Étiquette : Jean Rochefort

  • Vincent Delerm rend hommage aux moments intimes qui font une vie

     

     

    Vincent Delerm publie un nouvel album, « Panorama », accompagné du documentaire « Je ne sais pas si c’est tout le monde » sorti en salle le 23 octobre. L’un et l’autre viennent ajouter une pierre à l’édifice que représente l’œuvre de Vincent Delerm depuis quelques années : un travail intime et sensible, un hommage aux moments modestes de la vie.

     

    Voilà un disque qui tient la promesse que font toutes les chansons : simple, basique, de celles qui aident à se sentir moins seul quand on les écoute. Un des morceaux qui le composent, « Je ne sais pas si c’est tout le monde », a donné son titre au documentaire qui l’accompagne. Cette phrase, on se l’est tous dite un jour, probablement…

     

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    « Je ne sais pas si c’est tout le monde » est aussi le titre du documentaire de Vincent Delerm, sorti en salle mercredi 23 octobre ; un film fait de souvenirs dits, ou lus, par des inconnu·e·s ou des connu·e·s, parmi lesquels on retrouve Jean Rochefort, auquel le film est dédié. Car Vincent Delerm et Jean Rochefort étaient amis, et Rochefort lui a dit vouloir lui offrir la dernière journée de tournage de sa vie. C’est chose faite.

     

    « Cette femme, je l’avais vue des étés entiers. Je savais quel était son geste pour retirer son soutien-gorge, tard le soir… Sa technique pour faire pisser les filles entre deux voitures, sur un parking bondé à Toulon. » (Jean Rochefort)

     

    A la fin du plan, tout le monde a applaudi le bonhomme, son oeuvre, sa vie… Au cinéma ou en chanson, Vincent Delerm livre ses admirations. Il ne se contente pas de les citer, il raconte surtout comment elles entrent dans sa vie. Il y a Raymond Carver, Nick Drake, Alain Souchon. Et dans ce nouvel album, Agnes Varda

     

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    Si Vincent Delerm s’est fait connaître au début des années 2000 avec des chansons écrites comme des scénarios de poche, depuis quelques albums, ses textes sont plutôt faits d’instantanés : rien de spectaculaire, mais des instants furtifs que notre mémoire archive sans qu’on l’ait décidé. Ses chansons rendent hommage aux moments modestes qui font une vie.

     

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    Vincent Delerm s’est imposé une contrainte digne de Georges Perec pour les dix morceaux de ce nouvel album : il en a confié les arrangements à dix artistes différent·e·s. Delerm a écrit les paroles dans un deuxième temps, en s’adaptant aux ambiances inventées par ses acolytes : Clément Ducol et Maxime Le Guil, Peter von Poehl, Keren Ann, Yael Naïm Dan Lévy, ou le groupe belge Girls in Hawaii.

    Dans la chanson « Fernando De Noronha », Delerm parle de son fils aîné. Il écrit comme si l’on suivait le fil de ses pensées à voix haute.

     

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    Pour son premier film, Vincent Delerm prolonge donc son travail ultrasensible sur l’intime, la mémoire et le rapport aux autres. Qu’est-ce qui nous construit ? Que ressentent les gens autour de nous ? Nos émotions et sensations n’appartiennent-elles qu’à nous ?

     

    Chaque personnage, célèbre ou anonyme, livre à Vincent Delerm quelque chose de lui, définissant sa sensibilité et sa manière de voir l’existence. Témoignages qui font sourire parfois, serrent le coeur souvent, conjuguent l’intime et l’universel. En filigrane, les propres émotions de l’auteur se dessinent le long d’un film musical, photographique, dont la narration est comme un fil invisible.

     

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    « Panorama », c’est le titre de son nouvel album, « Je ne sais pas si c’est tout le monde », c’est le titre de son film. Vincent Delerm est en concert à la Cigale à Paris, à la fin du mois d’octobre, au début des mois de novembre et de décembre. Il arpentera ensuite la France en 2020 et son film sera également projeté dans la plupart des villes de sa tournée, au moment de son passage.

     

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    Sources : France Inter / Wikipedia

     

     

     

  • Jean Rochefort : Prince Sans Rire

     

     

    En novembre 2017 paraissait la première et unique biographie à ce jour de Jean Rochefort, l’un de nos trésors nationaux, comme l’ont montré l’incroyable émotion et la pluie d’hommages qu’a suscité sa mort un mois plus tôt, le 9 octobre 2017. Quelques ouvrages lui avaient déjà été consacrés de son vivant, mais aucun qui ne fasse à ce point figure de référence, en racontant cette vie, de scène, de théâtre et de mots.

     

    Jean Rochefort, le comédien inoubliable du « Crabe-Tambour », « Un éléphant ça trompe énormément » ou encore des « Boloss des Belles-Lettres », a accordé des centaines d’interviews au travers desquelles il n’a eu de cesse que de distiller avec cet humour inimitable ce qu’il a toujours refusé de coucher sur le papier. Pour le biographe, outre les 94 pages de notes reprenant les sources des très nombreuses citations qui figurent dans le livre, il en a résulté un véritable jeu de piste sur les traces de cet homme bien plus complexe que ne le laisse imaginer son image de « gentleman farceur », à l’autodérision portée en étendard, au verbe haut et au rire contagieux.

     

    Les Boloss des Belles Lettres : « Les Liaisons Dangereuses »

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    Jean-Philippe Guerand a ainsi mené l’enquête pendant huit années, scrutant sa vie et sa carrière, recueillant et confrontant des dizaines de témoignages, et lui donnant le plus souvent possible la parole. Partir à la découverte de Jean Rochefort, c’est aussi parcourir plus de six décennies d’histoire du spectacle et de vie culturelle française, un bonheur… Un travail colossal, et une approche qui avait déjà fait le succès sept ans plus tôt de « Bernard Blier, un homme façon puzzle », devenue LA biographie de référence d’un autre monument du cinéma français, Bernard Blier.

     

    Arte – Blow Up : C’était quoi, Jean Rochefort ?

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    Jean Rochefort, c’est cet élégant gentleman-farmer breton dont les fous rires évoquent les hennissements de ces chevaux qu’il aimait tant et qui lui ont valu le Mérite agricole. Tout petit déjà, l’écolier tiré à quatre épingles amuse ses camarades, à défaut de briller au tableau noir. Ecrasé par un père autoritaire qui voudrait le voir réussir aussi bien que son frère aîné, il rêve d’un autre monde en écoutant des représentations théâtrales à la radio avec sa mère.

    Faute de devenir comptable, il va jouer la comédie, sympathiser au Conservatoire avec Jean-Paul Belmondo, Claude Rich, Bruno Cremer et Annie Girardot, convertir Philippe Noiret à l’équitation et échanger bon nombre de rôles avec son ami de toujours Jean-Pierre Marielle. Au théâtre, chez Anton Tchekhov et Harold Pinter, puis au cinéma, chez Yves Robert, Patrice Leconte et Bertrand Tavernier, Jean Rochefort glisse des emplois de clown à ceux de séducteur, de la légèreté de « Cartouche » et « Angélique » à la gravité du « Crabe-Tambour » ou « Un étrange voyage ». Avec comme signes reconnaissables entre tous sa moustache, son oeil malicieux, son refus de l’injustice, ses singeries irrésistibles, sa fantaisie et un sens du verbe qui rajeunit joyeusement nos classiques dans « Les Boloss des belles-lettres ».

    Née de huit ans d’une enquête minutieuse, cette biographie donne abondamment la parole à Jean Rochefort pour dessiner le portrait chinois d’un des acteurs préférés des Français, couronné de trois César, dont la vie épouse six décennies de notre histoire et dont quatre femmes, cinq enfants et d’innombrables animaux jalonnent l’existence trépidante.

     

    Écrivain et journaliste spécialisé dans le cinéma, de Première à TéléCinéObs, en passant par Le Film Français et L’Avant-Scène Cinéma, Jean-Philippe Guerand est l’auteur de plusieurs livres consacrés à Woody Allen, Cyril Collard, James Dean, Jacques Tati et Bernard Blier (ce dernier, « Bernard Blier, un homme façon puzzle », également publié chez Robert Laffont).

    Et pour pousser le rire, avec délicatesse, soulignons cette pétition, relayée par François Morel, entre autres, et qui demandait à Dieu de retirer immédiatement la mort de Jean Rochefort.

     

    « Compte tenu du contexte international actuel, compte tenu de la situation économique et politique de notre pays, étant donné que plus de 1600 personnes meurent déjà en moyenne chaque jour dans notre pays, nous ne pensons pas que cette disparition soit appropriée. Nous demandons le retrait immédiat de cette mesure et le retour à la situation précédente, qui satisfaisait tout le monde. »

     

    https://twitter.com/morelexplo/status/918775497777131520?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E918775497777131520&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.actualitte.com%2Farticle%2Fmonde-edition%2Fjean-rochefort-prince-sans-rire-une-biographie-et-une-petition-pour-annuler-sa-mort%2F85417

     

    « Jean Rochefort – Prince Sans Rire » de Jean-Philippe Guerand paru en novembre 2017 aux Editions Robert Laffont, 22 €

     

     

     

  • Ils nous ont quittés en 2017

     

     

    Ils nous ont quittés en 2017…

     

    Emmanuelle Riva

    L’actrice de cinéma et de théâtre et poétesse française Emmanuelle Riva est née le 24 février 1927 à Cheniménil (Vosges) et morte à Paris le 27 janvier 2017. C’est en la découvrant sur l’affiche de L’Épouvantail, une pièce de Dominique Rolin, mise en scène par André Barsacq, qu’Alain Resnais l’imagine pour son premier long métrage, « Hiroshima mon amour », qui la fait mondialement connaître. En septembre 1958, avant le tournage, treize ans après l’explosion de la bombe du 6 août 1945, Emmanuelle Riva parcourt les rues de la ville martyre avec son appareil photo Ricohflex et en saisit la vie retrouvée. Ces photos illustreront l’ouvrage collectif « Tu n’as rien vu à Hiroshima ».

     

    Paris, France – CIRCA 1960: French actress Emmanuelle Riva in Paris, Sixties. (Photo by BOTTI/Gamma-Keystone via Getty Images)

     

    Raymond Kopa

    Le légendaire Raymond Kopa, de son vrai nom Kopaszewski, s’est éteint à l’âge de 85 ans, le 3 mars 2017. Premier footballeur français à remporter le Ballon d’Or en 1958, il a contribué à la réputation du grand Stade de Reims des années 1950-1960. Avec l’équipe de France, il termine troisième de la Coupe du Monde 1958 en Suède. Kopa a aussi gagné trois fois la Coupe d’Europe avec le Real Madrid (1957, 1958 et 1959).

     

     

     

    Chuck Berry

    Le guitariste et chanteur américain Chuck Berry, l’un des pères fondateurs du rock’n’roll, est décédé le 18 mars 2017, à l’âge de 90 ans, dans sa maison du Missouri (Etats-Unis). Il était l’auteur de tubes tels que Johnny B. Good.

     

     

    Henri Emmanuelli

    L’ancien ministre et président de l’Assemblée Nationale, Henri Emmanuelli, figure de l’aile gauche du Parti socialiste, est décédé le 21 mars 2017 à l’âge de 71 ans.

     

     

    Victor Lanoux

    Victor Lanoux s’est éteint à l’âge de 80 ans, le 4 mai 2017, à Royan (Charente-Maritime). Né le 18 juin 1936 à Paris, le comédien et scénariste a réalisé une carrière aussi riche au cinéma qu’à la télévision.

     

     

    Roger Moore

    Le 23 mai 2017, l’acteur britannique Roger Moore, qui a interprété James Bond à sept reprises, est décédé en Suisse à l’âge de 89 ans.

     

     

    Anita Pallenberg

    Anita Pallenberg, née le 6 avril 1942 à Rome en Italie, et morte le 13 juin 2017 à Chichester (Angleterre) au Royaume-Uni, est un mannequin, une actrice et une styliste de mode italo-allemande. Anita Pallenberg est connue pour avoir été la maîtresse de trois des membres fondateurs des Rolling Stones : Brian Jones (de 1965 à 1967) puis Keith Richards (de 1967 à 1980), et on lui prête une brève aventure avec Mick Jagger durant le tournage de Performance en 1968.

     

     

    Hervé Ghesquière

    Le journaliste Hervé Ghesquière est décédé le 14 juin 2017 à Paris, à l’âge de 54 ans. Avec Stéphane Taponnier, ils avaient été détenus en Afghanistan du 30 décembre 2009 au 29 juin 2011. Ici, le 30 juin 2011, lors de son retour au siège de France Télévisions.

     

     

    Simone Veil

    Simone Veil est décédée le 30 juin 2017, à l’âge de 89 ans. Elle avait tenu à bout de bras le projet de loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG) devant un parterre d’hommes. Cette rescapée des camps nazis est née Simone Jacob le 13 juillet 1927 à Nice. Sa vie a été constamment marquée par la déportation de sa famille.

     

     

    Max Gallo

    L’historien et académicien Max Gallo, auteur à succès de plus d’une centaine de romans et d’ouvrages historiques, est mort le 18 juillet 2017, à l’âge de 85 ans.

     

     

    Chester Bennington

    Le chanteur Chester Bennington du groupe de métal Linkin Park est décédé le 20 juillet 2017 à l’âge de 41 ans. Il était également fondateur du groupe Dead by Sunrise ainsi que du groupe Stone Temple Pilots.

     

     

    Claude Rich

    Claude Rich, né le 8 février 1929, est décédé le vendredi 21 juillet 2017, à l’âge de 88 ans. Ce monument du théâtre et du cinéma français laisse derrière lui une carrière couronnée de succès.

     

     

    Sam Shepard

    Samuel Shepard Rogers III (dit Sam Shepard) est un écrivain, dramaturge, acteur, metteur en scène, scénariste, réalisateur et producteur américain, né le 5 novembre 1943 à Fort Sheridan (Illinois) et mort le 27 juillet 2017 à Midway (Kentucky), dont la carrière a couvert plus d’un demi-siècle.

     

    Jeanne Moreau

    Actrice, chanteuse et réalisatrice, Jeanne Moreau est décédée le 31 juillet 2017, à l’âge de 89 ans. Elle fut une icône du cinéma et l’égérie de la Nouvelle Vague.

     

     

    Jerry Lewis

    L’humoriste et acteur américain Jerry Lewis est décédé à l’âge de 91 ans, à son domicile de Las Vegas, le 20 août 2017.

     

     

    Mireille Darc

    La comédienne et réalisatrice Mireille Darc est décédée à l’âge de 79 ans, le 28 août 2017. Du cinéma à la télévision, en passant par sa relation avec Alain Delon, elle a marqué plusieurs générations.

     

    18 Jul 1998, Normandy, France — Image by © Richard Melloul/Sygma/Corbis

     

    Pierre Bergé

    Pierre Bergé est décédé le 8 septembre 2017, à l’âge de 86 ans. Mécène et homme d’affaires, il a partagé la vie du célèbre couturier Yves Saint-Laurent pendant 50 ans.

     

    Pierre Bergé, à Paris en septembre 1991.

     

    Gisèle Casadesus

    La doyenne des comédiennes françaises est décédée à l’âge de 103 ans, le 24 septembre 2017.

     

     

    Hugh Hefner

    Le fondateur de Playboy, Hugh Hefner, est décédé à l’âge de 91 ans, a annoncé le magazine américain, le 28 septembre 2017. Filles, lapins, fêtes et peignoirs ont rythmé la vie de ce pionnier de la presse érotique.

     

     

    Jean Rochefort

    Le comédien Jean Rochefort est décédé dans la nuit de dimanche à lundi 9 octobre 2017, à l’âge de 87 ans. Personnalité très populaire, le célèbre acteur à la moustache laisse derrière lui une carrière riche de 130 films.

     

     

    Daniele Darrieux

    L’actrice légendaire du cinéma français Danielle Darrieux est décédée le 17 octobre 2017, à l’âge de 100 ans. Ici, en 1936.

     

     

    George Young

    George Redburn Young, né selon les sources le 6 novembre 1946 ou le 6 novembre 1947, à Glasgow (Écosse, Royaume-Uni) et mort le 23 octobre 2017, est un musicien de rock, auteur-compositeur et producteur de musique australien. George Young est connu pour le hit « Friday on My Mind » avec le groupe The Easybeats au sein duquel il était guitariste rythmique, et pour la production, en compagnie d’Harry Vanda, du groupe AC/DC, dans lequel officiaient ses frères Angus et Malcolm Young.

     

    Robert Hirsch

    Robert Hirsch, un des derniers monstres sacrés du théâtre français, est décédé le 16 novembre 2017, à l’âge de 92 ans.

     

    Le comedien Robert Hirsch c. 1960 — © René Saint Paul / Rue des Archives

     

    Malcolm Young

    Malcolm Mitchell Young est un musicien australien d’origine écossaise, né le 6 janvier 1953 à Glasgow en Écosse et mort le 18 novembre 2017, fondateur et guitariste rythmique du groupe de hard rock australien AC/DC. Il est le frère de George et Angus Young.

     

    Jean d’Ormesson

    Jean d’Ormesson, né le 16 juin 1925, est décédé à l’âge de 92 ans dans la nuit de lundi à mardi 5 décembre 2017. Ce fut un homme d’exception, à la fois journaliste, écrivain et académicien, très présent à la télévision.

     

     

    Johnny Hallyday

    Johnny Hallyday nous a quittés à l’âge de 74 ans, dans la nuit du 5 au 6 décembre 2017. Il laisse derrière lui un demi-siècle de tubes mémorables, une vie amoureuse très médiatisée, des looks, une carrière au cinéma et de nombreux fans inconsolables.

     

     

     

     

  • Les Boloss des Belles Lettres : Le Père Goriot #BDBL

     

     

    « Le Père Goriot » # Honoré de Balzac

    Jean Rochefort interprète une oeuvre du patrimoine littéraire classique présentée de façon décomplexée et enthousiaste dans un langage très vivant.

    Pour retrouver Les Boloss des Belles Lettres, yo man, ben c’est ici !

     

     

     

  • Jean Rochefort nous raconte Le Petit Prince

     

     

    « C’est un beau gosse aviateur qui se crashe dans le désert torride du Sahara. Il essaye de faire son MacGyver avec trois allumettes et un rouleau de PQ pour réparer sa carlingue, mais ça ne marche pas du tout ! Alors il tape la pose comme un boloss, et le lendemain, un p’tit keum lui dit tout de go : Dessine moi un mouton, gros ! »

     

    Ca y est, Jean Roch récidive… Neuf mois après nous avoir conté à sa manière l’histoire de « Madame Bovary », Jean Rochefort s’attaque maintenant au « Petit Prince » d’Antoine Saint-Exupéry. Ce qui ne devait être à l’origine qu’un one-shot de trois minutes produit dans le cadre du blog « Les boloss des Belles Lettres » de Quentin Leclerc et Michel Pimpant revient désormais sur base régulière.

    Jean Rochefort va ainsi revisiter les grands classiques de la littérature en moins de trois minutes, avec des mots utilisés par la nouvelle génération, chaque jeudi à 20h35 à partir du 21 janvier sur France 5. Il ouvre donc le bal par « Le Petit Prince » en avant première le 15 janvier. « L’Odyssée » d’Homère, « Le Cid » de Pierre Corneille et « Les Liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos sont également au programme.

    Maintenant, fais nétour ça à toute ta mifa et aux zouz ou keum que tu kiff pour chopper et kiss sur vos seufs…

     

     

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    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Les Boloss des Belles Lettres

     

     

     

  • Madame Bovary en langage Jeuns…

     

    « C’est l’histoire d’un p’tit puceau tout mou comme les Chocapic au fond de leur bol »

     

    C’est ainsi que commence la libre interprétation de Madame Bovary par Jean Rochefort. Le blog Boloss des Belles Lettres a mis à contribution l’acteur qui, tel que nous le connaissons, n’a pas du trop se faire prier pour se prêter au jeu… Le résultat est assez jubilatoire.

    « Emma, elle se fait chier, donc elle commence à toucher la nouille de quelques keums qui passent »

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Les Boloss des Belles Lettres