Catégorie : Films

  • Claude Lelouch | C’était un rendez-vous (1976)

    Claude Lelouch | C’était un rendez-vous (1976)

     

     

    Le metteur en scène français Claude Lelouch réalise en 1976 un court-métrage intitulé « C’était un rendez-vous ».

     

    Le film montre, pendant un peu plus de huit minutes, une traversée de Paris à grande vitesse, réalisée en un seul plan-séquence filmé depuis l’avant d’une voiture, au petit matin, un jour d’août 1976. L’image est accompagnée d’une bande-son composée de bruitages : bruit du moteur, changements de vitesse et crissement de pneus. La voiture n’apparait jamais : si l’on en juge par la position relative des autres véhicules rencontrés sur le parcours, la caméra semble attachée au pare-choc avant.

    Trente ans plus tard, en 2006, Claude Lelouch réalise le making-of du court de 1976, afin de répondre aux incessantes questions quant au véhicule utilisé dans le film original, ainsi que l’identité du pilote.

    « Je venais d’achever le tournage de « Si c’était à refaire ». Quand un film se termine, on effectue les rendus. J’ai donc demandé à mon régisseur quel métrage de pellicule il nous restait. Après inventaire, nous avions pas mal de chutes, entre 3000 et 4000 mètres au total. Beaucoup de petits rouleaux de 30 ou 50 mètres, mais aussi un magasin de 300 mètres, qu’il était prévu de rendre. Moi, j’avais envie de faire un court métrage que nous aurions placé en première partie du film. Depuis longtemps je voulais raconter l’histoire d’un type en retard à un rendez vous qui commet plein d’infractions pour arriver à l’heure. Pour moi, être à l’heure est une obsession. Je suis capable de prendre des risques inouïs pour ne pas être en retard. J’ai suggéré à mon opérateur, Jacques Lefrançois, l’idée d’un plan-séquence, la caméra accompagnant un type qui a rendez-vous à Montmartre avec une fille. Comme il est à la bourre, il traverse Paris à toute allure, en grillant les stops et les feux rouges. »

    Ce court-métrage a depuis inspiré de nombreux remakes…

     

    Le film original (1976) :

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    Le making-of (2006) :

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  • The Grand Budapest Hotel (2014)

     

    Wes Anderson signe là son meilleur film, le plus abouti. Entrer au « Grand Budapest Hotel », c’est comme enlever le couvercle d’une boîte de Quality Street : dans la boîte, il y a de délicieux bonbons fourrés pleins de surprises. Ralph Fiennes nous emmène dans des pièces aux décors de théâtre, comme dans un parc d’attraction. Chaque scène est soignée, du décor aux costumes, des personnages hauts en couleur aux dialogues millimétrés, de l’histoire à la chute du sketch. Tout est travaillé, réfléchi, pour nous enchanter et nous transporter dans un monde de folie totalement irréel, aux frontières du conte et de la fresque historique.

    Le film retrace les heures somptueuses d’un palace, dans la république fictive de Zubrowka. Le concierge, monsieur Gustave, prend grand soin de ses hôtes. Il prend sous son aile Zero, un jeune employé qu’il va former à prendre la relève. Tous deux vont traverser une foule de péripéties.

    Ajoutez à cela un casting de rêve : une pléïade d’acteurs ultra récompensés, à la filmographie légendaire, qui viennent s’amuser, tous maquillés et costumés de manière chaque fois improbable mais jouissive, et un Oscar pour la meilleure musique de film.

    L’anecdote : C’est Johnny Depp qui avait été pressenti pour le rôle principal, qu’on ne peut s’empêcher, de fait, de rapprocher du personnage de Willy Wonka dans « Charlie et la chocolaterie ».

     

     

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    The Grand Budapest Hotel 001

     

     

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  • Tout Tom Hanks en 7 minutes

     

    Le 23 mars dernier, c’était la grande première de James Corden aux commandes de « The Late Late Show » sur la chaîne américaine CBS. Il succédait à Craig Ferguson, qui présenta le célèbre talk-show de 2005 à 2014. Et pour un départ en fanfare, son premier invité de marque n’était autre que Tom Hanks ! L’occasion d’un petit sketch en duo avec l’acteur, pour retracer sa carrière, dans une veine un peu particulière…

     

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  • The Best Offer (Thriller – 2013)

     

    « The Best Offer » est un film qui prend son temps, avec pour toile de fond le monde de l’art.

    Virgil Oldman est commissaire priseur. Un beau jour, il reçoit un appel d’une femme étrange et mystérieuse, qui pique sa curiosité. Elle s’appelle Claire, est l’héritière d’une villa ancienne remplie d’objets d’art, de meubles anciens, et lui demande d’en faire l’inventaire.

    Impossible d’en dire plus sans gâcher l’originalité du scénario. Car ce film se regarde comme une de ces peintures qu’on découvre en grattant le vernis et la poussière d’un vieux morceau de bois. La mécanique du thriller se met en place, à la façon d’un puzzle dont les engrenages s’emboîtent peu à peu. La réussite du film tient en un scénario, véritable petit bijou, quoique totalement invraisemblable. Peu importe… On se laisse emmener par la douce mélodie italienne du film, son atmosphère distinguée, ses décors élégants, et ses dialogues raffinés.

     

     

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    The Best Offer

     

     

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  • Fruitvale Station (Biopic, 2013)

     

    Les médias américains regorgent de faits divers de ce genre : des flics blancs à la gâchette facile qui se prennent pour des cow-boys, des jeunes noirs à la dégaine de dealer et de gang rappeur. Une mauvaise rencontre, et ça vire au cauchemar. D’un côté un connard de flic, de l’autre un délinquant qui l’a bien cherché. Nos jugements à l’emporte pièce sont vite posés.

    C’est pour rompre avec cela que le réalisateur Ryan Coogler a voulu donner un nom, un visage et une vie, au jeune de 22 ans abattu ce soir-là devant ses copains. Pour rien… En 2008, Ryan a le même âge que la victime, se rendait à la même soirée de réveillon de Nouvel An, pour voir le même feu d’artifice dans la Baie de San Francisco.

    Il est presque minuit. Oscar Grant prend le métro avec ses amis et sa petite amie. Il est l’heureux papa d’une petite fille de quatre ans qui l’adore. Comme d’ailleurs sa mère, sa sœur, sa grand-mère, ou ses collègues de travail à la boucherie d’un supermarché.

    Flash-back : on vit avec Oscar sa journée du 31 décembre 2008. Le rythme est lent et sobre, sans effet de manche. Nous passons la journée avec Oscar, et c’est exactement ce que voulait le réalisateur : que nous passions du temps avec Oscar pour apprendre à le connaître. Jusqu’à l’enchaînement fatal. On sort de là en se disant « quel gâchis ! », « quelle tristesse ! ». On pense à sa famille, à sa mère Wanda, à ses amis, à sa femme et sa fille, réunis à l’hôpital dans une scène incroyable de dignité.

    Qu’en aurait-il été sans les preuves filmées par les portables de toutes les personnes présentes sur le quai ? Car malgré cela, deux ans, avec une sortie de prison au bout de onze mois, c’est bien peu de chose.

    Fruitvale Station Grand Prix du Jury et du Public au Festival de Sundance 2013.

     

     

     

     

    Fruitvale Station 001

     

     

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  • Foxcatcher (Biopic, 2014)

     

    Le 26 janvier 1996, le milliardaire John du Pont se rend chez Dave Schultz, lutteur médaillé d’or aux Jeux Olympiques en 1984, et le tue de trois balles de révolver. « Foxcatcher » retrace le cheminement psychologique qui a conduit cet homme à détruire la vie de toute une famille et les rêves de deux frères, sportifs de très haut niveau.

    Cadet d’une famille fortunée de quatre enfants, diplômé en sciences naturelles, il exerce sa philanthropie en créant un musée d’histoire naturelle dans le Delaware en 1972. Cependant, sa vraie passion, c’est le sport. Il rêve de devenir un grand athlète et de représenter les Etats-Unis aux JO, mais arrive avant-dernier aux sélections en pentathlon. Il choisit alors de devenir entraîneur, d’abord en natation, puis en lutte. Y arriver tourne à l’obsession. Il utilise sa fortune pour recruter des champions, faire construire dans son « jardin » un centre d’entraînement, y faire venir l’équipe américaine en échange d’un don de 500 000 dollars par an. Mal dans sa peau, l’alcool et la cocaïne aidant, en besoin de reconnaissance vis à vis de sa mère puis du monde entier, il sombre peu à peu dans la folie, exigeant de ses athlètes des vidéos à sa gloire, voulant être reconnu comme leur coach et mentor. Il devient cet homme seul et pathétique. Avec le départ programmé du dernier des deux frères, la solitude devient insupportable et le pousse à l’irréparable.

    « Foxcatcher » est aussi l’histoire de ces deux frères, tous deux champions du monde et médaillés olympiques, véritables prodiges du sport américain. Le film pose le problème du statut des athlètes, et de leur non-reconnaissance par leur pays. 19 000 euros pour une médaille, puis, plus rien… La question de salarier les athlètes entre deux championnats ou olympiades se pose, afin que ceux-ci puissent se consacrer à leur entraînement durant les deux années qui les précèdent.

    A noter que le réalisateur Benneth Miller s’est vu décerner le Prix de la mise en scène à Cannes, pour « Foxcatcher ».

     

     

     

     

    Foxcatcher 001

     

     

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  • Whiplash (Drame – 2014)

     

    Oscar du meilleur second rôle pour J.K. Simmons, Grand prix du Jury et Prix du Public aux éditions 2014 des festivals de Sundance et Deauville… Pas mal pour une adaptation de court-métrage, déjà primé à Sundance en 2013, et réalisé par le même Damien Chazelle.

    Tout se passe dans le décor très sobre et studieux du prestigieux Shaffer Conservatory à New-York. Andrew Neiman, jeune batteur de 19 ans, veut plus que tout attirer l’attention du professeur Terence Fletcher, dont la réputation ferait se damner tout musicien de jazz qui souhaiterait entrer dans son orchestre. Connu pour son intransigeance et ses coups de gueule, il fascine ses élèves par son charisme et son exigence extrême. D’inflexible, il devient intraitable puis tyrannique, oscillant entre brutalité et perversion.

    Le film pose la question de l’enseignement et du génie : jusqu’où aller pour tirer le meilleur de ses élèves ? Fletcher a sa propre conviction : retranché derrière l’histoire de Charlie Parker, qui reçut une cymbale lancée par son professeur, Jo Jones, sous prétexte d’un jeu particulièrement décevant, il rentra chez lui dépité, s’entraîna durant un an, avant de revenir, et devenir l’un des meilleurs musiciens de jazz de l’histoire. Buté, tyrannique, Fletcher va trop loin. « Whiplash » montre tour à tour les efforts du jeune Neiman pour séduire son professeur, puis, s’en affranchir. La tension monte jusqu’à l’extrême entre ces deux perfectionnistes, sur fond de solos de batterie impressionnants.

    Montez le son et régalez-vous !

     

    Whiplash, extrait du court-métrage de Damien Chazelle primé à Sundance en 2013

     

    [vimeo id= »89364612″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

    Whiplash 001

     

     

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  • Mommy (2014) : l’amour d’une mère…

     

    Waow… Mommy est un film incroyablement puissant. On sort de là complètement secoué, comme après être passé dans le tambour d’une machine à laver. Autant d’émotions condensées en 2h de temps, ça ne laisse pas indemne. Coeurs sensibles, vous voilà prévenus !

    Diane est la mère d’un adolescent hyperactif, dont il faut gérer les crises de violence brusques et dévastatrices. Elle possède en elle une telle force, un tel concentré de volonté, un pouvoir de résistance hors du commun, qui la transforment en héroïne du quotidien. Portée par l’amour pour son fils, elle affronte, l’une après l’autre, ses crises, aidée par l’amitié de sa voisine. Ce film est aussi un plaidoyer pour le droit à la liberté et à la différence. L’urgence de profiter, la tension créée par la crainte que tout bascule, nous prend aux tripes.

    Xavier Dolan, le réalisateur, n’a que 25 ans, et déjà cinq films à son actif. Il signe là un OVNI dans le paysage cinématographique, servi par une très bonne BO. On sort de la salle en état de choc, totalement bouleversé par des acteurs époustouflants, dont Antoine-Olivier Pilon qui crève l’écran. Avec aussi la curiosité de découvrir les autres films de ce réalisateur prodige, dont « Tom à la ferme » (2013) ou « J’ai tué ma mère » (2009).

     

     

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    Mommy 002

     

     

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  • La sortie de la semaine : « Dear White People »

     

    « Dear White People », c’est le titre d’une émission de radio durant laquelle une étudiante métisse, Sam, se moque des préjugés des étudiants blancs à l’égard des noirs sur le campus.

    L’affiche est alléchante : Coup de cœur à Sundance, prix spécial du jury. Mais la critique est mitigée : coup de maître pour certains, pâle copie sans saveur du cinéma de Spike Lee pour les autres. Pourtant, le film un énorme succès aux Etats-Unis.

    L’histoire raconte les relations entre étudiants noirs et blancs sur un campus américain. Quatre étudiants noirs font face aux clichés et caricatures véhiculés par leurs congénères blancs, qui ont organisé une soirée déguisée « Afro ». Il est question, vous l’aurez compris, d’identité raciale dans la toute nouvelle Amérique d’Obama.

    Pour voir le film, branchez la radio !

     

     

    [vimeo id= »44018538″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

    Dear White People 004

     

     

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  • Leonardo et les Oscars

     

    Pourquoi Leonardo DiCaprio n’a-t-il jamais obtenu d’Oscar ? Depuis le temps que je me pose cette question, il serait temps d’enquêter sur le sujet.

    Monsieur DiCaprio a derrière lui 22 années de carrière et 50 films. Mais il n’a jamais obtenu « que » quatre prix, alors qu’il a été nommé 26 fois, ce qui représente une moyenne de plus d’une nomination chaque année. Quant aux Oscars en particulier, il a été nommé pour la première fois en 1994, il avait 20 ans. Pas mal… La dernière, c’était vingt ans plus tard, en 2014 pour « Le Loup de Wall Street », l’excellent film de Martin Scorsese. C’est « tout »… Alors que se passe-t-il avec Leonardo ?

    Reconnu par les critiques (NBR Award en 2012 – meilleur second rôle masculin dans « Django Unchained ») et par la presse (Golden Globe en 2014 pour « Le Loup de Wall Street »), mais pas par ses pairs, malgré trois prestations époustouflantes trois années de suite (avec « J. Edgar » en 2013), peut-on dire de lui qu’il n’est pas aimé par « Le Tout Hollywood » ?

    Il multiplie pourtant les casquettes : acteur, scénariste, producteur, comme Brad Pitt, ou les interventions en faveur de la planète comme Clooney. Mais rien n’y fait… Pas même le « Titanic », le plus gros succès du box-office mondial : 11 Oscars, mais pas un seul pour Leonardo.

    On dit que l’acteur est mal vu de l’Académie en raison de sa vie privée (il pourrait être découvreur de mannequins pour l’agence Elite).

    On dit aussi qu’il joue de malchance en tombant chaque fois face à des films événements comme « Dallas Buyer’s Club » avec Matthew MacConaughey, lauréat en 2013.

    On dit qu’il est encore trop jeune… Adrien Brody n’avait pourtant que 29 ans en 2003 pour « Le Pianiste ».

    On dit que les producteurs et distributeurs de ses films ne mettent pas assez d’argent pour la promotion, et que lui-même ne serait pas du genre à faire campagne, pourtant tout aussi importante que sa prestation. On s’en est bien rendu compte pour Jean Dujardin avec « The Artist ». Puni de ne pas vouloir jouer le jeu ? N’oublions pas que le cinéma est moins un art qu’une industrie aux US.

    On dit que c’est parce qu’il traîne partout avec lui sa mère, « sans qui rien de tout cela ne serait arrivé », au lieu de remercier réalisateurs et producteurs.

    Tout ça sonne faux. Talentueux, bosseur, ambitieux, il est l’un des talents les plus époustouflants de sa génération. Il ne compte pas ses efforts, s’investit à 200 % dans ses rôles, ne boude pas la transformation physique et les entraînements, qui peuvent durer des mois, pour préparer un rôle.

    Qu’à cela ne tienne… On prend le même et on recommence… Léonardo Di Caprio prépare sa course aux prochains Oscars. Ceux de février 2016, en l’occurrence. Il interprétera pas moins de 24 personnalités différentes dans le film « The Crowdeed Room » adapté du livre « Les mille et une vies de Billy Milligan ». Il en sera également le producteur. Reste à trouver le réalisateur. Avec, à la clef, on le lui souhaite, un Oscar. Enfin…

    Vidéo : The Wolf Of Wall Street / Run With The Wolf  © 2014 HelloMuller

     

     

     

     

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