[Raw Art] presents « Drugs » by [3J]
DIR|DOP|EDIT|GRADE: Taras Pozdnyakov
CAST: Vlad Gapanovich / Maxim Golovchenko / Evgeniy Pahalovich.
MUSIC: [Drugs] by Ratatat / Ratatat (Google Play • iTunes)
COACH: Yuriy Pozdnyakov
STYLE: Daniel Joy Harper / Taras Pozdnyakov
TECH SUPPORT: Valery Docenko / Katya Nikiforova / Karina Trofimenko.
Shot on Blackmagic Pocket Cinema Camera.
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® 2015 Raw Art (Kiev, Ukraine)
23 ans après la disparition de Michel Berger, une chanson inédite, « Un dimanche au bord de l’eau », vient d’être rendue publique par France Gall. Elle apparaît dans son nouvel Album « Résiste » qui est sorti le 23 octobre. Ce titre lance aussi la comédie musicale éponyme qui a démarré le 4 novembre 2015 au Palais des Sports, en hommage au chanteur disparu en 1992, et qui reprend tous ses tubes. Un joli cadeau pour les fans, mais aussi un joli coup marketing. Cette balade aux accents nostalgiques qui parle du temps qui passe et de cheveux gris sur le thème : « si on changeait la vie », a été enregistrée dans les années 1980. Produite dans les studios de Los Angeles avec des musiciens américains, la chanson devait figurer sur l’un des albums de Michel Berger, mais le manque de place sur le vinyle avait obligé l’artiste à la mettre de côté. A 67 ans, France Gall, est retournée pour l’occasion travailler en studio pour mixer le titre et faire les choeurs. Elle n’avait plus enregistré sa voix depuis 20 ans.
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Eight performers from the international sensation Stomp took to an outdoor basketball court in New York City’s Greenwich Village with four stars from the world famous Harlem Globetrotters to celebrate the team’s 90th year.
« Jimmy was having a rather beautiful day until he bumped into Jack and things got weird »
Directed by: Adrien Dezalay, Emmanuel Delabaere, Simon Philippe.
Gump website: gump.tv
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« Lagerfeld Confidentiel », le documentaire sorti en 2006, et consacré à ce personnage illustre, avait déjà eu le mérite de donner un éclairage assez intéressant sur ce monde très codifié. Loic Prigent, son réalisateur, est celui qui en France a su le mieux parler de la mode et de son microcosme avec désinvolture, mais aussi avec respect et pédagogie, apportant un éclairage ultra pointu, sans en avoir l’air, sur ce qu’est vraiment la mode.
Ici, avec « The September Issue », le film de R.J. Cutler, on nous parle surtout de la création de A à Z d’un numéro du Vogue Américain. Celui qui sort en septembre, en fait, soit le plus important, le plus attendu des numéros de l’année du magazine le plus emblématique de la mode internationale. Anna Wintour, sa rédactrice en chef, qui depuis des lustres fait exister et surtout vendre ce magazine, sorte de baromètre des tendances mondiales, check-up froid du grand corps de la mode, s’y montre telle qu’elle est.
Ce qui frappe surtout, c’est que ce film ne cherche nullement à rendre encore plus glamour ce milieu. Non, on dirait plutôt qu’il est conçu avant tout pour ceux qui aiment la mode et qui la font. Incroyablement technique et bourré de détails sur la mise en boite de ce fameux numéro de Vogue, « The September Issue » nous en montre réellement les coulisses, et nous dévoile tout le process de création et de conception du magazine.
On pense bien sûr à « Le Diable s’habille en Prada ». Mais ici, on décortique uniquement le fonctionnement de cette machinerie. Cette petite femme austère, qui parfois tente d’arrondir son image avec un trait d’humour qui glace encore plus son auditoire, reste une professionnelle absolue qui connaît tout sur tout à la mode, aux tissus, aux motifs, aux couleurs, mais aussi aux mannequins, photographes, stylistes et créateurs… Saisissant de la voir intimider à ce point tous les grands noms de la profession, voire d’influencer jusqu’aux collections en cours ou même futures. On apprend ainsi son aversion pour le noir, et lui préférer la couleur et les motifs. Ironique quand on sait un tant soit peu que dans ce milieu de la mode et de la branchitude, le noir a toujours été le passeport absolu. Mais forte de ses propres goûts et d’un flair presque extralucide, la femme aux grosses lunettes noires et à la coupe de cheveux au carré sait toujours ce qu’il faut voir. Et l’enjeu est de taille tant ce magazine brasse des chiffres mirobolants.
Pour tout cela, ce film peut laisser pas mal de spectateurs même un peu « modeux » sur le côté, car il se veut à l’image de son personnage central : précis, pointu et exigeant.
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[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Dévoreur Hubertouzot
[kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Hubert Touzot : Photographe dévoreur d’images
In 1964, Henri-Georges Clouzot chose Romy Schneider as lead actress of « L’Enfer ».
This enigmatic and psychodelic project was given an unlimited budget. However, three weeks into filming, the project was aborted. The images where never shown or edited.
Decades later Serge Bromberg found some original rushes and screen tests. He made a documentary about Clouzot’s filmmaking genius.
I decided to edit this raw materials into the wild & strange videoclip for Kamp’s video, « Breaking a Ghost’ Heart ».
Enjoy !