Catégorie : Télévision

  • Jean Piat : Le Roi est mort, vive le Roi

     

     

    Après l’annonce de la disparition de Jean Piat, le monstre sacré du théâtre et la grande vedette des « Rois Maudits » au début des années 70, une pluie d’hommages s’est abattue sur la toile.

     

    Notamment ceux de Françoise Nyssen et Emmanuel Macron, qui saluait « ce géant qui brûlait de passion pour le théâtre et les grands textes ».

     

    « Le comédien Jean Piat, sociétaire honoraire de la Comédie Française, nous a quittés. Le monde du théâtre perd l’un des siens. Son interprétation magistrale dans le feuilleton « Les Rois Maudits » lui a valu l’amour du grand public et a marqué les générations. Mes pensées vont à ses proches. » (Françoise Nyssen)

     

    Réaction aussi de son partenaire sur scène, Francis Huster, qui s’est souvenu de l’émouvante standing ovation pour Cyrano de Bergerac, au micro de RTL : « J’ai vu cette demie-heure d’applaudissements, pendant laquelle Jean Piat arborait ce visage d’enfant… »

     

    Jean Piat, soixante-dix ans de carrière, dont vingt-cinq à la Comédie Française, était encore sur les planches l’année dernière en compagnie de Mylène Demongeot, avec « Love Letters » d’Albert Gurney, à la Comédie des Champs-Elysées.

    Il était Andy, elle était Melissa, et nous suivions leur correspondance amoureuse tout au long de leur vie. Une nouvelle manière pour le comédien d’exprimer son amour du jeu.

     

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    « C’est une pièce d’amour, et exprimer l’amour au théâtre, c’est toujours important. Love Letters, c’est l’histoire d’un amour compliqué. Melissa et Andy se sont connus à l’enfance, et les amours d’enfance se traduisent finalement très rarement par un amour continu et durable à l’âge adulte, et encore moins à l’âge de la vieillesse. Et là, ça continue… » (Jean Piat, Entrée Libre en janvier 2016)

     

    Jean Piat, un des plus beaux CV du théâtre français, amoureux des grands auteurs… Il a aussi été metteur en scène, notamment d’une pièce d’Alfred de Musset. Et il a prêté sa voix grave au cinéma, celle du magicien Gandalf dans « Le Seigneur des Anneaux » ou encore incarné Robert d’Artois dans « Les Rois Maudits » pour la télévision française.

    On ne peut résumer la carrière de Jean Piat en cinq minutes tant elle fut dense. Alors c’est lui qui va le faire, et ça démarre par les planches, sa grande passion, qu’il a découvertes à l’adolescence.

     

    P comme… Planches

    « Je me sens chez moi sur une scène de théâtre. Il faut dire qu’il y a bien longtemps que je fréquente les planches. J’ai commencé à 17 ans. Vous savez, le sentiment que, brusquement, le silence vous envahit. Quand on me propose quelque chose, à mon âge, ça n’est pas parce que je voudrais mourir en scène, c’est ridicule, mais plutôt parce que j’ai l’impression de pouvoir continuer encore, et d’éviter le silence, ce grand silence, quand le téléphone ne sonne plus, que les propositions n’arrivent plus. Alors, on m’a proposé Love Letters et j’ai accepté, avec le sentiment d’avoir encore des choses à exprimer au théâtre. »

     

    V comme… Voix

    A six reprises, Jean Piat a prêté sa voix à Ian McKellen, alias Gandalf dans « Le Seigneur des Anneaux ».

     

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    « Il y a une bande rythmo qui passe, et il faut rentrer dans le rythme de l’acteur étranger. Ça n’est pas très compliqué, finalement. C’est devenu extrêmement facilité par les moyens techniques nouveaux. Si l’interprète est un bon acteur, c’est assez facile de rentrer dans sa façon d’appréhender le personnage, et on se retrouve, presque comme deux frères. »

     

    A comme… Alfred de Musset

    « Musset dit qu’il ne faut jurer de rien, en amour. C’est un joli proverbe. C’est vrai qu’il ne faut jurer de rien, et encore moins en amour. Ça peut durer toujours, mais ça n’est pas toujours vrai. L’écriture, la tendresse, l’humour qu’il y a dans Musset, ça me ravit. Et puis le romantisme… C’est merveilleux, le romantisme. »

     

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    M comme… Metteur en scène

    « La joie de découper complètement en petits morceaux une pièce… Reconstruire tout ça morceau par morceau, et aider chacun des interprètes à laisser rentrer le personnage en lui. Car contrairement à ce que l’on pense, on ne rentre pas dans la peau du personnage, mais au contraire, on s’efforce de faire rentrer le personnage dans notre peau. »

     

    T comme… Télévision

    « On garde toujours un attendrissement profond pour les personnages qui vous ont donné autant de bonheur, à vous et au public, bien-sûr. Et je crois qu’avec « Les Rois Maudits », le public français a découvert ce qu’était le Moyen-Âge. C’était le commencement de cette ouverture sur un temps qu’on ne connaissait pas très bien. »

     

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    « La démocratie n’existait pas, et c’est peut-être le commencement d’une réflexion, le Moyen-Âge. Ou qui oblige en tout cas à une réflexion politique. »

     

    C comme… Carrière

    « Vous savez, mener une carrière, ça fait partie des choses qui ne m’ont jamais vraiment troublé. Je n’ai pas dirigé ma carrière, non, je me suis juste laissé faire… Et je crois que je n’ai pas à m’en plaindre. »

     

     

     

  • Mireille Darc, une lionne entrée dans la lumière quand elle est devenue blonde

     

     

    Le 24 août 2018, à l’occasion du premier anniversaire de la disparition de Mireille Darc, France 3 diffusait un documentaire exceptionnel consacré à l’actrice disparue le 28 août 2017, « Mireille Darc, la femme libre ». 

     

    On croyait tout savoir de la « Grande Sauterelle », mais on en apprend encore et encore, grâce à des archives réellement inédites et des témoignages de ses proches. Un vrai plaisir de télévision que cet hommage sans faille à une femme de cœur.

    Un an après sa mort, Mireille Darc reste une star populaire. Aimée par ses partenaires, Michel Audiard et Georges Lautner, elle était un sex-symbol, une photographe passionnée, une réalisatrice de documentaires et une militante engagée dans l’association « La Chaîne de l’Espoir ».

    A travers des interviews intimes, elle raconte les drames de son enfance, sa vie passionnée avec Alain Delon et sa rupture douloureuse. Ses proches, son mari Pascal Desprez, Anthony Delon, Michel Sardou ou encore Véronique de Villèle témoignent eux aussi et évoquent la femme libre qu’elle incarnait, l’icône de la féminité émancipée et de la liberté sexuelle.

    Sylvain Bergère brosse dans « Mireille Darc, la femme libre » le portrait d’une artiste indépendante et combative, souvent éprouvée et pourtant toujours douce et souriante, de ses débuts d’actrice au théâtre et au cinéma à ses reportages sur les prostituées du bois de Boulogne, en passant par ses fragilités d’enfant et sa grande histoire d’amour avec Alain Delon.

    Une lionne entrée dans la lumière quand elle est devenue blonde, une femme qui s’est construite toute seule, une icône du septième art, forte malgré ce cœur qui la lâche. « Mireille Darc, la femme libre » est un hommage touchant, ponctué d’images d’archives, de confidences en voix off de l’actrice et de témoignages de proches.

     

    Rediffusion sur France 3 les 31 août et 04 septembre 2018.

    Image à la Une : Mireille Darc photographiée en Normandie le 18 juillet 1998 © Richard Melloul / Sygma / Corbis

     

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    Et en cadeau, le portrait d’artiste consacré à Mireille Darc, diffusé le 03 octobre 1970 sur la RTS…

     

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  • Une réplique culte de « La Nuit du Chasseur » mise en scène par Typorama

     

     

    Chaque semaine, Arte nous distille avec délicatesse les scènes et les répliques parmi les plus cultes du cinéma, mises en dessin par Typorama.

     

    Typorama est un « objet visuel non identifié » qui anime les répliques cultes du cinéma. De « Blade Runner » à « Amadeus », en passant par « L’Homme qui murmurait à l’oreille des chevaux » ou « La Nuit du Chasseur », les auteurs de Typorama mettent en image, à leur sauce, ces répliques qui ont sublimé le 7ème Art et rendent ainsi hommage à ces films qui ont marqué à jamais l’imaginaire collectif.

     

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    « Ah mon petit gars, tu regardes mes doigts ! Aimerais-tu que je te raconte l’histoire de la droite et de la gauche ? L’histoire du bien et du mal. Ca, c’est la haine. C’est avec cette main gauche que le frère Caïn tua Abel, qui était aimé de Dieu. Ca, c’est l’amour. Voyez ces doigts, cher coeur ? Ces doigts ont des veines qui les relient à l’âme humaine. L’amour, c’est cette main, c’est la main droite. Regardez, c’est là l’image de la vie. Ces doigts, cher coeur, sont toujours en lutte les uns contre les autres. Regardez-les ! »

     

    La réplique culte de « La Nuit du Chasseur », le seul et unique film de Charles Laughton, datant de 1955, mise en image dans Typorama, ça donne ça…

     

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    Avec Typorama, nos auteurs mettent en dessin les scènes et les répliques cultes du cinéma. A retrouver chaque semaine sur la chaîne YouTube ARTE Cinéma.

    Répliquée animée par : Angèle Chiodo

    Production exécutive : Darjeeling

    Abonnez-vous !

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour Aller Plus Loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Productions Numériques Typorama – Arte

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Arte Cinéma

     

     

     

  • Chapeau Melon et Bottes de Cuir de retour tout l’été sur Arte

     

     

    En 1976, Patrick Macnee reprenait du service pour de nouvelles aventures de « Chapeau Melon et Bottes de Cuir », épaulé cette fois-ci par la « so sexy » Joanna Lumley et Gareth Hunt, la caution « action » de la fine équipe. Profitons donc de la rediffusion de la seconde série « The New Avengers » sur Arte cet été, tous les jours du 09 au 25 juillet, pour nous replonger dans les arcanes de l’une des séries télévisées parmi les plus mythiques.

     

    « Chapeau Melon et Bottes de Cuir » est le titre français de deux séries télévisées britanniques, « The Avengers » et « The New Avengers », mélangeant espionnage, science-fiction et action, et mettant en scène John Steed, le personnage principal (la seconde série pouvant être considérée comme la suite de la première).

    La seconde série, intitulée en anglais « The New Avengers » (Les Nouveaux Justiciers), fut créée par Brian Clemens et Albert Fennell et se compose de 26 épisodes de 52 minutes. Elle a été diffusée en Angleterre entre le 22 octobre 1976 et le 18 novembre 1977 sur ITV.

    Relancée par le producteur français Rudolf Roffi et coproduite par TF1, la série « Chapeau Melon et Bottes de Cuir » renaît donc en 1976 avec, à la demande du public français, toujours l’inoxydable Patrick Macnee. Secondé par Joanna Lumley (Purdey, qui succède à la mythique Emma Peel et à Tara King), Steed peut désormais aussi compter sur un jeune et fougueux homme de main pour assurer les scènes d’action.

    A ne pas rater sur Arte, du 09 au 25 juillet. Et pour les séances de rattrapage, c’est ici !

     

    Musique : Laurie Johnson

    Production : Associated British Pictures Corp.

    Scénario : Brian Clemens

    Acteur : Patrick Macnee, Gareth Hunt, Joanna Lumley

    Pays : Royaume-Uni

    Année : 1976

     

    Quant à la première série, ayant pour titre original « The Avengers » (Les Vengeurs), elle se compose de 161 épisodes de 52 minutes, dont 104 en noir et blanc, et fut créée par Sydney Newman et Leonard White. Elle a été diffusée du 7 janvier 1961 au 21 mai 1969 sur le réseau ITV.

    Dans la première saison, Steed n’est qu’un personnage secondaire, le héros est le médecin David Keel, joué par Ian Hendry. La fiancée de Keel est tuée par des trafiquants de drogue et Steed, sorte de policier non officiel, l’aide à venger la mort de sa fiancée en faisant arrêter le coupable, d’où le titre anglais de la série, qui signifie « Les Vengeurs ».

    Steed entraîne ensuite le docteur dans d’autres missions où ils vont lutter ensemble contre le crime. On notera la présence récurrente de Carol Wilson (jouée par Ingrid Hafner), secrétaire et partenaire du médecin pour certaines de ses enquêtes. Leur relation assez ambiguë préfigure les futurs duos mythiques de la série. Un des chefs de Steed, One-Ten (1-10, joué par Douglas Muir) qui lui fournit régulièrement des missions jouera également dans la saison 2.

    A noter que seuls deux des épisodes de la première saison ont été conservés en entier (ainsi que les vingt premières minutes du pilote). En effet, la première saison était diffusée en direct à la télévision anglaise sous la forme d’un show TV entièrement tourné en plateau. C’est la raison pour laquelle cette Saison 1 n’est pas considérée comme une « vraie saison » sur le plan commercial : la commercialisation de la série en DVD l’ignore ainsi totalement. La deuxième saison est donc dénommée commercialement « Saison 1 », la troisième saison « Saison 2 » et ainsi de suite.

    Dans la deuxième saison, Ian Hendry parti, le docteur Martin King (Jon Rollason) assiste Steed durant trois épisodes, et Steed devient ensuite le héros de la série. Steed a pour partenaire féminine l’anthropologue Cathy Gale (jouée par Honor Blackman) dans 17 épisodes de la saison, et la chanteuse de cabaret Venus Smith (Julie Stevens), dans six épisodes. Cette saison est un succès grâce notamment à l’arrivée de Cathy Gale, première femme forte de l’histoire de la télévision et dont la relation avec Steed reste avant tout professionnelle même si elle produit étincelles et tension sexuelle par leurs disputes incessantes.

    Dans la troisième saison, Cathy Gale reste finalement la seule partenaire de Steed. Il est élégant, fait preuve d’un flegme inaltérable et d’un humour très britannique. Elle est belle et efficace, souvent habillée de cuir (d’où le titre français de la série). Les scénarios progressent en qualité, probablement grâce à l’arrivée de Brian Clemens. Le nom de ce scénariste-producteur reste attaché à cette série à laquelle il a donné ses lettres de noblesse. La fantaisie, marque de fabrique des saisons suivantes, fait ici son apparition.

    Ces trois premières saisons sont peu connues en France, car elles n’ont jamais été doublées.

    Pour la suite de la première série, vous pourrez toujours vous référer à la très exhaustive page Wikipedia consacrée à « Chapeau Melon et Bottes de Cuir ».

     

    Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The Avengers) – Trailer Saison 1 & 2 (1961)

     

    Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The Avengers) – Générique 1965-66

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    Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The Avengers) – Générique 1967

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    Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The Avengers) – Trailer Saison 5 (1967)

     

    La dernière apparition de la mythique Emma Peel dans la série (Saison 6, Episode 1)

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    Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The Avengers) – Générique 1968

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    Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The New Avengers) – Générique Série 2 (1976-1977)

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    Et pour le plaisir, la revisite du générique de « Chapeau Melon et Bottes de Cuir » par Alice Mancini…

     

    Ainsi que quelques projets graphiques inspirés par la série…

    https://vimeo.com/search?q=chapeau+melon+et+bottes+de+cuir

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  • Batgirl s’en est allée…

     

     

    Yvonne Craig, alias « Batgirl » dans la série tv « Batman » des années 1960, est décédée mardi 17 août à l’âge de 78 ans dans sa maison de Pacific Palissades en Californie. Elle jouait le rôle de Barbara Gordon, une bibliothécaire qui se transformait en Batgirl, effectuant elle-même toutes ses cascades. Actrice et danseuse de ballet, elle apparaît dans deux autres séries cultes de l’époque : « Les mystères de l’ouest » en 1966 et « Star Trek » (Marta) en 1968.

     

    « Ils avaient besoin de quelqu’un qui pourrait attirer un public masculin de moins de 40 ans et une audience féminine pré-pubère. C’est la vraie raison pour laquelle ils m’ont engagée » confiait-elle dans un entretien.

     

    De nombreux hommages lui ont été rendus : par ses partenaires de tournage comme Adam West (Batman) ou William Shatner (capitaine Kirk), la star télé des années 60 Patty Duke ou la chanteuse Nancy Sinatra. C’est une icône qui disparaît, « la toute première super-héroïne féminine » comme le résume Matt Sorum, le batteur des Guns N’ Roses. Sur Twitter, de nombreux fans la qualifie de « celebrity crush », bien avant la princesse Leïa.

    Série culte dans les années 70 créée par William Dozier, « Batman » gagna le cœur du public grâce à son humour au second degré et des onomatopées sous forme de bulles de couleur fluorescentes ajoutées à l’image durant les scènes de combat. Pas moins de 120 épisodes très courts de 25 minutes ont fait le bonheur des aficionados durant trois saisons. Un rendez-vous kitchissime où tous les gadgets étaient en plastique (le téléphone rouge de la Batmobile), à voir et revoir en vidéo ou en DVD.

     

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    Et en cadeau, le même en LEGO…

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  • Kent Sheely | Between The Lines

     

     

    Une scène de la série « The Big Bang Theory » sortie de son contexte, et débarrassée de tout dialogue, c’est le concept du court « Between The Lines » réalisé par Kent Sheely, vidéaste originaire de Brooklyn.

    Il a saisi et monté subtilement ces courts instants pendant lesquels les personnages attendent que le public cesse de rire ou d’applaudir.

    Le résultat est étonnant, et agréablement décalé.

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Gamerz- festival Aix en Provence