle de son grand-père.

    Car Pablo Picasso collectionnait lui-même ses amis, ses maitres, ou encore l’art africain. « Ce sont nous, les peintres, les vrais héritiers, ceux qui continuent à peindre. Nous sommes les héritiers de Rembrandt, Vélasquez, Cézanne, Matisse… Un peintre a toujours un père et une mère, il ne sort pas du néant ». Ainsi, le cocon intimiste du dernier étage de l’Hôtel Salé met en exergue ce dialogue qui s’instaure entre les oeuvres qu’il collectionnait et ses propres oeuvres présentes aux niveaux inférieurs. « Je peins contre les tableaux qui comptent pour moi, mais aussi avec ce qui leur manque », dit Picasso. Avec Matisse, on est dans le domaine de la joute artistique, tandis que les masques africains (dont le très important masque Nimba, de Guinée, grand fétiche de la maternité) dialoguent avec le Douanier Rousseau. Avec Renoir, on est plutôt dans le rapprochement sensuel.

    Ce samedi 25 octobre, Pablo Picasso aurait eu 133 ans.

    Courez-y ce week-end, c’est gratuit et c’est beau !

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Musée Picasso

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Pablo Picasso

     

     

     

  • Marc Chagall | Retrospective 1908-1985 | Milano

     

    Il s’agit de la plus grande rétrospective jamais dédiée à Marc Chagall en Italie. En six sections, cette exposition revient sur les premières années en Russie, le premier séjour en France, le retour en Russie, le premier exil en France, puis le second en Amérique, avant l’ultime retour sur la Côte d’Azur, où l’artiste retrouva son langage poétique, rasséréné par les couleurs et l’atmosphère du Midi.

    les visiteurs pourront ainsi contempler plus de deux-cents oeuvres, principalement des peintures, depuis la toute première toile de Marc Chagall, le Petit Salon (huile, 22 X 29 cm, 1908), aux dernières oeuvres monumentales des années 80, dont certaines proviennent de collections privées, et sont donc exposées au public pour la première fois.

    Tout au long de cette rétrospective consacrée à l’oeuvre de Chagall, on retrouve toutes les influences successives qui ont façonné l’oeuvre de ce peintre inclassable, du judaïsme à la rencontre avec la peinture française d’avant-garde, du fauvisme au cubisme.

    A découvrir au Palazzo Reale, à Milan, du 17 septembre 2014 au 1er février 2015.

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Mostra Chagall

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Comune di Milano

     

     

     

  • E=MC215 | Quand le Street Art et la science entrent en collision

    E=MC215 | Quand le Street Art et la science entrent en collision

     

    Les 15, 16 et 17 juillet derniers, le Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) ouvrait ses portes au public, afin de faire découvrir des oeuvres du street artist C215, qui transformait en galerie d’art géante le village scientifique de Saclay, dans l’Essonne.

    C’est à l’instigation de Jean-Luc Sida, chercheur au CEA, que ce partenariat entre art et science était proposé à l’artiste deux ans plus tôt.  Dans un premier temps réticent, C215 accepte finalement la proposition, et investit les lieux, armé de ses pochoirs et bombes de peinture.

    C’est au même moment que le CEA, désireux de se débarrasser de cette image de centre de recherche nucléaire, décide se rebaptiser Centre aux Energies Alternatives.

    Vingt-cinq oeuvres sont aujourd’hui réparties sur tout le site, tant en intérieur qu’en extérieur. Pour C215, connu principalement pour ses portraits hauts en couleur, le choix de peindre les visages de personnalités qui ont marqué l’histoire de la recherche scientifique paraissait évident. On retrouve donc les portraits d’Albert Einstein, Pierre et Marie Curie, Erwin Schrödinger, Henri Becquerel, mais aussi des personnages de fiction célèbres tels que R2D2, ou encore des personnalités comme David Bowie ou le Commandant Cousteau.

    Face au succès rencontré par l’exposition E=MC215 en juillet dernier, à noter que le CEA ouvrira de nouveau ses portes au public en octobre. Et à suivre ensuite au début de l’année 2015 une exposition transversale au CNAM ainsi qu’au Musée des Arts et Métiers, afin de présenter une certaine vision de la recherche, avec la présentation mise en scène de divers objets scientifiques d’un autre temps.

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] C215 Officiel