Catégorie : Peinture

  • La Tour 13 : Une exposition collective unique et éphémère

     

     

    En 2013, le projet « Tour 13 » était mené des mois durant dans la plus grande confidentialité par la Galerie Itinerrance, avec le soutien de la Mairie du 13ème et l’accord du bailleur de la Tour Paris 13, ICF Habitat La Sablière. Un projet qui a mobilisé plus d’une centaine d’artistes de Street Art, de quinze nationalités différentes, venus bénévolement des quatre coins du monde, pour investir cette tour avant sa destruction le 8 avril 2014, afin de laisser place à de nouveaux logements sociaux. Un projet hors normes, avec plus de 4 500 m2 de surface au sol et autant de pans de murs et plafonds, 9 étages et des sous-sols, 36 appartements de 4 à 5 pièces, parfois encore meublés. Un projet en cohérence totale avec le mouvement du Street Art, puisqu’à la fin, tout disparut dans les gravats. Un projet devenu réalité et qui fut ouvert au public du 1er au 31 octobre 2013.

     

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    Avec le livre-événement « Tour Paris 13 » paru en novembre 2014 chez Albin Michel, Mehdi Ben Cheikh, à l’initiative de ce projet et fondateur de la galerie Itinerrance, vous guide, étage par étage, dans cette tour devenue mythique et aujourd’hui détruite. Il a réuni dans cet ouvrage les meilleures images des plus grands photographes de Street Art venus des quatre coins du monde pour immortaliser cette œuvre monumentale unique. Un livre-objet spectaculaire à la mesure de cet événement majeur qui inscrivit le Street Art comme un véritable mouvement artistique d’envergure mondiale.

     

     

     

    108 ARTISTES VENUS DU MONDE ENTIER :

    Pantonio (Portugal) – 108 (Italie) – 2mil (Bresil) – Add Fuel (Portugal) – AGL(France) – Agostino Lacurci (Italie) – Alëxone (France) – A1one (Iran) – Amin (France) – Aous (Arabie Saoudite) – AweR (Italie) – Azooz (Arabie Saoudite) – Belem (Portugal) – Bom.K (France) – BToy (Espagne) – C215 (France) – Celeste Java (France) – Cope2 (USA) – Corleone (Portugal) – Dabro (Tunisie) – Dado (Italie) – Dan23 (France) – David Walker (UK) – Eime (Portugal) – eL Seed (Tunisie) – Ethos (Bresil) – Etnik (Italie) – Fenx (France) – Flip (Brésil) – Gael (France) – Gilbert (France)- Guy Denning (UK)- Herbert Baglione (Brésil) – Hogre (Italie) – Hopnn (Italie) – Indie 184 (USA) – Inti Ansa (France) – Inti Castro (Chili) – Jaz (Argentine) – JB Rock (Italie)- Jimmy C (Australie) – Joao Samina (Portugal) – Jonone (USA) – Joys (Italie) – Julien Colombier (France) – Kan (France) – Katre (France) – Kruella (Portugal) – Legz (France) – Lek (France) – Liliwenn (France) – Loiola (Brésil) – Ludo (France) – Madame Sanbor (France) – Mar (Portugal) – Marko93 (France) -Mario Belem (Portugal) – Maryam (Arabie Saoudite) – Matéo Garcia Leon (France) – Maz (Arabie Saoudite) – MoneyLess (Italie) – Mosko (France) – Mp5 (Italie) – Myre (France) – Nano (Chili) – Nebay (France) – Nemi Uhu (France) – Nilko (France) – Orticanoodles (Italie) – Pantonio (Portugal) – Paulo Arraiano (Portugal) – Peeta (Italie) – Philippe Baudelocque (France) – Rapto (Brésil) – Rea 1 (France) – Rodolphe Cintorino (France) – Roti (France) – Sambre (France) – Sean Hart (France) – Sebastien Preschoux (France) – Senso (Italie) – Seth (France) – Shaka (France) – Shoof (Tunisie) – Shuck2 (France) – Sowat (France) – Spazm (France) – Speto (Bresil) – STeW (France) – Stinkfish (Mexique) – Sumo (Luxembourg) – Tellas (Italie) – Tinho (Bresil) – Tore (France) -Uno (France) – Uriginal (Espagne) – Vexta (Australie) – Vhils (Portugal) +- /Maismenos (Portugal).

     

     

     

  • Carambolages au Grand Palais

     

     

     

    L’exposition « Carambolages » rassemble 185 œuvres dans l’enceinte prestigieuse du Grand Palais. Il s’agit d’une exposition pas comme les autres. Son but : mettre le visiteur et son ressenti au centre du parcours. A l’instar d’un carambolage, tout s’entrechoque : les œuvres et les artistes. A chacun de déceler le fil conducteur entre les œuvres, en s’amusant à chercher et à trouver le lien qui les relie.

    On s’étonne que certaines soient jointes, parfois on n’en comprend pas forcément le sens mais aucune explication, aucun indice ne sont donnés. Focus sur le ressenti du visiteur donc, sur sa propre interrogation et non sur le sens ou l’intention originelles. Au visiteur de s’inventer la raison, la genèse, le projet de l’artiste. Rien ne sera précisé : aucun commentaire ni aucune légende. On ne sait rien de l’époque, de l’artiste, du mouvement auquel il appartient. On se recentre sur l’oeuvre sans être influencé par le parcours, le prestige ou la notoriété de son auteur. Tout est à inventer. Seule l’imagination du visiteur apporte des réponses.

    La visite se déroule sous forme de jeu de devinettes. Au fur et à mesure, le visiteur se trouve placé face à une association d’oeuvres qui à priori ne semblent rien avoir en commun. Il faut alors réfléchir, observer ou s’étonner. On ne repart pas forcément avec des réponses. On trouve ou on ne trouve pas. On s’en amuse ou on est désorienté. On spécule mais on n’est jamais sûr. Une démarche originale et déstabilisante mais inédite et qui rend curieux.

     

    Bande-annonce de l’expo : Carambolages, une expo dont vous êtes le héros :

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    du 2 mars au 4 juillet 2016

    de 10h à 22h tous les jours

    Nocturne le mercredi jusqu’à 22h

    Fermeture le mardi

     

     

     

  • Picasso, l’inventaire d’une vie (Arte Reportage)

     

     

    Arte diffuse en ce moment un reportage qu’il est possible de voir en Replay (passé le dimanche 22 mai) sur l’oeuvre de Pablo Picasso à travers l’inventaire de son héritage. A sa mort le 8 avril 1973, à l’âge de 91 ans, le maître a laissé derrière lui une famille plusieurs fois recomposée, plusieurs demeures immenses remplies de toiles, de dessins et de sculptures, de ses premières esquisses d’enfant à Malaga en Espagne à ses céramiques. Un inventaire colossal, des dizaines de milliers d’oeuvres et aucun testament…

    Il faudra trois années au commissaire-priseur, Maurice Rheims, pour le réaliser, soit au total 120.000 pièces. La France ne possédant aucune œuvre de Picasso, toutes provenant de collections privées, le gouvernement, par le biais du Ministre de l’intérieur de De Gaulle, André Malraux, va saisir cette opportunité (à savoir les droits de succession payables en œuvres d’art) pour faire adopter la loi de dotation à l’Etat et permettre ainsi la création du musée Picasso à Paris.

    Le reportage utilise cet angle d’attaque du décès de Picasso dans son manoir de Mougins pour aborder toute l’oeuvre et la vie du peintre. Ses parents, ses débuts, ses périodes (bleue, rose), ses amis poètes (Eluard, Appolinaire, Jean Cocteau, Max Jacob), ses femmes (Olga, Marie-Thérèse, Dora Maar, Françoise puis Jacqueline), ses enfants légitimes et illégitimes (Paulo, Maya, Claude et Paloma), ses maisons (La Californie de Cannes, le Mas Notre-Dame-de-Vie à Mougins, le château de Vauvenargues au pied de la montagne Sainte-Victoire, Royan, son atelier à Paris). On entre dans les demeures de Picasso comme si on entrait dans sa vie.

    Grâce aux images d’archives souvent en noir et blanc, on vit au fil des ans les relations amoureuses, amicales et paternelles de cet homme, chaque rencontre, chaque femme, chaque ami entraînant un courant, une inspiration, un style et des couleurs. On navigue à travers sa vie et sa peinture et on redécouvre les tableaux à la lumière de son quotidien, ce qui apporte un œil nouveau et neuf à notre regard sur ses toiles, comme autant d’explications de texte. Ce reportage passionnant et extrêmement bien documenté nous permet en somme de bénéficier d’anecdotes autour de chaque tableau du peintre en les reliant à son histoire.

    C’est passionnant et c’est ici.

     

     

     

  • Turner et la Couleur

     

     

    A deux pas de la Rotonde et du Cours Mirabeau, à Aix-en-Provence, l’exposition « Turner et la Couleur » réunit une centaine d’oeuvres du peintre anglais William Turner.

     

    « Le peintre de la lumière », comme on l’a surnommé, est sans doute l’un des plus grands peintres paysagistes du 19ème siècle. Avant-garde du mouvement impressionniste, il peint des milliers d’aquarelles et d’huiles où la couleur prend une place centrale.

    « Turner démarre une carrière de peintre très jeune. C’est le fils d’un barbier. Il va commencer par suivre des cours de peinture, pour finalement intégrer la Royal Academy à seize ans, et sera académicien à 21 ans. C’est ce qu’on appelle un prodige de la peinture. » (Sophie Aurant-Hevanessian, directrice de la programmation culturelle de l’Hôtel de Caumont).

    L’enfant prodige est aussi un très grand voyageur. A partir de 1802, il se rend en Europe plus d’une vingtaine de fois, en France, en Suisse, en Italie et tout autour de la Méditerranée, où il observe la lumière. « C’est quelqu’un qui a une excellente mémoire visuelle, la mémoire des couleurs, en particulier. Non seulement il prend des repères topographiques des paysages qu’il découvre, mais il note les détails des couleurs, les détails de relief… ».

    Lorsque Turner meurt, on retrouve plus de trois mille carnets de croquis, dans lesquels il reproduisait au crayon les lieux qu’il avait visités, parfois avec une précision incroyable. Mais le plus souvent, ils étaient simplement esquissés. Il inscrivait le nom des couleurs, et de retour dans son atelier, ses notes lui suffisaient pour reproduire ce qu’il avait vu.

    Au début du 19ème, de nouveaux pigments de couleur sont inventés ; le Bleu de Cobalt, le Rouge Vermillon, le Jaune Chrome. Turner a été un des premiers artistes à utiliser ces pigments, et il ne pourra plus s’en passer. A partir des années 1810, il les emploiera tellement, en particulier les jaunes, qu’on dira de lui qu’il avait la fièvre jaune. Ce jaune qui est devenu peu à peu une caractéristique de ses toiles.

    C’est aussi l’époque où les premières études sur la couleur sont publiées. « Newton découvre qu’à travers la lumière se découpe un prisme chromatique, avec les couleurs primaires, le jaune, le bleu et le rouge. Goethe dit que non seulement on note ce premier prisme chromatique, mais qu’on découvre aussi un prisme complémentaire, qui va du jaune au bleu, en passant par le pourpre et le vert. A travers ces études sur la couleur, Turner va découvrir les assemblages infinis de ces couleurs. Il va donc expérimenter à travers ses aquarelles, dans lesquelles on peut découvrir des dégradés de couleurs absolument vertigineux ».

    Dans une série d’aquarelles consacrée à Marseille, très rarement exposée, Turner travaille littéralement la couleur. Il y fait des expérimentations, en utilisant plusieurs couleurs qu’il travaille pour représenter le Fort Saint-Jean de Marseille. Il utilise un motif précis pour jouer avec différentes couleurs, et ces aquarelles soulignent ces lumières chaudes de l’été qu’il affectionnait particulièrement.

    Toute sa vie, Turner sera très critiqué par ses contemporains. Et il régnait une incompréhension certaine quant à l’emploi peut-être excessif de la couleur. On parle « des folies de Turner », ces formes dissoutes et abstraites si éloignées de ce qui se faisait à l’époque. Et bien-sûr, toujours ces couleurs et cette lumière presque éblouissantes, qui font de Turner un peintre moderne.

    Dans les années 1870, Pissarro et Monet feront le voyage en Angleterre, pour y étudier les oeuvres de Turner. Car son influence est indéniable. C’est d’ailleurs troublant à quel point la peinture de Turner préfigure l’impressionnisme. Son toucher subtil, l’emploi à outrance de certaines couleurs et ces formes diluées nous indiquent que nous ne sommes ni dans le réalisme ni dans le naturalisme, mais déjà dans le courant pictural qui marquera définitivement la rupture entre peinture académique et art moderne.

    A découvrir à l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence), jusqu’au 18 septembre 2016…

     

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  • La Métamorphose de Franz Kafka | Texte illustré par Nadège Michel

     

     

    En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux.

     

    « Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de le peindre »

     

    Nadège Michel, peintre passionnée, pourrait très bien faire sienne cette citation d’Edward Hopper. Elle sait qu’il est des histoires indicibles, des souffles épiques portés par l’évanescence de toute chose, des instants vaporeux qui chamboulent tout. Et on le lit dans sa peinture.

    Nadège Michel, c’est une envie de restituer le monde en couleurs de rêve, de se laisser envoûter par la nature humaine et fasciner par toutes ses émotions. Elle a choisi de travailler un registre abstrait, à tout le moins non figuratif, le plus spontané possible. Sa peinture est pleine de vie et on y devine ce désir de découvrir, au fil de ses créations, qui elle est, qui est l’autre.

    Elle expose au Hilton Hôtel Airport à Zurich du 21 Janvier 2016 jusqu’à fin Mai 2016.

    Le choix de « La Métamorphose » de Franz Kafka est avant tout personnel car c’est une œuvre moderne, d’actualité, symbolisée par le changement. Le changement du corps, de l’âme et de nouveau de l’âme par le corps. Nous n’aimons pas la duplication et pourtant chaque être cherche son harmonie. Le pouvoir dans ce livre est individuel, il est montré du doigt et justifie l’œuvre de Franz Kafka. Son livre est une incroyable histoire pleine de lucidité.

    Premier exemplaire actuellement en vente, prix : 500 €.

    Tirage strictement limité : 5 exemplaires numérotés.

    Format 21 cm x 21 cm, huit illustrations uniques et originales pour chaque exemplaire, faites de la main de l’artiste.

    Technique mixte. Reliure pleine peau, cousue à la main, dorure à l’or fin, papier précieux, 102 pages.

    Et c’est à découvrir ici.

     

     

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  • Esther Teichmann, en quête de lumière…

     

    Si vous passez par Paris entre fin octobre et fin novembre 2015, faites un tour à la Galerie Les Filles du Calvaire, pour y découvrir l’oeuvre étonnante de la photographe germano-américaine Esther Teichmann, dans le cadre de son exposition « In Search of Lightning ».

    En combinant magnifiquement l’image fixe et mobile, le collage et la peinture, en créant des univers alternés qui rendent poreuse la frontière entre ce qui relève de l’autobiographie et la fiction, Esther Teichmann nous emmène dans son voyage initiatique, à la découverte des origines des rêves et du désir, et nous révèle comment ceux-ci sont intimement liés aux expériences de perte et de représentation. Par un affichage parallèle de photographies ou des films juxtaposés avec des ensembles fictifs et des corps de femmes, des milliers d’histoires apparaissent…

     

    Esther Teichmann
    « In Search of Lightning »
    Galerie Les Filles du Calvaire
    Exposition du 30 octobre au 28 novembre 2015
    Vernissage le jeudi 29 octobre de 18h00 à 21h00

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Esther Teichmann aux Filles du Calvaire

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Les Filles du Calvaire @ Paris Photo

     

     

  • Fernando Kindelàn | Inside and Out

     

    La galerieartima donne carte blanche à Fernando Kindelàn, pour sa nouvelle exposition : Inside and out.

    Pour cette troisième exposition personnelle à la galerie, Fernando Kindelán renoue avec les thèmes qu’il affectionne : la ville, sa lumière et ses reflets, le grain de l’asphalte, les passants traversant la rue… Cette fois pourtant, il se dévoile et nous laisse entrevoir un peu de son intimité avec le portrait de sa femme ou de cette amie assise dans un café.

    Ses peintures possèdent une force qui leur est propre. Chacune est pour Fernando la quête d’une beauté cachée qui ne se laisse découvrir qu’après un intense effort d’observation.  Il aime modifier la vision normale des choses et des cadrages, il accentue les contrastes et force les perspectives. Et c’est cette distorsion si particulière de la réalité qui lui permet de capter un instant fugace de silence et de lumière, une sensation esthétique qui touchent chacun d’entre nous.

    Nous vous invitons donc à découvrir ses nouvelles toiles à la galerieartima jusqu’au 31 octobre 2015.

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Fernando Kindelán Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] galerieartima

     

     

  • Exposition | Les Cordels Cheminots

     

    Fred Sochard expose des dessins et images des « Cordels Cheminots » à La Marge, à Angers, du 1er octobre au 5 décembre 2015.

    A la Marge, on écrit, on dessine et on fabrique des livres, à la façon artisanale née en Argentine dans les « Cartoneras ». Les cartoneras argentines sont comme des cousines des cordels brésiliens.

    La Marge, c’est tout près de la gare d’Angers, à deux pas des rails. Un lieu idéal pour des cordels… cheminots !

    Vernissage le vendredi 2 octobre à 19h00.

    Fred Sochard Illustration

     

    6cordels

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Fred Sochard Illustration

     

     

     

     

  • Nadège Michel | Des histoires indicibles

     

    « Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de le peindre ».

    Nadège Michel, peintre passionnée, pourrait très bien faire sienne cette citation d’Edward Hopper. Elle sait qu’il est des histoires indicibles, des souffles épiques portés par l’évanescence de toute chose, des instants vaporeux qui chamboulent tout. Et on le lit dans sa peinture.

    Nadège Michel, c’est une envie de restituer le monde en couleurs de rêve, de se laisser envoûter par la nature humaine et fasciner par toutes ses émotions. Elle a choisi de travailler un registre abstrait, à tout le moins non figuratif, le plus spontané possible. Inspirée entre autres par Juan Gris, Jackson Pollock et François Archiguille, elle combine acrylique, pour son dynamisme et sa fludité, avec des techniques de bombes aérosols, pour leur modernité. Sa peinture est pleine de vie et on y devine ce désir de découvrir, au fil de ses créations, qui elle est, qui est l’autre.

    Elle expose au Hilton de La Défense, à Paris, du 4 Août au 30 Octobre 2015, et elle sera au Hilton Hôtel Airport à Zurich du 21 Janvier 2016 jusqu’a fin Mai 2016.

    Julien Okrzesik

     

     

    Instant-City-Nadege-Michel-Flyer-Paris

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nadège Michel @ Artistes Contemporains

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Nadège Michel Officiel

     

     

  • Exposition | Willie : Les Regards (Marseille)

    Exposition | Willie : Les Regards (Marseille)

     

    Le peintre Willie Mattei expose son travail à la Fiorentina, à Marseille, du 24 avril au 02 mai 2015.

    Plus que quelques jours pour découvrir ses toiles…

     

     

    Expo Willie

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Willie Mattei Facebook