M : « Machistador »
Extrait de la tournée « Le Tour de M »
Enregistré à l’Olympia – Paris fin 2000
[youtube id= »G-wOQiKT4hk » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

Pour sa deuxième édition, Villette Street Festival fait peau neuve, et revient en version XXL, pour deux semaines entièrement dédiées à la Street Culture sous toutes ses formes : musique, danse, street art, sports, gaming, lifestyle, mode, blocks parties, food trucks…
Cette année, le festival met un coup de projecteur sur les danses urbaines, avec une programmation cosmopolite combinant battles et shows chorégraphiés. Figures de proue et jeunes pousses de la scène internationale se côtoient dans des univers aussi énergiques et décalés que le krump, le voguing, ou encore le waacking…
Une série de concerts-événements déclinera toute la diversité de la musique hip hop : Joke, The Posterz, Ghostface Killah & Badbadnotgood, Apollo Brown & Ras Kass…
Et parce que Villette Street Festival est aussi une vaste arène de jeux et d’expérimentation, on y retrouve des rendez-vous et ateliers gratuits accessibles à tous en accès libre (Hoop Dance, Street Art, Glisse…), dans l’esprit de convivialité et « Do It Yourself » propre à la street culture.
Téléchargez le programme complet, et découvrez les détails des concerts, des évènements danse, street-art et playground, sur le site de la Villette.
[vimeo id= »92252627″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Villette Street Festival
Après la sortie en avril 2015 du single « Les Philharmonies Martiennes », puis de « Love Qui Peut », Les Innocents annoncent un concert le lundi 2 novembre 2015 à 20h, au Trianon de Paris.
Places en vente à 38 euros en place assise libre au balcon, et 30 euros debout à l’orchestre.
Vous pouvez aussi découvrir leur nouvel album « Mandarine » (sortie prévue le 1er juin 2015) en avant-première, et rencontrer le groupe à Paris le Mardi 19 mai 2015 en jouant sur le lien suivant.
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Les Innocents
L’artiste et réalisateur Vania Heymann confectionne, pour le beatboxer israélien Roy Kafri, un clip étonnant dans lequel il fait revivre des pochettes de vinyles de stars du rock, qui entonnent le titre “Mayokero” de Roy Kafri.
Etonnant…
[vimeo id= »109646378″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]
[vimeo id= »64734486″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

Né de la rencontre entre un beatmaker québécois, Griot, et un graphiste français, Pitch It, le collectif Lambda Connexion rassemble des artistes de tous horizons, dont l’univers créatif se met au service de la culture urbaine.
✔ Beatmaking
✔ Production Musicale
✔ Audio-visuel
✔ Graphisme / Illustration / Photo
✔ Peinture / Airbrush
✔ Rap
Parmi les productions audio-visuelles du collectif, à noter la série de cinq teasers « IVE BEEN TRAP », qui annonçait en septembre dernier la sortie du dernier album de Griot.
A noter le teaser #4, dans lequel vous retrouverez un visage connu… A moi aussi, il avait dit que ça voulait dire « prospérité »… « WEVE BEEN TRAP »…
« Un bruit sourd au loin, une palpitation soudaine, une douleur muette, un goût de café froid, t’es pris au piège… »
[youtube id= »IrCM2p87HDM » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
[youtube id= »_IWz_WOnfDQ » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
[youtube id= »6j6HKamoPL8″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
[youtube id= »b71tQDGeecM » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
[youtube id= »b4gsbdFZvgA » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Lambda Connexion
Fnac Live Festival – 24 juillet 2011
Hôtel de Ville de Paris
Tracks : Raggamuffin / Crazy Vibes / Black Part Love
[youtube id= »4r7gbmo-1Fs » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
La sixième édition du festival de Jazz Bouche à Oreille (le JazzMaine) se tiendra du 22 au 25 mai 2015 à Bouchemaine, petit village de 6 500 habitants en bord de Loire, à seulement 10 km au sud de la capitale angevine, et à moins de 2h de Paris.
Nous l’avions déjà évoqué dans un article au mois de mars, mais nous connaissons maintenant toute la programmation de cette édition 2015.
Cette année, les batteurs seront plus particulièrement à l’honneur.
le vendredi soir, c’est le groupe de Sonny Troupé, batteur antillais, qui se produira, accompagné notamment d’un joueur de gwo-ka, percussion antillaise.
Le samedi soir, soirée de gala avec, en seconde partie le trio de Daniel Humair, considéré aujourd’hui comme le meilleur batteur en Europe, qui depuis cinquante ans, a joué avec les plus grands jazzmen européens et américains.
Enfin, cette édition sera parrainée par Mourad Benhammou, excellent batteur largement reconnu, qui se produira à plusieurs reprises au cours du festival.
Parmi les autres têtes d’affiche du chapiteau (implanté dans le parc du Petit Serrant), citons Alban Darche et son Hypercube, Ester Rada, chanteuse israélienne qui devrait ravir le public dimanche 24 en soirée, et Fat Cat Trio, le lundi après-midi.
D’autres musiciens, jeunes talents de la scène jazz, seront présents à la confluence de la Maine et de la Loire, dans les jardins de propriétés magnifiques et d’autres lieux.
Une fois encore, le festival propose une programmation exigeante, de grande qualité, qui devrait permettre à cette 6ème édition de rassembler un large public prêt à découvrir ou redécouvrir des musiciens de grand talent.
A inscrire dès maintenant dans les agendas : du vendredi 22 au lundi 25 mai, quatre jours de jazz non stop à Bouchemaine.
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Festival Bouche à Oreille
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Festival BAO Facebook

Le clip de Gotye : « Somebody That I Used To Know (feat. Kimbra) » / Réalisé par Natasha Pincus (2012)
[vimeo id= »26028186″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]
Interview de Natasha Pincus (March 18, 2012) :
[youtube id= »ISlQtNeqtf8″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
Le Clip de The Paper Kites : « St Clarity » / Réalisé par Natasha Pincus (2014)
[vimeo id= »69053604″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]
Making-of de The Paper Kites : « St Clarity » / Réalisé par Natasha Pincus (2014)
[vimeo id= »70483287″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Starkraving Productions

Tuxedo’s first live show, March 4th, 2015 at The Regent Theater in Los Angeles, CA.
“Number One” / “Do It”
Catch Tuxedo Live on tour in Summer 2015.
Tickets/Dates: Tuxedo Funk
[youtube id= »kJmIi8psOXw » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Tuxedo Funk

[kleo_pin type= »circle » left= »yes » right= » » top= » » bottom= » »] « FOCUS » : un article de fond sur un thème que nos rédacteurs ont sélectionné.
A la fin de la seconde guerre mondiale, l’arrivée massive de populations en provenance de Puerto Rico sera à l’origine du dynamisme créatif de ce quartier de New York. Le Mambo est partout, et des clubs consacrés à cette musique, les Latin Balrooms, fleurissent à chaque coin de rue. Des bancs de la Public School 54 émerge dans les années 40 une génération bénie de musiciens exceptionnels, de Ray Barretto à Eddie Palmieri, en passant par Willie Colon et Benny Bonilla, tous originaires du South Bronx. Quant à Tito Puente, d’environ dix ans leur ainé, il grandit à Spanish Harlem.
Ce qui va d’abord réunir tous ces gamins, c’est le Stickball, « the poor man’s baseball ». Puis viendra la musique et la danse, avec comme point d’ancrage le jukebox trônant au milieu de l’épicerie tenue par les parents d’Eddie Palmieri. Tout ce beau monde fera ensuite ses armes dans les meilleures formations du moment, parmi lesquelles celles de Machito ou Tito Rodriguez.
Dans les années 50 et 60, au coeur du Bronx où se côtoient les communautés African American et Afro-Cubaines, le Mambo made in NYC s’imprègne peu à peu d’influences diverses telles que l’Afro Beat et le Rhythm ‘n’ Blues.
A la fin des années 60, la combinaison de toutes ces facettes de la musique cubaine posera les bases d’un style plus « agressif », que le label prédominant de l’époque, Fania Record Company, dénommera Salsa. La Salsa n’est pas un rythme, c’est un concept. Comme le disent les divers initiateurs de ce nouveau son : « Salsa, Cuban Music with a freakin’ New York attitude »…
L’explosion de la Salsa connaitra son apogée avec le concert géant des Fania All Stars organisé au Yankee Stadium en 1973, en plein coeur du Bronx. Quarante-mille personnes en transe assistent à cet évènement réunissant la crème des musiciens latinos du moment, tous originaires des alentours du stade. Ce qui caractérise cette nouvelle forme de musique cubaine, c’est le rythme qui prend le pas sur la mélodie. Regardez une performance de Tito Puente, el rey de las timbales, pour vous convaincre du pouvoir hypnotique et tribal de la Salsa. Ce qui est sûr, c’est que sans l’établissement de cette communauté portoricaine dans Spanish Harlem ou le South Bronx, à partir des années 20, la musique cubaine n’aurait probablement pas survécu.
Mais le Bronx change… L’arrivée en force du trafic de drogue coïncide avec la formation des premiers gangs qui, conjuguée à la construction du Cross Bronx Express Way, mènera peu à peu à un nouvel exil des populations cubaines et portoricaines vers le West Bronx, ainsi qu’au déclin du borough. Les Dancehalls ferment les uns après les autres, tandis que l’esprit du Bronx disparait au gré des incendies.
En 1974, des cendres et des gravats encore fumants du South Bronx va émerger une nouvelle musique qui, comme la Salsa, met en avant le rythme par rapport à la mélodie : le Hip-Hop. Les pionniers de ce genre musical, à l’instigation d’Africa Bambaataa et de sa Zulu Nation, investissent les immeubles délabrés du quartier, et dieu sait s’il y en a, pour créer autant de dancehalls improvisés où s’affronteront désormais de façon pacifique les gangs, devenus crews, dans le cadre très codifié de battles sur le dancefloor.
La communauté black du South Bronx est à l’origine de l’émergence du Hip-Hop, avec Grandmaster Flash ou Cold Crush Brothers, mais les portoricains ne sont pas en reste avec quelques Djs qui deviendront des mythes, comme Charlie Chase.
A l’aube des années 80, Sugarhill Gang offre le tout premier hit planétaire au Hip-Hop, Rapper’s Delight, tandis que la Disco Music investit Brooklyn.
Ne manquez pas « From Mambo to Hip-Hop, a South-Bronx Tale », un documentaire exceptionnel revenant sur la contribution d’un quartier de New York à l’émergence d’un genre musical qui va révolutionner la musique moderne…
[vimeo id= »27923016″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]
[kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] South Bronx
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Musical Landscape of the South-Bronx