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  • Paul Personne, le retour…

     

     

    Après plus de trente ans de carrière, Paul Personne est de retour pour nous présenter « Lost in Paris Blues Band », son nouvel album né d’une session improvisée aux mythiques Studios Ferber, en compagnie d’artistes d’exception.

    On y retrouve John Jorgenson, guitariste d’Elton John et Bob Dylan, Robben Ford, guitariste de blues et de jazz ayant notamment accompagné Miles Davis, Ron « Bumblefoot » Thal, connu à la fois en solo et pour avoir remplacé Slash dans Guns N’ Roses, ou encore Beverly Jo Scott, chanteuse blues / rock légendaire. Enfin, la section rythmique a été assurée par Kevin Reveyrand et Francis Arnaud, qui ont l’habitude d’accompagner la crème de la variété française.

    Cet album présente treize reprises de standards blues, folk et rock, dont « One Good Man » (Janis Joplin), « Trouble No More » (Muddy Waters), « Watching The River Flow » (Bob Dylan).

    Une totale réussite ! A découvrir d’urgence !

     

     

  • Brassaï : Graffiti

     

     

    « Ces signes succincts ne sont rien moins que l’origine de l’écriture, ces animaux, ces monstres, ces démons, ces héros, ces dieux phalliques, rien moins que les éléments de la mythologie. »

     

    Les dessins et signes tracés ou grattés sur les murs de Paris ont fasciné Brassaï du début des années 1930 jusqu’à la fin de sa vie. Le photographe a constamment traqué ces expressions durant toute sa carrière, leur consacrant une importante série qui a pris forme dans un livre et à travers plusieurs expositions.

    Grâce à la richesse de sa collection de photographies, le Centre Pompidou propose une présentation thématique de la célèbre série « Graffiti » du photographe français d’origine hongroise. L’exposition replace la série dans le contexte de la fascination pour l’art brut d’artistes et écrivains proches de Brassaï : Raymond Queneau, Jean Dubuffet, Pablo Picasso, Jacques Prévert, notamment. Des documents enrichissent cette présentation inédite offrant au public d’en approfondir la compréhension et l’écho.

     

    « Le mur se dresse tel un défi. Protecteur de la propriété, défenseur de l’ordre, il reçoit protestations, injures, revendications et toutes les passions, politiques, sexuelles ou sociales. La Révolution française commença par détruire un mur, celui de la Bastille. Les journaux, les affiches n’ont pu supplanter les écritures murales. Un mot tracé à la main, en lettres immenses, a une emprise que n’aura jamais une affiche. Animé encore de l’émotion ou de la colère du geste, il hurle, barre le chemin. »

     

    C’est avec ces mots que Brassaï, photographe français d’origine hongroise, commentait, en 1933, la première publication de quelques-unes de ses photographies des fragments des murs parisiens parues dans la revue Minotaure. La série des « Graffiti », à laquelle le photographe travaillera pendant plus de vingt-cinq ans, est riche de plusieurs centaines d’images, dont une partie reste méconnue. L’exposition que présente le Centre Pompidou dans la Galerie de photographies, en dévoilant des inédits, propose un regard approfondi sur ce célèbre ensemble et sa fortune auprès d’artistes et d’écrivains proches de Brassaï : Pablo Picasso, Jacques Prévert, Jean Dubuffet, notamment.

    Flâneur nocturne, Brassaï s’intéresse dès ses débuts aux quartiers « mal famés » de Paris et à la culture populaire. Il est le premier, dans l’histoire de la photographie moderne, à penser intuitivement l’appareil photographique comme un outil de dissection de l’urbain. Il concentre son regard sur des dessins, signes et gribouillages inscrits sur les murs de Paris. À l’instar de ses clichés des pavés, il resserre son cadre, s’attache au détail et met en valeur un objet a priori sans importance, exactement comme il l’avait fait pour les Sculptures involontaires avec Salvador Dalí. Ces règles formelles établies, Brassaï entame un projet d’enregistrement systématique : au fil des années, il constitue un catalogue – un imagier populaire – des traces laissées sur les murs par les habitants de la capitale. Publiés pour la première fois dans le contexte surréaliste, ces dessins trouvés et photographiés sont lus comme l’expression de l’inconscient de la métropole. Rassemblés dans les années 1950 pour des expositions et édités dans le livre Graffiti (1961), ils sont soumis à une typologie proposée par l’artiste. Cette démarche inscrit sa pratique dans le contexte naissant de l’ethnologie et de la sociologie du quotidien.

    L’exposition prend sa source dans l’ensemble exceptionnel des « Graffiti » que conserve le Centre Pompidou et porte un regard nouveau sur ces images. Elle les inscrit dans le cadre plus large de la fascination exercée par l’art populaire sur certains artistes et écrivains en quête des sources premières de la création artistique. Grâce aux prêts d’œuvres venues de l’Estate Brassaï, de collections privées et d’autres institutions, l’exposition montre comment certains tirages de la série ont été réutilisés par des artistes : intégrés à des collages, illustrant des recueils de poésie, inspirant un dialogue avec des réalisations sculpturales ou graphiques.

     

    Brassaï : Graffiti au Centre Pompidou, du 09 novembre 2016 au 30 janvier 2017

    Commissaire : Mnam/Cci, Karolina Ziebinska-Lewandowska

    Crédit photographique : © Centre Pompidou / Photo A. Rzepka / dist. Rmn-GP, © Estate Brassaï

    Brassaï, « Graffiti », de la série « Images primitives », 1935-1950

     

     

    [youtube id= »F_ZiCMKqvms » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    L’exposition Brassaï s’écoute aussi sur Soundcloud !

     

     

     

  • Marilyn : I Wanna Be Loved By You…

     

     

    Marilyn Monroe (1926-1962) est certainement la star la plus photographiée de toute l’histoire du cinéma. André de Dienes, Milton Greene, Philippe Halsman, Eve Arnold, Cecil Beaton, Richard Avedon, Sam Shaw, Ed Feingersh, George Barris, Bert Stern… les meilleurs photographes de son temps l’ont immortalisée, faisant de Marilyn l’icône absolue.

     

    A travers une soixantaine de tirages photographiques, principalement issus de collections privées, et de nombreux supports multimédia, l’exposition « Marilyn » raconte l’histoire de la relation particulière que Marilyn Monroe a toujours entretenue avec la photographie et les photographes. Une relation centrale dans la construction de son image mythique.

    Plus encore que la caméra, Marilyn aimait l’appareil photo et les photographes le lui rendaient d’ailleurs bien. On sait combien Marilyn Monroe s’est prêtée au jeu de la célébrité, renvoyant à chaque paparazzi un sourire éclatant. Très jeune, elle dévore les magazines de cinéma dont les photos idéalisées éveillent son intérêt pour la photographie. Débutant comme modèle puis comme pin-up, elle comprend vite le pouvoir de l’image, dont elle a besoin pour lancer sa carrière cinématographique, et s’en empare. Sa photogénie exceptionnelle et son travail intensif avec les photographes hollywoodiens les plus réputés portent vite leurs fruits et elle apparaît en couverture de nombreux magazines, contribuant au développement de sa popularité comme de son érotisme. C’est sous l’objectif des photographes publicitaires des studios que Norma Jean Baker, petite fille à l’enfance difficile, devient Marilyn Monroe, la star. Les médias construisent l’image toute faite d’une femme joyeuse, radieuse. Or Marilyn est multiple, complexe. Car l’icône a deux faces : celle, solaire et lumineuse, de la blonde et celle, plus sombre, d’une jeune femme perfectionniste, fragile et vulnérable.

    Marilyn noue un dialogue de confiance avec les photographes, plus qu’avec les journalistes ou même les réalisateurs. Elle initie très régulièrement des séances de photographie pour façonner elle-même son image et se défaire du rôle dans lequel l’enferment les médias et les studios hollywoodiens, la Fox en particulier. Marilyn tient à contrôler chaque image – comme sur ces planches contacts de la « Dernière Séance » de Bert Stern, présentée en fin d’exposition, où elle barre les clichés qui lui déplaisent. C’est cette co-construction de son image, révélant la maîtrise du photographe autant que la sienne, qui est ainsi donnée à voir.

     

    [arve url= »https://vimeo.com/187333992″ mode= »normal » align= »center » title= »Marilyn : I Wanna Be Loved By You… » description= »Caumont Centre d’Art » maxwidth= »900″/]

     

    Marilyn : I Wanna Be Loved By You

    Du 22 octobre 2016 au 1er mai 2017

    Caumont Centre d’Art, Aix-en-Provence

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Caumont Centre d’Art Officiel

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Bert Stern, la Galerie de l’Instant

     

     

  • Court métrage : llapse

     

     

    Le court-métrage « Llapse » de Julien Vanhoenacker artiste VFX est une magnifique métaphore de l’Humanité. Il met en scène d’énigmatiques cubes symbolisant le flot et les traces de l’Homme sur Terre. Un très beau rendu (grâce au renderfarm de The Post Bangkok), qui nous plonge dans un univers unique.

    Site officiel : llapse.net
    Facebook: facebook.com/llapse

     

     

     

  • Court-métrage : Genesis

     

     

    Très belle découverte : GENESIS  est un court-métrage sur la mort et la renaissance. Le film d’Onuk Senturk explore comment les deux concepts sont inter-connectés, sur une petite et grande échelle.

    L’auteur turc raconte qu’il a vu de nombreux films de science fiction et que cela lui a donné l’envie d’en faire un. Il rend hommage, par là-même aux maîtres du genre. Il a réalisé ce film d’animation tout seul, du début à la fin, en utilisant notamment 3ds Max et les produits Adobe.

     

    Sa page Behance

     

     

     

  • Tear Gun : Une arme avec des larmes

     

     

    Demandez à tous les parents qui ont des adolescents et ils vous diront : les larmes peuvent être utilisées comme des armes. La designer Yi-Fei Chen a donc créé une arme dont les munitions sont des larmes : Le « Tear Gun ».

    Chen raconte que ses études à l’étranger, loin de chez elle, furent très difficiles : « Les difficultés à vivre dans un autre pays m’ont amené à supporter beaucoup de pression ».

     

     

     

  • François et le 3ème Secret de Fatima

     

     

    Tout commence le 13 mai 1917 à Fatima, une petite ville portugaise à 130 km au nord de Lisbonne, et plus précisément près du village d’Aljustrel, à 2 km de Fatima. Trois enfants, Lucia Dos Santos 10 ans, ses cousins Jacinta 7 ans et Francisco Marto 9 ans, ramènent à la maison le troupeau de moutons qu’ils ont gardé toute la journée lorsqu’ils voient apparaître la Vierge, « une très belle dame qui vient du ciel », dans un chêne vert à la Cova de Iria, lieu-dit où ils gardaient leur troupeau. Elle leur demande de réciter le chapelet tous les jours en l’honneur de Notre Dame du Rosaire et de revenir le 13 de chaque mois pendant les cinq prochains mois.

    C’est avec 60 personnes que les enfants reviendront le 13 juin 1917, 5 000 le 13 juillet. En août ce sont 18 000 personnes qui attendent l’apparition mariale. Pourtant, ce jour-là, les trois enfants ne viendront pas : ils ont été arrêtés, mis en prison et soumis à plusieurs interrogatoires fermes et musclés avec force pressions psychologiques qui dureront jusqu’au 16 août. En septembre, 30 000 personnes sont présentes. La foule distingue un globe lumineux et voit tomber des flocons de neige. Le 13 octobre, malgré la pluie et la boue, 70 000 personnes viennent assister au miracle annoncé : ils témoigneront tous avoir vu  le soleil danser, zigzaguer dans le ciel durant dix minutes. Leurs vêtements trempés et boueux à 12h00 sont entièrement secs à 12h10. Ce phénomène astronomique a été vu dans un rayon de 40 km dans des fermes ou des hameaux isolés. Difficile de nier un phénomène vu par 70 000 personnes, annoncé quatre mois à l’avance et confirmé par des témoins isolés.

    Au cours de ses apparitions, La Vierge Marie livre aux enfants trois messages destinés aux hommes du monde entier :

    • Dans le premier, elle livre aux enfants une vision d’épouvante et d’horreur, celle de l’enfer.
    • Dans le second message, elle demande aux hommes de changer de comportement s’ils veulent être sauvés et connaître la paix.
    • Le troisième message n’a jamais été divulgué. Sauf la fin : « Ceci, ne le dites à personne. A François, oui, vous pouvez le dire. »

    Ce 3ème secret aurait un lien avec l’avenir de l’humanité. Après le déluge de Noé, un châtiment nous attendrait comme l’ont annoncé le pape Jean-Paul II ou l’apôtre Jean dans l’  « Apocalypse ». En effet, tous les papes ont connu et connaissent le contenu du troisième message. Mais aucun n’a souhaité l’annoncer au monde, comme la Vierge le leur avait demandé de le faire en 1961.

     

    « Etant donnée la gravité de son contenu, mes prédecesseurs dans l’office de Pierre ont diplomatiquement préféré surseoir à sa révélation. Beaucoup veulent savoir seulement par curiosité et par sensation, mais ils oublient que la connaissance porte également avec elle la « responsabilité ». A tous les chrétiens, il peut suffire de savoir ceci : s’il existe un message où il est écrit que les océans inonderont des régions entières de la Terre et que, d’un moment à l’autre, périront des millions d’hommes, est-ce le cas de tant désirer la divulgation d’un tel secret ? » Interview de Jean-Paul II  lors de son pélerinage en Allemagne (Revue « Stimme des Glaubes »).

     

    Le pape François le fera t-il ? Celui même dont le nom est cité à la fin du 3ème message et qui annonce partout et tout le temps le martyre du denier pape, sa mort, la 3ème guerre mondiale et la fin de son règne en 2017. Dès son intronisation, au balcon de la basilique, il demande aux croyants de prier pour lui. Depuis son élection un 13 mars 2013 (l’apparition de Fatima eut lieu un 13 mai), il demande systématiquement de « prier pour lui ». C’est devenu sa façon habituelle de clore ses messages. Lors de conférences de presse, il annonce sa mort, que « tout cela durera deux à trois ans, et puis, à la Maison du Père ! », ce qui porte à 2017 cette mort, date qui correspond également au centenaire de l’apparition de Fatima. Le Pape François a annoncé qu’il se rendrait à Fatima pour le centenaire des apparitions. François, 112ème pape (voir la prophétie de Malachie), premier jésuite élu (voir la prédiction de Nostradamus sur le « Capuchon Noir »), ne ménage pas sa peine et ses voyages pour rétablir la paix dans un monde en guerre. Dans le collimateur : la bombe atomique et les ventes d’armes.

     

    « Notre monde est en guerre. Il s’agit d’une guerre non conventionnelle, disséminée, par morceaux, avec des crimes, des massacres, des destructions (..). Je le répète, nous vivons la troisième guerre mondiale, mais fragmentée (..). Quand je parle de guerre, je suis sérieux : il y a une guerre des intérêts pour l’argent, pour les ressources de la nature, il y a des guerres pour la domination des peuples, voilà la guerre ! Certains pourront penser que je suis en train de parler de guerre des religions, mais non : toutes les religions veulent la paix (…) Il y a des systèmes économiques qui doivent faire la guerre pour survivre. Alors on fabrique et on vend des armes. Ainsi, les bilans des économies qui sacrifient l’homme sur l’autel de l’argent réussissent à se rétablir. »

     

    Sur ses pages Facebook et Twitter, le pape François ne cesse d’avertir les hommes, de désigner les responsables et de fournir le remède. Il est intervenu à Cuba comme en Syrie. Tout comme en 1961, lorsque Kennedy et Kroutchov furent invités au Vatican pour éviter une guerre nucléaire : « La paix est le rêve de Dieu. C’est le projet de Dieu pour l’humanité, pour l’histoire. Dans le combat entre Dieu et l’Ange déchu, l’année 2017 sera sans doute une étape marquée par le discours du pape François du 13 mai 2017 à Fatima pour le centenaire. S’il y arrive sain et sauf.

     

    Interview de Pierre Barnerias :

    [youtube id= »Wp_KbnlqBhc » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

     

  • La robe de Marilyn vendue aux enchères

     

     

    New-York, Madison Square Garden, 19 mai 1962. Une blonde pulpeuse ôte son manteau blanc d’hermine pour se dévoiler moulée dans une robe incroyable couleur chair, avant d’entonner avec sensualité, face aux 15 000 invités, aux caméras et aux yeux ébahis des téléspectateurs du monde entier, un « Happy Birthday » pour les 45 ans de son amant qui n’est autre que le président des Etats-Unis, John F. Kennedy. Trente secondes entrées dans la légende et qui auront suffi à déclencher une pluie de rumeurs au sujet de la liaison entre la star et le président. Le ton intime de la chanteuse et sa façon de marquer l’arrêt avant de prononcer le « Mr President », sussuré, presque soupiré, ont enflammé le public.

    De couleur chair, brodée de 2 500 cristaux, la robe avait été cousue à même le corps de l’actrice peu avant qu’elle n’entre en scène. Elle épousait parfaitement son corps voluptueux, ne supportant aucun sous-vêtement. Marilyn voulait « faire son effet » ce jour-là. Elle avait commandé cette robe au couturier Jean Louis, précisant qu’elle voulait que ce soit « une robe historique ». Sans doute avait-elle un peu forcé sur une quelconque boisson alcoolisée pour se donner du courage. Ce même courage qu’il a fallu à Jackie Kennedy pour encaisser cet affront public mondial. Dès le lendemain, elle prend son téléphone pour appeler la star et lui passer un sacré savon. Trois mois plus tard, Marilyn décédait d’une overdose de barbituriques. Elle aurait eu 90 ans cette année. L’année suivante, le président Kennedy était assassiné.

    Cette robe sera mise aux enchères le 17 novembre 2016 à Los Angeles par la maison Julien’s Auction pour une valeur estimée entre 2 et 3 millions de dollars. Elle sera exposée avant la vente, pour les petits chanceux qui passeraient dans le coin, du 25 septembre au 22 octobre, au centre d’art Mana Contemporary à Jersey City dans le New Jersey, puis du 29 octobre au 6 novembre en Irlande au Museum of Style Icons de Newbridge et enfin du 11 au 19 novembre à Los Angeles chez Julien’s Auction. Elle avait déjà été vendue une première fois en 1999 chez Christie’s à l’homme d’affaires et financier Martin Zweig pour la somme de 1,3 million de dollars. Celui-ci étant décédé, les gestionnaires de son héritage ont décidé de la remettre en vente. Une autre de ses robes iconiques, celle du film « Certains l’aiment chaud » sera également mise aux enchères l’automne prochain.

     

     

    [youtube id= »EqolSvoWNck » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

     

  • Quand Star Wars rencontre La Mort aux Trousses…

     

     

    Un hybride entre La Guerre des Etoiles et La Mort aux Trousses ?

     

    Les internautes en rêvaient, le vidéaste Fabrice Mathieu l’a fait. Ça n’est pas tous les jours que l’on peut voir Cary Grant se faire mitrailler, dans un champ désert (celui de Tatooine), par les canons-laser d’un X Wing… Nombre de parodies Star Wars détournent l’imaginaire du space-opera en l’intégrant au quotidien le plus trivial (voir à ce titre la mini-série « Chad Vader », où le mythique Vador bosse dans une supérette) mais « Darth by Darthwest » se joue de façon plus cinéphile des échos que se font inconsciemment les grandes oeuvres de la culture populaire.

    Un pastiche d’une vraie cohérence : « La Mort aux Trousses » est une pièce maîtresse pour qui souhaite comprendre la mécanique du film hollywoodien à grand spectacle, de la saga des James Bond jusqu’à celle des « Mission:Impossible ». En 1959, Hitchcock a initié ce que l’on nomme le « Summer Blockbuster », dictant ainsi les règles narratives de ces grosses machines qui chaque été envahissent les multiplexes. Star Wars, le succès historique de l’été 1977, a donc bel et bien sa place à l’intérieur du classique hitchockien…

    Clément Artbrun @ Les Inrocks

     

     

     

     

  • Macro surréaliste de liquide tourbillonnant par Thomas Blanchard

     

     

    « The Colors of Feelings » de Thomas Blanchard est une vidéo expérimentale sur le mouvement circulaire des fluides. C’est aussi une analogie aux émotions comme la colère, l’amour, la tristesse et la joie. Tout se mêle dans un tourbillon.

    Cette composition visuelle a été créée à l’aide de peinture, d’huile, de lait, de miel et de cannelle.

    Ce travail s’inspire de celui de Ruslan Khasanov.