Auteur/autrice : Instant-Chris

  • Rétrospective Garry Winogrand au Jeu de Paume

     

     

    Le Jeu de Paume consacre au photographe américain Garry Winogrand (1928-1984) sa première rétrospective depuis vingt-cinq ans. Célèbre pour ses instantanés noir et blanc dressant un vibrant portrait des Etats-Unis des années 1950 au début des années 80, Winogrand est sans conteste l’un des maîtres de la photographie de rue, au même titre que Walker Evans, Robert Frank, Lee Friedlander ou William Klein.

    Pourtant, l’analyse de son oeuvre, particulièrement prolifique, et de son influence dans l’histoire du médium, reste lacunaire. Disparu brutalement à 56 ans, Winogrand n’aura pas eu le temps de rattraper le retard pris dans l’archivage, le développement et le tirage de ses photographies… Près de 65 000 pellicules et planches contacts, soit quelque 250 000 clichés, restent alors inexploitées.

    Cette rétrospective réunit ses images les plus emblématiques, ainsi que des tirages inédits, puisés dans les archives en grande partie inexplorées de la fin de sa vie. Elle offre une vue d’ensemble rigoureuse de son parcours, et embrasse, pour la première fois, la totalité de sa carrière. Chroniqueur de l’Amérique d’après-guerre, témoin de son siècle, à l’égal d’un Norman Mailer ou d’un Robert Rauschenberg, Winogrand se fait la voix d’une nation fragilisée, oscillant entre doute et espoir. La fin du rêve américain, en quelque sorte…

    Commissariat : Leo Rubinfien, Erin O’Toole et Sarah Greenough

    Exposition coproduite par le San Francisco Museum of Modern Art et la National Gallery of Art de Washington

    > A l’occasion de l’exposition, un catalogue monographique de référence est édité. 448 pages, disponible en versions française et anglaise. Coédition Jeu de Paume / SFMoma

    > Acheter le catalogue : http://www.librairiejeudepaume.org

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Le Jeu de Paume

     

     

     

  • Cinquante ans de Bowie dans un Gif…

    Cinquante ans de Bowie dans un Gif…

     

    Le 08 janvier 2015, David Bowie célébrait son 68ème anniversaire. A cette occasion, l’illustratrice Helen Green a créé un portrait animé, afin de rendre hommage au sens du style de l’icône pop. Cette série d’images revient sur les looks successifs de Bowie de 1964 à 2014, entre foulards, lentilles et autres maquillages glam. Si vous ne pouviez pas imaginer avant qu’un homme puisse se réinventer tant de fois, cette étonnante animation pourra vous aider à réviser votre jugement.

    Helen Green a créé ce GIF hypnotique en sélectionnant dix époques, parmi les 29 illustrations fixes différentes de Bowie compilées dans une composition unique, « Time May Change Me » (janvier 2015). Ces illustrations sont disponibles à l’achat sur le site Société 6.

     

     

    Bowie Hair

     

     

     

     

    [youtube id= »Kag6B4qDoDA » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Helen Green Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Dolly Chops

     

     

  • The Nostalgia Machine

    The Nostalgia Machine

     

     

    Vous souhaitez retrouver les titres et les groupes qui ont bercé votre jeunesse ? The Nostalgia Machine vous propose une solution rapide pour remonter dans le temps.

     

    Utiliser la machine à remonter la musique The Nostalgia Machine est plutôt simple. Il suffit de choisir l’année, à partir de 1960, puis de cliquer sur “Hit Me”, et le tour est joué. Vous tombez sur une grande sélection des tubes les plus populaires de l’année en question.

    Retrouvez ainsi ces trésors qu’on pensait enterrés à jamais car trop ringards, ou appréciez les morceaux cultissimes qui n’ont pas pris une ride.

    En ce qui me concerne, je remonterai donc à l’année 1965, juste pour réaliser qu’un certain nombre de hits devenus des standards ont ponctué cette année-là… Eh oui, on peut être né en 1965 et être encore vivant…

     

    [arve url= »https://vimeo.com/108097380″ align= »center » title= »Like a Rolling Stone » description= »The greatest song by the greatest American folk singer Bob Dylan. Recorded and released in the summer of 1965″ maxwidth= »900″ /]

     

     

    [youtube id= »nrIPxlFzDi0″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] The Nostalgia Machine

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Reelin In The Years

     

     

     

  • Hôtel du Petit Moulin – Griffé Christian Lacroix

     

     

    Situé en plein coeur du Marais, ce bâtiment datant du 17ème était à l’origine une boulangerie traditionelle, qui comptait Victor Hugo parmi ses clients, avant de se voir converti par Christian Lacroix en un hôtel-boutique original, l’Hôtel du Petit Moulin.

    Chacune des dix-sept chambres ou suites de l’établissement est décorée de façon délicieusement éclectique, depuis les motifs ou divers objets mis en scène par le couturier lui-même, jusqu’aux papiers peints désuets et aux étoffes chamarrées. Le soir venu, descendez boire un verre au Bar du Petit Moulin, dans un cadre intimiste et feutré.

    A découvrir…

    29-31 Rue de Poitou
    Paris 3ème
    Tel. + 33 1 42 74 10 10
    Chambre double à partir de 190 €

     

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Hôtel du Petit Moulin

     

     

     

  • Nothing But Silence – Leur premier Ep « NBS »

    Nothing But Silence – Leur premier Ep « NBS »

     

     

    L’histoire de Nothing But Silence débute en 2008 au Lycée Vauvenargues d’Aix en Provence, à l’occasion d’un concert au cours duquel Emmanuel Alias et Gilles Cazorla jouent chacun dans leurs groupes respectifs, Alcatraz et Dyastema. Ils gardent ensuite contact, et tentent de coopérer dans plusieurs formations.

    Ayant des difficultés à trouver des musiciens rentrant dans le cadre de ce qu’ils veulent créer, et étant tous deux multi-instrumentistes autodidactes, ils décident donc en 2012 de s’autoproduire à deux, en alliant compositions et reprises revues à leur sauce. Le duo s’essaye à plusieurs styles, du Rock au Rap, en passant par l’Electro-Rock, toujours avec ce son qui sert de lien à leurs essais.

    Leurs compositions s’inspirent d’artistes tels que Robin Foster, Archive, Sigur Ros, Pink Floyd, U2, Coldplay…

    Le 10 janvier 2015, ils sortent leur premier EP, « NBS ». A découvrir en avant-première sur leur page Soundcloud…

     

    [youtube id= »cNUM6g58RF0″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nothing But Silence BandPage

     

     

     

  • David Bowie Is…

    David Bowie Is…

     

    Depuis qu’elle s’est installée en mars 2013 au Victoria & Albert Museum de Londres, l’exposition « David Bowie Is » a attiré près de trois-cents-mille visiteurs. Forte de son succès, elle s’envole pour un grand tour du monde. Après New York, Berlin, Toronto, Sao Paulo et Chicago, l’exposition s’établira finalement à la Cité de la Musique de Paris, du 03 mars au 31 mai 2015.

    Ainsi, les Parisiens pourront à leur tour découvrir cette exposition qui retrace cinquante ans de carrière de l’icône pop britannique. On y retrouvera des extraits sonores, des vidéos, des clips, des photographies, des notes manuscrites inédites, des objets personnels, des peintures… mais également soixante costumes de scène. Après avoir parcouru les galeries du musée, on pourra repartir avec le catalogue « David Bowie Is » qui s’est vendu à 46.000 exemplaires à Londres, mais on peut d’ores-et-déjà oublier les 500 éditions limitées qui se sont écoulées en quatorze minutes sur internet.

    David Bowie est définitivement l’un des artistes avant-gardistes majeurs du XXe siècle. Toujours à la pointe des évolutions musicales, il surprend, s’invente, se métamorphose tout au long de sa carrière. C’est cet itinéraire riche et fascinant que l’exposition vous propose de découvrir. L’exposition est entièrement en français et en anglais (textes et commentaires audio). Le dispositif de sonorisation par casque stéréo individuel permet de découvrir l’exposition à votre rythme, en partenariat avec Seenheiser.

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] David Bowie Official

     

     

  • Focus | Marlon Brandon, l’ange déchu

     

     

    Tout homme a sa part d’ombre… Et aucun autre acteur que Marlon Brando n’aura à ce point magnifié et dédaigné son métier. Son histoire, c’est celle d’un acteur qui avait hérité d’une beauté diabolique, d’un génie indécent, d’un magnétisme qui aura fasciné les femmes comme les plus grands réalisateurs, et qui pourtant, n’aura eu de cesse que de contrecarrer les plans que Dieu lui-même avait échafaudés pour lui. Au lieu de ça, il finira seul, prisonnier de ses démons et de son plus mauvais rôle, son propre rôle…

    En 1979 sort sur les écrans « Apocalypse Now » de Francis Ford Coppola. Marlon Brando y incarne le torturé Colonel Kurtz, et les critiques verront un parallèle troublant entre son personnage et sa propre existence, à savoir celle d’un homme solitaire et perdu. Et pourtant… Ces quelques scènes où apparait Brando, le crâne rasé, dans la semi-obscurité, ne font que confirmer l’étendue de son talent unique. Le film est remarquable, certes, mais ce sont ces scènes avec Brando qui resteront à jamais gravées dans la mémoire collective. Car on parle bien de celui qui inspirera plusieurs générations d’acteurs, de James Dean à Johnny Depp, en passant par Paul Newman, Steve Mc Queen, Robert Redford, Al Pacino, Jack Nicholson, Robert de Niro ou Dustin Hoffman…

    En 1943, Marlon Brando intègre par hasard The Actor Studio de New York, et le cours de Lee Strasberg. Sous la houlette de Stella Adler, il se forme à la méthode de Konstantin Stanislavsky, à savoir une nouvelle façon d’approcher les rôles, fondée sur la vérité des sentiments, l’improvisation et l’oubli du scénario originel, pour un approfondissement psychologique du personnage, allant parfois jusqu’à l’excès. Stella Adler déclarait à son sujet : « Marlon n’a jamais réellement eu besoin d’apprendre à jouer. Il savait ».

    En huit années, de « C’était des hommes » (The Men, 1951) à « L’homme à la peau de serpent » (The Fugitive Kind, 1959), Brando marquera d’une empreinte indélébile le cinema mondial, en s’imposant comme l’un des tout meilleurs acteurs de tous les temps, précipitant le déclin de la génération des acteurs shakespeariens comme Laurence Olivier. Au long de cette décennie marquée à son sceau, Marlon Brando sera nommé à cinq reprises pour l’oscar du meilleur acteur, qu’il obtiendra en 1955 pour « Sur les quais » (On The Waterfront, 1954), et il deviendra l’icône de toute une génération avec le rôle de Johnny dans « L’équipée sauvage » (The Wild One, 1953).

    Cette légende, construite dans les années 50, c’est à croire que Brando s’est ensuite évertué à la détruire, et à se détruire lui-même, à petit feu, dans les décennies qui suivirent. En effet, dès le début de sa carrière, Marlon Brando montre déjà le plus profond mépris pour le métier d’acteur, comme pour le star system hollywoodien, ou plus généralement le milieu du cinéma. Il déclarait « Je trouve le métier d’acteur détestable, désagréable ». Ces derniers lui rendirent bien, lassés de son imprévisibilité, de ses caprices, de ses exigences financières astronomiques, comme de ses prises de position souvent cyniques, voire dérangeantes.

    Marlon Brando aura refusé tout au long de sa carrière tellement de rôles, dont certains se seront par la suite avérés être de grands rôles, parmi lesquels Laurence d’Arabie en 1962, tout comme les récompenses qu’il ne daignera pas aller chercher… A commencer par son oscar pour Le Parrain. Embaucher Brando, c’était devenu une réelle gageure pour les réalisateurs, comme les producteurs. Ce lent suicide artistique entamé dans les années 60 sera néanmoins ponctué de quelques chefs d’oeuvre, tels que « Le Parrain » (The Godfather, 1972), « Le dernier tango à Paris » (Ultimo Tango a Parigi, 1972) ou « Apocalypse Now » (1979).

    Redécouvrez absolument les multiples facettes de ce génie torturé, disparu il y a dix ans…

     

     

    [arve url= »https://vimeo.com/146616120″ align= »center » maxwidth= »900″ /]

     

     

    The Chase (1966)

    [youtube id= »B5ao3N4OFuE » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Marlon Brando Official

     

     

     

  • Instant City XMas Playlist – Décembre 2014

    Instant City XMas Playlist – Décembre 2014

     

    Lors de la mise en ligne de la playlist du mois de décembre, on s’était donné rendez-vous, non, pas dans dix ans, seulement en janvier 2015… Mais vous nous manquez déjà, alors ne boudons pas notre plaisir, et offrons-nous une dernière petite sélection pour fêter Noël dignement.

    Il y a 46 ans précisément, le 21 décembre 1968, la seconde mission habitée du programme spatial Apollo, Apollo 8, transportait pour la première fois des hommes au-delà de l’orbite terrestre, et permettait pour la première fois également à un homme de contempler la face cachée de la lune. Cette mission fut aussi l’occasion de la première célébration de Noël dans l’espace, avec une lecture « spatiale » du Livre de la Genèse diffusée à l’humanité par l’intermédiaire de la télévision.

    Alors, 46 ans plus tard, cette Instant City XMas Playlist est à son tour la première célébration de Noël diffusée depuis Instant City à l’humanité… En toute modestie, bien entendu…

    Nous attaquons avec Tuxedo, qui nous viennent de la West Coast, avec leur son funky old-school, sur le label californien Stones Throw Records. On enchaine avec la sensation R’n’B du moment, BANKS, et un remix de son morceau Warm Water, par Snakehips. A suivre le petit parisien FKJ, French Kiwi Juice, fer de lance du label français Roche Musique, qui nous balance une jolie pépite disco-électro comme on les aime. Le Nantais SBON nous livre ensuite sa version du titre Waves de Mr Probz, sorti en 2013, et largement remixé depuis. Silk Rhodes, nos chouchous du moment, avec leur titre Pains, toujours sur le label Stones Throw Records. Samadhisound, le label de David Sylvian, nous offre une collaboration entre l’ex leader du groupe Japan et Ryuichi Sakamoto, le compositeur de la BO de Furyo, le magnifique World Citizen (I Won’t Be Disapointed). Imagined Herbal Flows, Hip-Hop producer de Washington D.C., nous enchante ensuite avec son Clouds, sorti sur le label parisien DDM Recordings. Toujours sur Stones Throw Records, à suivre le Holiday de Homeboy Sandman. On enchaine avec le Sonnentanz des autrichiens de Klangkarussell, joli track house aux claviers entêtants. On a ressorti ensuite un vieux morceau de 2003 du suedois Hird, Keep You Kimi, sorti sur le label DNM (Dealer of Nordic Music). Dan Jamez, notre DJ australien adoré, nous livre sa toute dernière production, Profluent, sur le label parisien Colors Of Soul. Simple et efficace, comme on aime. On change de vibe avec le label berlinois Sonic Pieces, et les norvégiens de Deaf Center, avec le titre Oblivion. Pour se laisser glisser en douceur jusqu’à l’année prochaine…

    Allez, salut maintenant ! See you in 2015 !

    Soumettez-nous vos morceaux sur notre Page Soundcloud

     

     

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    @danjamez

    Vous pouvez  en discuter aussi dans ce District d’Instant City…

     

     

    [soundcloud url= »https://api.soundcloud.com/playlists/65942119″ params= »auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false&visual=true » width= »100% » height= »450″ iframe= »true » /]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Tous les liens vers les artistes de la playlist » class= » » id= » »]

     

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    [vc_video title= »Et en cadeau, le clip de BANKS – Warm Water… » link= »https://www.youtube.com/watch?v=hYG3iIcZOkw »][vc_empty_space height= »32px »][vc_video title= »+ Mr Probz – Waves… » link= »https://www.youtube.com/watch?v=0a5WyAjL1MM »][vc_empty_space height= »32px »][vc_empty_space height= »32px »]

     

  • Marie Pélissier, du talent à revendre…

     

     

    Marie Pélissier est une jeune artiste de 32 ans aux talents divers. C’est d’abord le théâtre qui fut sa première passion. Elle commence à 10 ans par des cours amateurs, puis intègre sur audition la troupe professionnelle « Madani Compagnie » à l’âge de 16 ans, ce qui lui permet de jouer notamment à la Cartoucherie de Vincennes et au festival de La Villette. A 18 ans, Marie rentre aux Cours Florent dont elle sort diplômée trois ans plus tard.

    Parallèlement à cela, notre comédienne se penche avec frénésie sur la musique, puisque depuis l’adolescence, elle est également pianiste, chanteuse, et auteur-compositeur. Elle fonde son groupe Matty en 2003 et joue de nombreux concerts à Paris, notamment au Gibus et au New Morning. Actuellement Marie travaille d’ailleurs sur le projet de son premier album.

    Mais c’est la peinture qui nous intéresse ici, puisque Marie est aussi artiste peintre depuis une dizaine d’années. Son œuvre est saisissante, laissant sa créativité sans limites s’exprimer en totale liberté. Elle peint essentiellement à l’acrylique, lui préférant sa spontanéité. Les couleurs chaudes, les contrastes forts, les reliefs profonds, dévoilent ainsi des formes symboliques et évocatrices. Mais ce qui apparait comme une évidence en contemplant les toiles de Marie, c’est cette conscience écologique qui l’habite. Elle y parle de l’homme, du coeur, de l’eau, de renouvelable, de confrontation ou de régénérescence… Elle y parle de la vie, en fait.

    Marie a récemment exposé à la galerie En AparThé à Paris,  ainsi qu’au Grand Marché de l’Art Contemporain de Bastille.

    A découvrir…

     

     

     

     

     

    [youtube id= »qr0svYK3okg » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Marie Pélissier

     

     

     

  • Kent Sheely – Between The Lines

     

    Une scène de la série « The Big Bang Theory » sortie de son contexte, et débarrassée de tout dialogue, c’est le concept du court « Between The Lines » réalisé par Kent Sheely, vidéaste originaire de Brooklyn.

    Il a saisi et monté subtilement ces courts instants pendant lesquels les personnages attendent que le public cesse de rire ou d’applaudir.

    Le résultat est étonnant, et agréablement décalé.

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Kent Sheely Official