Catégorie : Musique

  • Hindi Zahra | Nouvel Album « Homeland »

     

    Hindi Zahra est une chanteuse autodidacte marocaine de 36 ans, née en 1979 à Khourigba et arrivée en France en 1993. Elle publie son premier album en 2010, « Handmade » dans lequel elle chante en anglais ainsi qu’en Berbère et reçoit le Prix Constantin qui récompense chaque année l’album d’un artiste révélé au cours de l’année. Un coup de maître pour un premier essai. L’année suivante, elle remporte la Victoire de la Musique catégorie Musiques du Monde pour le même album.

    Aujourd’hui, elle en est à son 5ème album « Homeland » et fait le buzz sur internet. 11 morceaux de Pop Alternative composés au Maroc et enregistrés dans un petit studio du XIe arrondissement à Paris. Une musique ensorceleuse et ouatée qualifiée de « Word Fusion », croisement des styles sur fond d’électro. Sa musique mérite le qualificatif d’universelle. Elle fait se retrouver sur un même disque trois mondes très éloignés : l’Amérique latine, l’Afrique et le Moyen-Orient. Elle marie la musique arabo-andalouse à des rythmes africains ou latino-américains.

    Issue d’une famille d’artistes berbères qui l’initie à la musique du gnawa, ses chansons ressemblent à des balades folk empreintes de nonchalance sensuelle et d’influences berbères, chaudes comme le désert et épicées à la fois.

    Indi Zahra en concert :

    ✓ Le 26 juin à Enghien-les-Bains
    ✓ Le 3 juillet à Paris (Cité de la Musique)
    ✓ Le 10 juillet à Nice

    et en tournée tout l’été… Toutes les infos ici.

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Hindi Zahra Official

     

     

  • Strip Steve | The Hood

     

     

    Derrière « Strip Steve » se cache un jeune Dj producteur d’origine bordelaise, Théo Pozoga.

    Il sort son premier Ep en 2007 sur le label berlinois Boysnoize Records, « Skip School Ep », et nous distille depuis sa house punchy et brillante.

    Installé depuis quelques années à Berlin, Strip Steve s’inspire tant du hip-hop que du son de Chicago.

    Découvrons maintenant le clip de son titre « Hood », extrait de l’album  « Micro Mega » sorti en 2012.

    Attention, tuerie absolue…

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Boysnoize Records

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Strip Steve @ Discogs

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Strip Steve @ Soundcloud

     

     

     

  • In Memoriam | Ornette Coleman

     

    Le légendaire saxophoniste et compositeur de jazz américain Ornette Coleman, précurseur du free jazz, est décédé jeudi 11 juin 2015 à New York, à l’âge de 85 ans.

    Grand admirateur de Charlie Parker, le créateur du be-bop, et multi-instrumentaliste, Ornette Coleman quitte son Texas natal, d’abord pour Los Angeles, avant de s’installer à New York en 1959, où il signe chez Atlantic Records, label sur lequel il enregistrera neuf albums entre 1959 et 1961, parmi lesquels « The Shape of Jazz to Come » (1959) et « Free Jazz: A Collective Improvisation » (1960). Ces deux manifestes vont poser les bases du free jazz, qui laisse une grande part à l’improvisation, hors de toute contrainte harmonique, en s’affranchissant peu à peu des conventions du jazz, du tempo à la structure rythmique, et qui caractériseront le style de jeu de Coleman.

    Contrastant avec la nature profonde d’Ornette Coleman, à savoir celle d’un homme timide, discret et réservé, sa réputation sulfureuse ainsi que son style musical lui attireront tout au long de sa carrière les critiques et les jugements contrastés, en particulier de la part de ses pairs. Il est cependant considéré comme un des précurseurs du Funk.

    A noter quelques collaborations intéressantes, notamment avec Claude Nougaro en 1976, ou encore Lou Reed en 2003.

     

    [vimeo id= »17677794″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

    Instant-City-Ornette-Coleman-02

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Atlantic Records

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Blue Note Records

     

     

     

  • En 24 Images Sonores | Björk : Stonemilker

     

    Comme à son habitude, Björk bouscule encore une fois les codes, en nous dévoilant ce matin en avant-première sur sa chaine YouTube le clip du titre « Stonemilker » ouvrant la track list de son dernier album « Vulnicura » sorti en janvier 2015. Mais peut-on raisonnablement être surpris ?

    Avec le clip interactif « Stonemilker », le réalisateur Andrew Thomas Huang nous livre ici sa vision de l’univers de Björk, un monde à 360°…

    A découvrir…

     

    [youtube id= »gQEyezu7G20″ align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Björk Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Andrew Thomas Huang

     

     

     

  • OnStage | Alabama Shakes

     

    Alabama Shakes reviennent avec leur nouvel album, Sound & Color, et toujours plus de soul et de funk, pour notre plus grand plaisir.

    Avec leur premier opus Boys & Girls, sorti en 2012, Alabama Shakes avaient déjà séduit toute la planète. On se souvient en particulier de leur titre Hold On. Très bonne nouvelle, ce nouvel album, Sound & Color, est tout aussi bon.

    Originaire d’Athens, petite bourgade de l’Alabama, les Alabama Shakes ne cachent pas leurs origines musicales : le Sud des Etats-Unis, baigné par la soul et le rock 60’s.

    C’est certain, la chanteuse Brittany Howard et le guitariste Heath Locke, avec ce Sound & Color, vont faire beaucoup de bien à vos oreilles. Très bonne écoute à tous !

     

    [youtube id= »t3Lu1WbImPE » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

    Instant-City-Alabama-Shakes-001

     

    Instant-City-Alabama-Shakes-Sound-and-Color

     

     

     

  • Vibrations Acoustique | Lou Doillon

     

    Lou Doillon… Elle est chanteuse, actrice, mannequin… Difficile d’écrire sur une artiste qui a tout. La voix, la beauté, le talent et la vie qui va avec.

    Le Mag Instant City vous propose d’écouter en acoustique un extrait de son premier album, « Places », sorti en 2012. Un grand merci à Lou Doillon pour cette parenthèse enchantée (Un fan).

    Très bonne écoute à tous !

     

     

    [youtube id= »25brvkw9McU » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Lou Doillon Officiel

     

     

  • TheYellowBeats | Illusion (Clip)

    TheYellowBeats | Illusion (Clip)

     

    Here we are ! Le clip « Illusion », fruit de la collaboration de TheYellowBeats pour la musique, Makema Films (Maxime GarnaudKevin Fracchiolla et Martin Grillet) pour les images et Instant City pour la production, est enfin arrivé. Et nous en sommes tous très fiers !

    Spéciale dédicace aux comédiens, Tara Martinez et Jeremy Cateland.

    Grosse pensée à Manu Alias aka The Yellow, qui nous a quittés ce soir pour ses contrées canadiennes.

    Et surtout, merci à tous les donateurs !

    To be continued !

     

    [vimeo id= »129308736″ align= »center » mode= »normal » autoplay= »no » maxwidth= »900″]

     

     

    Instant-City-TheYellowBeats-Echoes InD

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] TheYellowBeats Official

     

     

     

  • Soirée « Saintes Waves » Sur Volubilis (Radio)

    Soirée « Saintes Waves » Sur Volubilis (Radio)

     

    Avant la « Synth Pop » et la « New Wave » dans les années 80, il y eut la « Synth Wave »…

    Venez revivre cette époque à la créativité bouillonnante, et découvrir les dignes héritiers des premiers fondateurs de cette scène musicale « Synth Wave », avec la 5ème Soirée « Saintes Waves » diffusée en exclusivité sur VOLUBILIS (Radio).

    Avec au programme :

    20h00 : Sélection Néo-Rétro by Jean Roupech (VOLUBILIS radio)
    21h00 : Sélection 100/100 exclusivités by Gautier Rossi (Label La Forme Lente) + Hartzine.
    22h00 : Home Live by Jean Roupech (feat. Vincent Dacosta)
    22h30 : Home Live by Mode in Gliany

    Pour nos amis du Nouveau Monde, rediffusion à 3h00 du mat’ mardi 02 juin.

    Et pour info, pour creuser le sujet « Synth Wave », c’est ici.

     

    Instant-City-Saint-Waves-02

     

     

  • AC/DC | Let There Be Rock | Live in Paris 1979

     

     

    A l’occasion du concert d’AC/DC samedi soir dernier au Stade de France, replongeons dans 40 ans d’histoire de ce groupe qui reste aujourd’hui un des tous derniers survivants, avec les Rolling Stones, d’une époque à jamais révolue.

     

    Et pour certains d’entre nous, cette vidéo ne va pas nous rajeunir… Ce concert d’AC/DC, tourné le 09 décembre 1979 au Pavillon de Paris – je venais d’avoir quatorze ans, et j’y étais – restera dans l’imaginaire collectif comme probablement un de ces derniers shows mythiques qui marqueront cette époque bénie, et ce à double titre.

    En effet, nous sommes toujours dans le minimalisme scénique de ces années 70, avec peu d’effets de scène et pas de pyrotechnie, ce qui caractérisera ensuite les concerts-monstres des années 80. Cette tournée, qui suit la sortie de l’album « Highway To Hell », et qui propulsera AC/DC dans les charts, ainsi qu’au firmament du Rock, est aussi la dernière pour Bon Scott, qui décèdera quelques mois plus tard, à Londres, le 19 février 1980, marquant le début de la légende du groupe. En effet, l’album suivant, « Back In Black », avec un nombre de copie vendues autour de cinquante millions, sera le deuxième album le plus vendu au monde, derrière « Thriller » de Michael Jackson vendu à plus de 65 millions d’exemplaires. Le jour de la sortie de « Back In Black », une rumeur courut que l’album hommage à Bon Scott sortirait en pressage limité. Il en résulta des heures d’attente devant les magasins de disques. Une heure après leur ouverture, l’album était épuisé, pendant des semaines…

    Mais plus généralement, ce concert sonne le glas du Pavillon de Paris, qui aura accueilli en l’espace de cinq années tous les groupes majeurs des années 70, d’Alice Cooper à Roxy Music, en passant par les Rolling Stones (enregistrement de « Love You Live » en 1976), Bob Marley (enregistrement de « Babylon By Bus » en 1978) ou encore Supertramp (enregistrement du live « Paris » en 1979). La salle de concert de la Porte de Pantin, qui fut construite sur le site des anciens abattoirs de la Villette, fermera définitivement en 1980, pour laisser la place au futur Zenith, qui ouvrira ses portes en 1983.

    Ce concert filmé au Pavillon de Paris est entrecoupé de séquences d’interview des membres du groupe, tournées deux jours plus tôt à l’occasion d’un concert à Reims. Il servira de base au documentaire musical « Let There Be Rock » réalisé par Eric Dionysius et Eric Mistler, sorti sur grand écran en 1980, et qui restera à l’affiche de quelques cinémas parisiens pendant des années…

    A découvrir, ou à redécouvrir… C’est juste énorme.

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] AC/DC Official

     

     

     

  • Björk | DJ Set surprise à New-York

     

    On connait la faculté naturelle que possède Björk de brouiller les pistes, et de surgir là où on l’attend le moins. Son dernier happening n’a pas failli à la règle, puisqu’un public trié sur le volet, à l’occasion d’une fête donnée à New York le 15 mai dernier par le label expérimental Tri Angle Records pour célébrer ses cinq ans d’existence, n’en a pas cru ses yeux, en s’apercevant que le DJ qui officiait aux platines n’était autre que l’icône islandaise.

     

    [soundcloud url= »https://api.soundcloud.com/tracks/206037005″ params= »auto_play=false&hide_related=false&show_comments=true&show_user=true&show_reposts=false&visual=true » width= »100% » height= »450″ iframe= »true » /]

     

    A bientôt 50 ans, Björk n’a rien renié de ses racines Punk, et ne s’est jamais départie de son goût immodéré pour la mise en scène. Fan invétérée et auto-proclamée des productions de Tri Angle Records, elle nous gratifie d’un mix d’une heure, pointu comme on pouvait s’y attendre, et passant en revue tous ses coups de coeur musicaux de l’année 2014, du hip-hop alternatif des défunts Death Grips au rock de Kate Bush, en passant par la techno britannique de Vessel.

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Björk Official