Catégorie : Culture

  • Festival Jazz Bouche à Oreille : du 22 au 25 mai 2015

     

    La sixième édition du festival de Jazz Bouche à Oreille (le JazzMaine) se tiendra du 22 au 25 mai 2015 à Bouchemaine, petit village de 6 500 habitants en bord de Loire, à seulement 10 km au sud de la capitale angevine, et à moins de 2h de Paris.

    Nous l’avions déjà évoqué dans un article au mois de mars, mais nous connaissons maintenant toute la programmation de cette édition 2015.

    Cette année, les batteurs seront plus particulièrement à l’honneur.

    le vendredi soir, c’est le groupe de Sonny Troupé, batteur antillais, qui se produira, accompagné notamment d’un joueur de gwo-ka, percussion antillaise.

    Le samedi soir, soirée de gala avec, en seconde partie le trio de Daniel Humair, considéré aujourd’hui comme le meilleur batteur en Europe, qui depuis cinquante ans, a joué avec les plus grands jazzmen européens et américains.

    Enfin, cette édition sera parrainée par Mourad Benhammou, excellent batteur largement reconnu, qui se produira à plusieurs reprises au cours du festival.

    Parmi les autres têtes d’affiche du chapiteau (implanté dans le parc du Petit Serrant), citons Alban Darche et son Hypercube, Ester Rada, chanteuse israélienne qui devrait ravir le public dimanche 24 en soirée, et Fat Cat Trio, le lundi après-midi.

    D’autres musiciens, jeunes talents de la scène jazz, seront présents à la confluence de la Maine et de la Loire, dans les jardins de propriétés magnifiques et d’autres lieux.

    Une fois encore, le festival propose une programmation exigeante, de grande qualité, qui devrait permettre à cette 6ème édition de rassembler un large public prêt à découvrir ou redécouvrir des musiciens de grand talent.

    A inscrire dès maintenant dans les agendas : du vendredi 22 au lundi 25 mai, quatre jours de jazz non stop à Bouchemaine.

     

    Festival BAO 002

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Festival Bouche à Oreille

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Festival BAO Facebook

     

     

  • La fondation Marguerite et Aimé Maeght

    La fondation Marguerite et Aimé Maeght

     

     

    La Fondation Marguerite et Aimé Maeght, plus connue sous le nom de « Fondation Maeght », est une fondation privée d’art moderne et contemporain unique en Europe, située à proximité du village de Saint-Paul de Vence.

     

    Créée à l’initiative de l’architecte catalan Joseph Lluis Sert, ainsi que de divers artistes peintres et sculpteurs, la « Fondation Maeght » se compose d’espaces propres à chacun d’entre eux.

    Nous retrouvons ainsi des oeuvres intégrées au bâtiment et à la nature : la cour de Giacometti, le Labyrinthe de Miró, les mosaïques murales de Pierre Tal Coat et de Marc Chagall, le bassin et la mosaïque de Braque, la fontaine animée de Pol Burry

    Dans cet univers où l’art moderne est omniprésent, des expositions temporaires sont également proposées.

    Ouverte toute l’année, sept jours sur sept, la « Fondation Maeght » accueille chaque année plus de 200.000 visiteurs, et possède une des plus importantes collections européennes d’oeuvres du 20ème siècle. Une destination conseillée à chacun, qui pourra s’épanouir dans ce site majestueux, où jardins et salles dialoguent avec harmonie et définissent entre eux un monde surnaturel.

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    FACE17 - MONORY - DEATH VALLEY N1

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    FM33- TAL COAT VERT DANS L ABRUPT

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    FM18- KANDINSKYNOEUDROUGEFONDATIONMAEGHT

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    FM08- LABYRINTHE MIRO FONDATION MAEGHT

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Fondation Maeght

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Georges Braque

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Giacometti

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Joan Miró

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Pierre Tal Coat

     

     

  • Jean This Is The End (Théâtre)

    Jean This Is The End (Théâtre)

     

    Dimanche soir, mauvais temps sur Paris… Direction le Café de la Gare, pour aller voir cette pièce dénichée par Monsieur mon mari. « Jean, This Is The End » de Manon Rony. Mais ça parle des Doors ou quoi ? Oui, des Doors, de Jim Morrisson. Sa dernière semaine de vie à Paris, au travers de scènes cultes, dans la loge d’un club parisien. Mais la pièce est surtout centrée sur un autre personnage : le dealer, Jean. Le dealer de Pam et des autres stars de l’époque. Vivantes ou pas. Cette drogue qui en a déjà fait mourir certains à 27 ans. Pam a besoin de lui. Jim a besoin de Pam. Sam a besoin de Jean pour sa clientèle…Tout le monde aime Jean. Plus que Jim ?

    La pièce nous fait plonger dans l’univers sexe, drogues et rock ‘n’ roll du début des années 70. La bande son est juste parfaite : Jimmy Hendrix, Janis Joplin… et les Doors évidemment !

    Une pièce qui donne envie de réécouter les Doors en boucle, et de comprendre pourquoi on a passé l’été de ses 15 ans à lire l’oeuvre de Jim Morrisson !

    Jim : « Je me suis acharné à devenir plus célèbre que les Beatles, qui eux-mêmes se disent plus célèbres que Jésus. Tu vois où ça me place. »

     

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    Jean This Is The End 001

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Ticketac – Jean This Is The End

     

     

  • Gare aux Impressionnistes !

     

     

    C’est en 1872 que Claude Monet peint son fameux tableau : Impression, soleil levant. Deux ans plus tard, un groupe de 39 artistes, parmi lesquels Monet, Pissarro, Manet, Degas, Sisley, Renoir, Cézanne, qui se définissent avant tout comme des peintres du concret et du vivant… Se prénommeront désormais les Impressionnistes !

    Cette année, le Musée d’Orsay, le STIF et la SNCF vous souhaitent de nouveau la bienvenue à bord du Train des Impressionnistes, et vous proposent, tous les week-ends du 18 avril au 27 septembre 2015, de repartir sur les traces de ces artistes majeurs, à la faveur d’un parcours initiatique qui vous mènera de la gare Paris Saint-Lazare à Vernon-Giverny ou à Rouen.

    Entre l’impressionnisme et vous, il n’y a qu’un train ! Une escapade « clé en main », proposée au travers du « Pack Destination Giverny » et des « Packs Destination Rouen ». C’est le moment d’en profiter : les musées de Giverny et de Rouen accueillent régulièrement de formidables expositions temporaires !

    Le Train de l’Impressionnisme n’est pas un train comme les autres… Car dès que vous montez à bord, vous êtes dans l’univers impressionniste. Le train est habillé à l’extérieur de célèbres tableaux de Claude Monet et Camille Pissarro. A bord du train, vous trouverez des panneaux explicatifs sur chaque peintre et chaque œuvre, ainsi qu’un site mobile dédié, accessible via un flash code, pour vous accompagner durant tout le voyage.

    Une belle escapade à prévoir…

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Voyages SNCF

     

     

     

  • From Mambo to Hip-Hop, a South Bronx Tale

    From Mambo to Hip-Hop, a South Bronx Tale

     

    [kleo_pin type= »circle » left= »yes » right= » » top= » » bottom= » »]          « FOCUS » : un article de fond sur un thème que nos rédacteurs ont sélectionné.

     

    Penser que le Mambo ou la Salsa sont nés à Cuba ou Puerto Rico, pour être ensuite importés aux Etats-Unis, c’est occulter complètement l’influence majeure du South Bronx dans l’émergence de ces musiques aux yeux du monde.

     

    A la fin de la seconde guerre mondiale, l’arrivée massive de populations en provenance de Puerto Rico sera à l’origine du dynamisme créatif de ce quartier de New York. Le Mambo est partout, et des clubs consacrés à cette musique, les Latin Balrooms, fleurissent à chaque coin de rue. Des bancs de la Public School 54 émerge dans les années 40 une génération bénie de musiciens exceptionnels, de Ray Barretto à Eddie Palmieri, en passant par Willie Colon et Benny Bonilla, tous originaires du South Bronx. Quant à Tito Puente, d’environ dix ans leur ainé, il grandit à Spanish Harlem.

    Ce qui va d’abord réunir tous ces gamins, c’est le Stickball, « the poor man’s baseball ». Puis viendra la musique et la danse, avec comme point d’ancrage le jukebox trônant au milieu de l’épicerie tenue par les parents d’Eddie Palmieri. Tout ce beau monde fera ensuite ses armes dans les meilleures formations du moment, parmi lesquelles celles de Machito ou Tito Rodriguez.

    Dans les années 50 et 60, au coeur du Bronx où se côtoient les communautés African American et Afro-Cubaines, le Mambo made in NYC s’imprègne peu à peu d’influences diverses telles que l’Afro Beat et le Rhythm ‘n’ Blues.

    A la fin des années 60, la combinaison de toutes ces facettes de la musique cubaine posera les bases d’un style plus « agressif », que le label prédominant de l’époque, Fania Record Company, dénommera Salsa. La Salsa n’est pas un rythme, c’est un concept. Comme le disent les divers initiateurs de ce nouveau son : « Salsa,  Cuban Music with a freakin’ New York attitude »…

    L’explosion de la Salsa connaitra son apogée avec le concert géant des Fania All Stars organisé au Yankee Stadium en 1973, en plein coeur du Bronx. Quarante-mille personnes en transe assistent à cet évènement réunissant la crème des musiciens latinos du moment, tous originaires des alentours du stade. Ce qui caractérise cette nouvelle forme de musique cubaine, c’est le rythme qui prend le pas sur la mélodie. Regardez une performance de Tito Puente, el rey de las timbales, pour vous convaincre du pouvoir hypnotique et tribal de la Salsa. Ce qui est sûr, c’est que sans l’établissement de cette communauté portoricaine dans Spanish Harlem ou le South Bronx, à partir des années 20, la musique cubaine n’aurait probablement pas survécu.

    Mais le Bronx change… L’arrivée en force du trafic de drogue coïncide avec la formation des premiers gangs qui, conjuguée à la construction du Cross Bronx Express Way, mènera peu à peu à un nouvel exil des populations cubaines et portoricaines vers le West Bronx, ainsi qu’au déclin du borough. Les Dancehalls ferment les uns après les autres, tandis que l’esprit du Bronx disparait au gré des incendies.

    En 1974, des cendres et des gravats encore fumants du South Bronx va émerger une nouvelle musique qui, comme la Salsa, met en avant le rythme par rapport à la mélodie : le Hip-Hop. Les pionniers de ce genre musical, à l’instigation d’Africa Bambaataa et de sa Zulu Nation, investissent les immeubles délabrés du quartier, et dieu sait s’il y en a, pour créer autant de dancehalls improvisés où s’affronteront désormais de façon pacifique les gangs, devenus crews, dans le cadre très codifié de battles sur le dancefloor.

    La communauté black du South Bronx est à l’origine de l’émergence du Hip-Hop, avec Grandmaster Flash ou Cold Crush Brothers, mais les portoricains ne sont pas en reste avec quelques Djs qui deviendront des mythes, comme Charlie Chase.

    A l’aube des années 80, Sugarhill Gang offre le tout premier hit planétaire au Hip-Hop, Rapper’s Delight, tandis que la Disco Music investit Brooklyn.

    Ne manquez pas « From Mambo to Hip-Hop, a South-Bronx Tale », un documentaire exceptionnel revenant sur la contribution d’un quartier de New York à l’émergence d’un genre musical qui va révolutionner la musique moderne…

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] South Bronx

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Musical Landscape of the South-Bronx

     

     

  • La Petite Pause Digitale ⏩ Graphonaute

    La Petite Pause Digitale ⏩ Graphonaute

     

     

    Graphonaute… Derrière ce nom étrange se cache un étudiant en sciences de 19 ans, Hugo Germain. Le jeune graphiste nous livre une combinaison subtile entre images réelles et animations 3D, par l’intermédiaire de gifs hallucinants, à découvrir sur son site.

     

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  • 33 tours autour d’un microsillon – Barry Godber

     

    In the Court of the Crimson King est le premier album studio du groupe britannique King Crimson, paru le 10 octobre 1969. Le critique Edward Macan écrit dans son livre « Rocking The Classics », que l’album “Pourrait être l’album de rock progressif le plus influent jamais publié”. Et pour info, Pete Townshend, leader des Who, parle d’un « chef-d’œuvre de l’étrange ».

    La pochette de l’album est réalisée par Barry Godber, un jeune informaticien de 23 ans, mort l’année suivante d’une attaque cardiaque. La pochette a joué un grand rôle dans les ventes de l’album : le public, interloqué par elle, achète le disque sans même savoir ce qu’il contient.

     

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  • 33 tours autour d’un microsillon | Drew Struzan

     

    Main Course est le treizième album des Bee Gees, et cet album “charnière” pour le groupe sort en 1975 chez RSO Records. Les Bee Gees y mélangent des ballades pop caractéristiques du début des années 1970 et des tubes de musique disco, ce style musical qui deviendra leur marque de fabrique à la fin des années 1970.

    La pochette de l’album est réalisée par l’artiste américain Drew Struzan. Immédiatement, vous vous dites : « Drew Struzan… ?? Connais pas ! ». Sauf que sans le savoir, vous le connaissez déjà.

    Car Drew Struzan a réalisé plus de 150 affiches de film, dont la totalité des Retour Vers Le Futur, Indiana Jones et Star Wars. Il a aussi réalisé les affiches de E.T. l’extra-terrestre, de Blade Runner, des Goonies, de Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet, et plus récemment des deux premiers Harry Potter.

    A découvrir…

     

    Instant-City-Drew-Struzan-02

     

     

     

     

  • Jean-Paul Gaultier au Grand Palais

     

    Quoi de plus sexy, pour fêter ses 45 ans de carrière, que d’investir le Grand Palais pour une exposition-évènement ? Lorsque Jean-Paul Gaultier, le gamin de Bagneux, franchit les portes de la maison Pierre Cardin en 1970, le jour même de ses 18 ans, aurait-il pu raisonnablement entrevoir plus beau parcours professionnel ?

    Après avoir parcouru le monde durant quatre années, de Montréal à Londres, en passant par Madrid, Rotterdam ou New York, et attiré plus de 1.4 million de visiteurs, l’exposition s’arrête donc à Paris, du 1er avril au 3 août 2015, et constitue la dixième étape d’un projet initié par Nathalie Bondil, directrice du Musée des Beaux-Arts de Montréal.

    Cette rétrospective exceptionnelle présente ainsi des pièces inédites du créateur (haute couture et prêt-à-porter), créées entre 1970 et 2013. Elles sont accompagnées de croquis, archives, costumes de scène, extraits de films, de défilés, de concerts, de vidéoclips, de spectacles de danse et d’émissions télévisées.

    A travers cette exposition, il faut y voir en filigrane le portrait de l’enfant terrible de la mode. Jean Paul Gaultier voit de la beauté partout, et s’en inspire avec jubilation : cuir, dentelle, jean, plumes… Il célèbre la vie par le vêtement, et s’amuse à transgresser les codes.

    A ne rater sous aucun prétexte…

     

     

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    Jean-Paul Gaultier 003

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Jean-Paul Gaultier

     

     

  • Spot – Sounds of Two Eyes Opening

    Spot – Sounds of Two Eyes Opening

     

     

    Dans les milieux du punk et du hardcore, Glen Lockett alias Spot est une légende. Il s’est d’abord fait connaitre en tant que producteur du label punk indépendant SST Records. Il a d’ailleurs réalisé divers albums de quelques-uns des groupes majeurs des années 70 et 80, parmi lesquels Minor Threat, Black Flag, The Misfits, The Minutemen, The Meat Puppets, ou encore des cultissimes Hüsker Dü.

    Ainsi, pendant six ans, de 1975 à 1981, lorsqu’il n’officie pas derrière la table de mixage du label SST Records, il traîne ses guêtres sur les skate parks ou les plages des environs, derrière l’objectif de son boitier Nikon, y capturant des instantanés de cette contre-culture skate californienne des années 70, dénommée « So Cal« , pour Southern California. Un monde peuplé de bikinis, de surf et de skate, où les sujets de Spot passent leurs journées sous le soleil brûlant à skater ou surfer, avant de s’enfoncer à la tombée de la nuit dans les basements, pour y écouter les groupes du moment.

    Près de trente-cinq ans plus tard, à l’instigation de son ami Ryan Richardson, qui s’est attaqué à la lourde tâche de classer quelques milliers de négatifs, afin d’en sélectionner les meilleurs, Spot rend hommage à cette culture « So Cal », dans un bel ouvrage de 272 pages : Sounds of Two Eyes Opening.

    Entre couleur et noir & blanc, ces photos nous dépeignent une Amérique en pleine mutation, sortant des sixties et de la guerre du Vietnam, pour rentrer dans une nouvelle ère où rien ne sera plus jamais comme avant…

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Spot Official