Catégorie : Culture

  • Fête du Graphisme 2015 du 7 janvier au 4 mars à Paris

     

    Lancée avec succès en janvier 2014, La Fête du Graphisme s’inscrit aujourd’hui dans le paysage national et international des rendez-vous de la création, de l’échange, du partage, et place Paris sur la carte des capitales du graphisme dans le monde, comme Londres, New York ou Tokyo.

    La deuxième édition de la Fête du Graphisme se déploie dans tout Paris, du 7 janvier au 4 mars 2015, avec ses expositions et ses événements dans de grands lieux culturels parisiens, et plus généralement dans toute la ville.

    De grands rendez-vous sont ainsi proposés au public afin de découvrir la pluridisciplinarité des arts graphiques : expositions, projections, conférences, rencontres, soirées, …

    La Fête du graphisme investira l’ensemble de la capitale au travers d’un important plan de communication et d’affichage déployé dans l’ensemble de la ville, avec de véritables parcours semés d’événements et de rencontres.

    En vidéo, petite séance de rattrapage si vous avez raté l’édition 2014…

     

     

    https://vimeo.com/86035672

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Fête du Graphisme

     

     

  • Pour ou contre Jooks ?

    Pour ou contre Jooks ?

     

     

    Le site Jooks remporte les suffrages des 17-35 ans, parce qu’il ose dire tout haut ce que d’aucun pense tout bas.

    40.000 fans sur Facebook, une application téléchargée 150.000 fois, il repose sur la base d’un concept polémique qui tient lieu de défouloir. Récréatif passe-temps, il joue sur la provocation, son créateur n’étant autre que l’ancien sherpa de Thierry Ardisson… outre ses participations aux projets de Nova, Paris Dernière, Cult & Jalouse, Fabien Prade est aussi écrivain à ses heures (roman « Parce que tu me plais« ).

    Ce phénomène de société s’appuit sur les réseaux sociaux, et apporte une certaine fraîcheur par rapport à la presse spécialisée, entre revues métrosexuelles et pornographiques. Le parti pris des trois associés de Jooks est de publier et de laisser monter le buzz, en ne répondant jamais aux commentaires.

    Canal Plus s’est montré intéressé pour succéder à Bref, mais ça n’a finalement pas collé entre eux.

    Certaines femmes sont heureuses de savoir ce que pense vraiment leur homme, dans une société où les diktats de ce qui est à la mode (ou pas) sont souvent menés par des femmes.

    Chaque chronique se termine par un « allez, bonne chance », censé inciter ces messieurs à s’affirmer plus virils et machos qu’ils ne sont. Alors, ce concept sexiste, est-il finalement nauséabond ou salvateur ?

     

    [vimeo id= »112512153″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Jooks

     

     

     

  • Kent Sheely – Between The Lines

     

    Une scène de la série « The Big Bang Theory » sortie de son contexte, et débarrassée de tout dialogue, c’est le concept du court « Between The Lines » réalisé par Kent Sheely, vidéaste originaire de Brooklyn.

    Il a saisi et monté subtilement ces courts instants pendant lesquels les personnages attendent que le public cesse de rire ou d’applaudir.

    Le résultat est étonnant, et agréablement décalé.

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Kent Sheely Official

     

     

  • Projet Livre : Lila e a Luneta Magica

    Projet Livre : Lila e a Luneta Magica

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    Lila e a Luneta Magica est un projet de création d’un livre pour enfant en plusieurs langues (Portugais-Brésil, Français et Anglais).

    Daniela H., écrivain brésilien, et son illustratrice, avaient besoin d’un artiste qui mette en scène cette histoire à l’aide de photographies.

    Elles ont rencontré Sacha, photographe et graphiste, qui a réalisé ce travail, pour un résultat final qui enchante le regard.

    A découvrir absolument…

    [/vc_column_text][/vc_tab][vc_tab title= »Les artistes » tab_id= »1410008861-2-51301e-cdf9″ icon= »male »][vc_column_text css_animation= »right-to-left »][bc_member size= »25″ name= »dani » fields= »Mon activité artistique principale: »]

    [bc_member size= »25″ name= »sachafed » fields= »Mon activité artistique principale: »][/vc_column_text][/vc_tab][vc_tab title= »Actualités » tab_id= »1410009079467-2-10301e-cdf9″ icon= »calendar »][vc_column_text css_animation= »right-to-left »]Le livre est publié au Brésil depuis le mois de septembre 2014, par les Editions Cassara à Rio de Janeiro.

    Bientôt une version française.[/vc_column_text][/vc_tab][vc_tab title= »Liens Web » tab_id= »1410009463157-3-8301e-cdf9″ icon= »link-ext »][vc_column_text css_animation= »right-to-left »][kleo_icon icon= »facebook » icon_size= » »] Page Facebook du livre 

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= » »] Site web de Sacha Federowsky[/vc_column_text][/vc_tab][/vc_tabs][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »yes » section_type= »main » bg_position= »top » bg_position_horizontal= »left » bg_repeat= »no-repeat » bg_cover= »true » bg_attachment= »false » parallax_speed= »0.1″ padding_top= »60″ padding_bottom= »60″ min_height= »0″ border= »bottom » css_animation= »right-to-left »][vc_column width= »1/1″][vc_gallery type= »grid » images= »1788,1796,1797″ onclick= »link_image » custom_links_target= »_self » img_size= »400×400″ grid_number= »2″ gap= »large »][kleo_gap size= »10px »][vc_progress_bar values= »25|Ecriture,25|Peinture,50|Photographie » bgcolor= »bar_blue » title= »Domaine artistique »][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »yes » section_type= »main » bg_position= »top » bg_position_horizontal= »left » bg_repeat= »no-repeat » bg_cover= »true » bg_attachment= »false » parallax_speed= »0.1″ padding_top= »60″ padding_bottom= »60″ min_height= »0″ border= »none » css_animation= »right-to-left » text_align= »center »][vc_column width= »1/1″][kleo_gap size= »20px »][/vc_column][/vc_row]

  • Projet Musique : Cargo Culte in Tokyo

    Projet Musique : Cargo Culte in Tokyo

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    En novembre 2012, Mona & Co publie sur Soundcloud son morceau Cargo Culte In Tokyo, en hommage au mythique Cargo Culte de monsieur Serge Gainsbourg. En avril 2013, le groupe aixois Nothing But Silence revisite le morceau, en lui apportant ce joli son electro pop bien léché, et très British, qui lui donne un nouveau souffle.

    Un an plus tard, le parisien Elvis Maurice, guitariste du groupe Diskover, nous propose à son tour sa propre relecture du morceau, avec un remix plus destructuré, mais tellement bon…

    A découvrir absolument sur le Ep deux titres Cargo Culte In Tokyo

     

    [soundcloud url= »https://api.soundcloud.com/tracks/89895834″ params= »auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false&visual=true » width= »100% » height= »450″ iframe= »true » /][/vc_column_text][/vc_tab][vc_tab title= »Les artistes » tab_id= »1410008861-2-51301e-cdf9361c-873099f7-ead7″ icon= »male »][vc_column_text css_animation= »right-to-left »][bc_member size= »25″ name= »chris » fields= »Mon activité artistique principale: »]

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= » »] Nothing but Silence[/vc_column_text][/vc_tab][/vc_tabs][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »yes » section_type= »main » bg_position= »top » bg_position_horizontal= »left » bg_repeat= »no-repeat » bg_cover= »true » bg_attachment= »false » parallax_speed= »0.1″ padding_top= »60″ padding_bottom= »60″ min_height= »0″ border= »bottom » css_animation= »right-to-left »][vc_column width= »1/1″][kleo_gap size= »10px »][vc_progress_bar values= »100|Musique, » bgcolor= »bar_blue » title= »Domaine artistique »][/vc_column][/vc_row][vc_row inner_container= »yes » section_type= »main » bg_position= »top » bg_position_horizontal= »left » bg_repeat= »no-repeat » bg_cover= »true » bg_attachment= »false » parallax_speed= »0.1″ padding_top= »60″ padding_bottom= »60″ min_height= »0″ border= »none » css_animation= »right-to-left » text_align= »center »][vc_column width= »1/1″][kleo_gap size= »20px »][/vc_column][/vc_row]

  • In Memoriam : Manitas de Plata

     

    Le guitariste gitan Manitas de Plata est mort dans la nuit de mercredi à jeudi à l’hôpital de Montpellier, où il était hospitalisé depuis plusieurs jours, selon sa famille. Agé de 93 ans, il avait été placé en maison de retraite en août, et il est décédé entouré de ses proches, a précisé sa fille Françoise.

    De son vrai nom Ricardo Baliardo, il était né en août 1921 dans la roulotte familiale, à Sète, d’un père marchand de chevaux. Dès l’âge de neuf ans, il maîtrise la guitare, encouragé par son oncle. Il n’apprendra jamais le solfège. jusque dix ans après la mort de son maitre, Django Reinhardt, survenue en 1953, la musique ne sera qu’un revenu d’appoint pour Manitas de Plata, jouant généralement l’été, en allant de cafés en terrasses, ou encore lors du pèlerinage aux Saintes-Maries-de-la-Mer.

    En 1965, Le photographe Lucien Clergue le recommande à des producteurs américains, qui lui feront enregistrer son premier album, et le convaincront d’aller jouer à New York, où il triomphe au Carnegie Hall. Devenu Manitas de Plata (littéralement « petites mains d’argent » en espagnol, mais plutôt « doigts de fée ») le virtuose gitan commence à fréquenter Cocteau, Brigitte Bardot, Picasso et Dali.

    En 1968, La télévision française donne carte blanche à Bardot pour présenter une émission qui lui ressemble, Le B.B Show. Un programme calqué sur celui de son ami Sacha Distel, le Sacha Show. Elle décide à cette occasion de présenter  le guitariste au grand public. « Vous entendez, c’est magnifique, c’est Manitas de Plata ».

    L’artiste, qui s’est également produit au Royal Albert Hall de Londres, aura enregistré depuis ses débuts professionnels plus de 80 disques, et vendu 93 millions d’albums.

    En 2011, il racontait qu’il avait toujours vécu à fond ses deux passions, « la musique et les femmes ». « J’ai joué avec le cœur. J’ai toujours vécu au jour le jour », disait-il. Il confiera avoir « plusieurs femmes illégitimes », sans savoir exactement combien d’enfants il a engendré : entre 24 et 28. Mais le guitariste génial en a reconnu au moins treize…

     

    [youtube id= »Eex1aqbfP08″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Manitas de Plata

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Django Station

     

     

     

  • Kâma-Sûtra | Pinacothèque de Paris

     

    L’exposition Le Kâma-Sûtra : Spiritualité et Erotisme dans l’art indien interroge ce joyau unique que constitue le texte du Kâma-Sûtra. Attribué à un brahmane, Vatsyayana, qui l’aurait écrit au IVe siècle de notre ère, ce texte majeur de l’Hindouisme médiéval, composé de sept livres, fut souvent mal interprété et incorrectement présenté comme un livre pornographique.

    A l’image du Kâma-Sûtra, chaque salle de l’exposition est consacrée à l’un des sept tomes qui composent l’ouvrage. Le premier livre, le Sadharana, est une succession de principes généraux. Le deuxième, le Samprayogika, consacré aux jeux amoureux, est celui que l’on connaît le plus. Viennent ensuite le Kanya Samprayuktata, pour apprendre à faire la cour, et le Bharyadhikarika sur le rôle de l’épouse. Le livre 5, le Paradarika, traite de l’adultère. Son pendant féminin, le 6, est le Vaisika, sur la courtisane. Le dernier livre, l’Aupanishadika, donne quelques bons conseils pour la route.

    L’exposition interroge le texte du Kâma-Sûtra ainsi que le contexte dans lequel il a été écrit, les raisons pour lesquelles il a été écrit, ceux à qui il se destinait, et sa pertinence dans la société actuelle. Elle tentera également de comprendre pourquoi l’Occident porte un regard déformé sur ce livre, en quoi il est le père de la pensée érotique dans les beaux-arts et la poésie, et s’il existe une iconographie des « dieux » indiens associée au Kâma-Sûtra.

    Traduite pour la première fois en anglais par l’écrivain Richard Burton en 1883, l’œuvre fut mise en opposition à la pudibonderie anglaise de l’époque et, de ce fait, longtemps censurée. Aujourd’hui encore, « il serait compliqué d’organiser une telle exposition en Inde alors que, dans les temps prémodernes, l’érotisme était une part essentielle de la vie, regrette la commissaire. Mais nous pourrions essayer, espère-t-elle. La société change vite ».

    Du 2 octobre 2014 au 11 janvier 2015, à la Pinacothèque de Paris (Site Pinacothèque 2, au 8 Rue Vignon, Paris 9ème).
    © Pinacothèque de Paris

     

     

    [youtube id= »acZWVpq2RrA » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Pinacothèque de Paris

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Kâma-Sûtra

     

     

     

  • Gail Albert Halaban, l’ambivalence de la vie…

    Gail Albert Halaban, l’ambivalence de la vie…

     

     

    Gail Albert Halaban vit et travaille à New York. Ses premiers clichés, elle les prend à six ans, avant d’intégrer la prestigieuse Yale University School of Art, option Photographie, dont elle sort diplômée d’un Master Of Fine Arts (MFA) en 1996. Tout son travail explorera dès lors l’ambivalence de la vie, entre public et privé, ce qui est apparent et ce qui reste caché, premier et second plan, réalité et fiction, solitude et urbanité, observation et voyeurisme…

    Son dernier ouvrage paru en 2012, « Vis-à-Vis » est le portrait d’une ville, à travers un Paris historique et typique. Il se veut le prolongement de son ouvrage précédent, « Out of my Window » réalisé à New York en 2009. Et on y retrouve cette confrontation sans cesse recherchée par Gail Albert Halaban, entre premier et second plan, planes perspectives de façades d’immeubles parisiens contre formes et reliefs des occupants de ces mêmes immeubles, qui apparaissent au second plan, et dans un second temps… Précisons tout de même qu’il ne s’agit pas ici de clichés volés, mais bien de photographies mises en scène par l’artiste.

    A découvrir…

     

    [arve url= »https://vimeo.com/177848738″ maxwidth= »900″ /]

    Photo à la une extraite de « Vis à vis, Paris » © Gail Albert Halaban

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Gail Albert Halaban Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Gail Albert Halaban at My Modern Met

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] PowerHouse Books

     

     

  • Les Trans 2014 | Rennes | 03 au 07 Décembre 2014

     

    Les 36èmes Rencontres Trans Musicales de Rennes auront lieu du 3 au 7 décembre 2014. N’oubliez pas, chers anti-melomanes, que depuis 1979 les Trans nous ont permis de découvrir un nombre certain d’artistes émergents, tels que Nirvana, Ben Harper, Lenny Kravitz, LCD SoundSystem, Portishead, Birdy Nam Nam, Melody’s Echo Chamber, Daft Punk, Etienne Daho, Godspeed You! Black Emperor, V.V. Brown, Björk, Skip&Die, TNGHT, ou plus récemment, London Grammar, Moodoïd, Jungle… Tous sont passés par les Trans alors qu’ils étaient encore totalement inconnus, excusez-moi du peu.

    Les tendances musicales de demain sont aux Trans, à bon entendeur… Kenavo !

    Programmation 2014 des Trans Musicales de Rennes : 6ème Dimension Company, A-WA, Alphaat, Alsarah & The Nubatones, André Bratten, Animal Chuki, Awesome Tapes from Africa, Bantam Lyons, Barnt + Aguayo, Big Buddha, Bison Bisou, Black Commando, Blutch, Boris Brejcha, Chancha via Circuito FT Miriam Garcia, CIE Revolution, Clap! Clap!, Clarens, Compact Disk Dummies, Cosmo Sheldrake, Costello, Courtney Barnett, Courtship Ritual, Curtis Harding, Dad Rocks!, Darjeeling Speech, Dead Obies, Den Sorte Skole, Dollkraut, Eagles Gift, F.E.M, Fawl, Fitness, Forever Pavot, Fragments, Franck McWeeny, Friend Within, Fumaça Preta, Fuzeta, Gandi Lake, Grand Blanc, I Me Mine, Islam Chipsy, Jambinai, Jeanne Added, Joy Squander, Joyce Muniz, Jungle By Night, Kate Tempest, Kosmo Pilot, La Fine Equipe, La Mverte, Le ZOOO, Lizzo, Lord Paramour, Mac L’arnaque, Marco Barotti, Max Jury, Meta Meta, Molotov Jukebox, Money for Rope, Montreal Sex Machine, Moses Sumney, My Summer Bee, N’To, Naked (on Drugs), Negative Supply, New Jackson, Ninos du Brasil, Oso Leone, Pablo Nouvelle, Pierre Kwenders, President Bongo, Puts Mary, Raury, Rich Aucoin & Encore!, Rone, Sabina, Salt Cathedral, Sax Machine feat Racecar, Sekuoia, Shamir, Smoove & Turrell, Soft Lift, Shongoy Blues, Superets Sound System, Ten Walls, The Avener, The Hacker Live, The Ringo Jets, The Slow Sliders, Thylacine, Too Many Zooz, Tumi Mogorosi, Vaudou Game, Verveine, Viking, Vilify, Wife et Wilkimix.

     

     

    [youtube id= »D3BPoSjtQ3g » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

  • La Fiac 2014 débarque chez vous !

     

    La Fiac 2014 ouvre ses portes à l’art contemporain du monde entier du 23 au 26 Octobre 2014 au Grand Palais à Paris.

    Quel dommage…! Vous n’êtes ni parisien, ni adepte des files d’attentes interminables, inventées par une petite souris américaine pour ses parcs d’attractions, et de plus, à ce jour, aucune compagnie aérienne low-cost n’a malheureusement eu la très bonne idée de vous proposer un forfait aller / retour pour Paris avec la visite d’un musée comprise.

    Mais, ne soyez pas trop triste… Et réjouissez-vous plutôt, mes frères et sœurs amoureux de l’art contemporain, car la Fiac pense à vous. Alors, on bouge le mobilier, et on fait de la place dans le salon, pour accueillir la Fiac 2014 !

    Visite virtuelle de la Fiac 2014

    Et surtout, on n’oublie pas de se préparer pour la Convention Center de Los Angeles du 27 au 29 mars 2015. Une fois de temps en temps, un peu d’organisation, comme disait ma grand-mère, ça fait du bien !