Jean Genet nous offre un puissant huis-clos où se mêlent dangereusement folie et poésie. Claire et Solange, prises dans les méandres de leur dérangement intime, oscillent entre pulsions de vie et de mort et se livrent à un vigoureux corps à corps nous faisant passer de l’incertitude à la stupéfaction, du rire au saisissement le plus trouble…
Venez nombreux ! Et pensez à réserver auprès du théâtre ici.
Tel : 01 40 09 70 40
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Tarifs réduits sur Billetreduc (attention places limitées)
Here we are ! Le clip « Illusion », fruit de la collaboration de TheYellowBeats pour la musique, Makema Films (Maxime Garnaud, Kevin Fracchiolla et Martin Grillet) pour les images et Instant City pour la production, est enfin arrivé. Et nous en sommes tous très fiers !
Avant la « Synth Pop » et la « New Wave » dans les années 80, il y eut la « Synth Wave »…
Venez revivre cette époque à la créativité bouillonnante, et découvrir les dignes héritiers des premiers fondateurs de cette scène musicale « Synth Wave », avec la 5ème Soirée « Saintes Waves » diffusée en exclusivité sur VOLUBILIS (Radio).
Aujourd’hui, c’est le jour de l’ouverture officielle du One World Observatory, qui occupe les trois derniers étages du One World Trade Center, dont l’antenne culmine à 541 mètres, soit 1776 pieds… 1776, comme la date de la déclaration d’indépendance des Etats-Unis d’Amérique.
Avant d’accéder à ce point de vue absolument unique, dominant New York à 380 mètres du sol, vous embarquerez dans l’un des cinq ascenseurs Sky Pod, qui vous permettra d’atteindre le 102ème étage de la tour la plus haute de l’hémisphère nord en moins de 60 secondes. Durant ce périple, un time lapse en images de synthèse vous sera projeté sur les parois de l’ascenseur, revenant sur 500 ans d’histoire de Manhattan, de l’an 1500 à 2015, en passant par 2001, et la tragédie du 11 septembre.
Informations pratiques :
✓ Adresse : One World Trade Center.
✓ L’entrée de l’observatoire est située sur West Plaza, à l’angle de West Street et Vesey Street.
✓ Horaires : jusqu’au 7 septembre 2015, l’observatoire sera ouvert tous les jours de 9h à minuit. Dernière entrée possible à 23h15. A partir du 8 septembre 2015, l’observatoire fermera à 20h. Dernière entrée possible à 19h15.
✓ Prix de l’entrée : 32 $ pour les adultes de 13 à 64 ans, 26 $ pour les enfants de 6 à 12 ans et 30 $ pour les seniors de 65 ans et plus.
A l’occasion du concert d’AC/DC samedi soir dernier au Stade de France, replongeons dans 40 ans d’histoire de ce groupe qui reste aujourd’hui un des tous derniers survivants, avec les Rolling Stones, d’une époque à jamais révolue.
Et pour certains d’entre nous, cette vidéo ne va pas nous rajeunir… Ce concert d’AC/DC, tourné le 09 décembre 1979 au Pavillon de Paris – je venais d’avoir quatorze ans, et j’y étais – restera dans l’imaginaire collectif comme probablement un de ces derniers shows mythiques qui marqueront cette époque bénie, et ce à double titre.
En effet, nous sommes toujours dans le minimalisme scénique de ces années 70, avec peu d’effets de scène et pas de pyrotechnie, ce qui caractérisera ensuite les concerts-monstres des années 80. Cette tournée, qui suit la sortie de l’album « Highway To Hell », et qui propulsera AC/DC dans les charts, ainsi qu’au firmament du Rock, est aussi la dernière pour Bon Scott, qui décèdera quelques mois plus tard, à Londres, le 19 février 1980, marquant le début de la légende du groupe. En effet, l’album suivant, « Back In Black », avec un nombre de copie vendues autour de cinquante millions, sera le deuxième album le plus vendu au monde, derrière « Thriller » de Michael Jackson vendu à plus de 65 millions d’exemplaires. Le jour de la sortie de « Back In Black », une rumeur courut que l’album hommage à Bon Scott sortirait en pressage limité. Il en résulta des heures d’attente devant les magasins de disques. Une heure après leur ouverture, l’album était épuisé, pendant des semaines…
Mais plus généralement, ce concert sonne le glas du Pavillon de Paris, qui aura accueilli en l’espace de cinq années tous les groupes majeurs des années 70, d’Alice Cooper à Roxy Music, en passant par les Rolling Stones (enregistrement de « Love You Live » en 1976), Bob Marley (enregistrement de « Babylon By Bus » en 1978) ou encore Supertramp (enregistrement du live « Paris » en 1979). La salle de concert de la Porte de Pantin, qui fut construite sur le site des anciens abattoirs de la Villette, fermera définitivement en 1980, pour laisser la place au futur Zenith, qui ouvrira ses portes en 1983.
Ce concert filmé au Pavillon de Paris est entrecoupé de séquences d’interview des membres du groupe, tournées deux jours plus tôt à l’occasion d’un concert à Reims. Il servira de base au documentaire musical « Let There Be Rock » réalisé par Eric Dionysius et Eric Mistler, sorti sur grand écran en 1980, et qui restera à l’affiche de quelques cinémas parisiens pendant des années…
A découvrir, ou à redécouvrir… C’est juste énorme.
On connait la faculté naturelle que possède Björk de brouiller les pistes, et de surgir là où on l’attend le moins. Son dernier happening n’a pas failli à la règle, puisqu’un public trié sur le volet, à l’occasion d’une fête donnée à New York le 15 mai dernier par le label expérimental Tri Angle Records pour célébrer ses cinq ans d’existence, n’en a pas cru ses yeux, en s’apercevant que le DJ qui officiait aux platines n’était autre que l’icône islandaise.
A bientôt 50 ans, Björk n’a rien renié de ses racines Punk, et ne s’est jamais départie de son goût immodéré pour la mise en scène. Fan invétérée et auto-proclamée des productions de Tri Angle Records, elle nous gratifie d’un mix d’une heure, pointu comme on pouvait s’y attendre, et passant en revue tous ses coups de coeur musicaux de l’année 2014, du hip-hop alternatif des défunts Death Grips au rock de Kate Bush, en passant par la techno britannique de Vessel.
Yo.k a toujours baigné dans la Soul et le Funk, depuis sa plus tendre enfance. C’est en arrivant en Avignon à 13 ans, en 2001, qu’il découvre le rap américain des Busta Rhymes, Dr. Dre ou Eminem. Quatre ans plus tard, Yo.K se convertit définitivement au rap français, au son des Oxmo, Sages Po, les X, NTM, Fabe, Lunatic… En 2007, il crée Vision Décalée, collectif composé de Mi-K, Dj Nash et Thomas, ses compagnons de radio, qui deviendront vite ses frères d’armes et son crew. Leur morceau éponyme sort sur le premier volet des compilations Solaris.
En 2011 parait Incipit, son premier projet solo, sous son nom d’artiste : Yo.K. Sept titres, sept beatmakers, et un projet abouti sans argent, en téléchargement libre pour le plaisir de la musique. Il définit son Rap comme le résultat logique de son parcours musical : des mots qui ont du sens sur de la musique qui vibre. Il y met en exergue les sentiments, tout en aimant parfois s’évader avec des thèmes plus ludiques.
En 2014, à Incipit succède Optimum, le deuxème volet d’un projet en trois parties. A la différence du maximum, qui cherche à défendre le plus possible, l’optimum représente le mieux pour soi. L’élaboration de ce deuxième maxi a accompagné le passage de Yo.K à l’âge adulte, entre de nombreux accomplissements et quelques désillusions.
Incipit (n.m.) : premiers mots d’un livre destinés à «accrocher» l’attention du lecteur à l’aide d’un style propre à l’auteur. Il intéresse par ses techniques et fait souvent l’objet d’un travail d’écriture particulier, singulièrement poétique, surprenant et rythmé.
Optimum (n.m.) : A la différence du maximum, qui cherche à défendre le plus possible, l’optimum représente le mieux pour soi. Lorsqu’il sera atteint, il permettra de déceler ce qui nous est le plus favorable, pour accéder à son propre équilibre.
L’homme qui se fait appeler TheYellowBeats est de retour avec son dernier clip, « Good Shit DopeDudes Sessions », épaulé par son compère BigBen, et toujours filmé par le crew de Makema Films, qui nous avait déjà concocté au mois de mars les trois films de la première « Instant City Live Sessions ».
On y retrouve la recette habituelle qui va bien, du groove imparable au flow impeccable, en passant par ces accents jazz distillés en arrière plan, mais pour la première fois, TheYellowBeats se hasarde à nous balancer ses lyrics en Français, ce qui ne pouvait nous faire plus plaisir.
« Good Shit DopeDudes Sessions », c’est un dernier caillou laissé sur son chemin, qui le mènera dans les prochains mois jusqu’à Montréal, où il ira se frotter à l’univers musical nord-américain, qui constitue sa principale source d’inspiration.
L’Aixois Manu Alias est plongé très tôt dans la musique. Il n’a que cinq ans quand son père l’initie à la guitare.
Après des études de solfège sérieuses, c’est d’abord vers la batterie qu’il se tourne, au gré des rencontres faites tout au long de ce parcours initiatique qui ne faisait que commencer, et durant lequel il apprendra la rigueur, la technique alliée à une liberté, une fantaisie, qui lui feront dans un premier temps privilégier le jazz aux autres genres musicaux. Puis c’est le conservatoire d’Aix-en-Provence, avec l’obtention du certificat de fin d’études.
Mais dans le même temps, Manu Alias se met à composer ses premiers morceaux, faisant le grand écart entre Rock et Rap, en passant par la Country ou le Swing, et toujours guidé par sa passion pour Thelonious Monk, Duke Ellington ou Miles Davis. « Je compose avec la guitare, explique-t-il, en trouvant l’inspiration dans des tas d’éléments disparates, et dans l’idée que les morceaux que j’écris seront ensuite joués sur scène ». Et d’ajouter : « J’adore mettre des musiques sur des mots et des situations, et j’aimerais proposer des titres bruts de décoffrage où se mèleraient une palette de couleurs sonores, afin de susciter de vastes sentiments chez celui qui écoute ».
Ainsi, au gré de ses collaborations et formations diverses et variées, Nothing But Silence, Juliette And The Yellow, Juicy Dunces, The Lumberjacks, ou de son projet personnel, The Yellow, Manu Alias suit son petit bonhomme de chemin, pavant sa route de petits cailloux qui nous enchantent, et qui devraient en toute logique le mener au succès…
Retrouvez le premier album de Manu Alias, Myl And The Yellow, sorti en octobre 2014 sur Bandcamp.
Le meilleur de la photographie internationale réuni à Londres, du 21 au 24 mai 2015, dans le cadre de l’événement international « Photo London » (Somerset House, Londres), avec 70 artistes et galeries parmi les plus réputés au monde, qui viendront exposer leurs oeuvres ou présenter leur catalogue, sous l’égide de CandleStar, en association avec la prestigieuse LUMA Foundation.
Au programme :
✓ 200 travaux photographiques rarement exposés auparavant, issus des archives du Victoria & Albert Museum.
✓ Des impressions platine en format large tirées des « Genesis Series » de Sebastião Salgado.
✓ La toute première exposition en Europe des « Prostitute Series » du photographe iranien Kāveh Golestān.
✓ Un lightshow de Rut Blees Luxemburg, « The Teaser », installé au coeur de la cour de la Somerset House.
✓ Showcases, projections, événements Photo ou Musique…