Catégorie : Expositions

  • Daido Moriyama | Printing Show

     

     

    « À La Carte » : vendredi 5 février de 16h à 22h
    Tarif Unique : 60€. Réservation  ici

    En 1974, Daido Moriyama réalise à Tokyo son premier atelier participatif de fabrication de livre qu’il intitule « Printing Show ». Dans le cadre de l’exposition « Daido Tokyo » à la Fondation Cartier, les Soirées Nomades en organise la cinquième édition sous le titre « À La Carte ».

    Performance éphémère, le « Printing Show » offre au visiteur l’expérience de réaliser son propre livre : chacun est invité à sélectionner 40 images parmi les 60 proposées par Daido Moriyama et en définit l’ordre afin de créer son exemplaire unique. Sur place, les pages sont imprimées et assemblées avec une couverture sérigraphiée ; le livre est ensuite signé par l’artiste dans l’effervescence d’un atelier animé par le bruit des photocopieurs en marche.

    « Lorsque je signe les livres, je regarde la première page et je me dis : Ah, cette personne a choisi cette image ! J’ai l’impression de connaître ses goûts et son caractère sans pourtant ne rien savoir de son quotidien ou de son travail. […] J’aime beaucoup cette idée. Je pense qu’il existe, grâce à la photographie, un moment de communication avec celui ou celle qui se tient devant moi à ce moment là. » (Daido Moriyama)

    © Daido Moriyama Photo Foundation

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Daido Moriyama Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Daido Moriyama @ Polka Galerie

     

     

     

  • Salon de la Métamorphose des Matériaux 2015 (12ème Edition)

     

     

    La Halle des Blancs Manteaux est un ancien marché couvert du XIXème siècle, devenu en 1992 un espace d’animation appartenant à la mairie du 4ème Arrondissement de Paris. D’abord demeure privée du gouverneur militaire de Paris, le marquis François d’O, au XVIème siècle, puis racheté par des religieuses en 1656 et transformé en hospice pour les pauvres, l’ancien hôtel particulier fut acquis en 1811 par la ville de Paris, par décret sur ordre de l’empereur Napoléon.

    Depuis 20 ans, cette halle est un lieu d’art qui accueille de nombreuses expositions. C’est au cœur du Marais que durant 15 jours, 60 artistes peintres, sculpteurs, photographes et designers vont exposer leurs créations sur le thème du recyclage de matériaux. Ainsi, le Salon de la Métamorphose des Matériaux est devenu en douze éditions le rendez-vous incontournable des vacances de Noël. Les créateurs récupèrent, détournent, transforment et osent. Les réalisations sont à la fois originales, innovantes, curieuses et surprenantes. Toutes débordent d’imagination : lampes, sculptures de vieux papiers, détournement du métal, les artistes rivalisent de créativité.

    Jean-Michel Bliard est l’un d’eux. Sculpteur multi-matériaux et artiste plasticien, il crée des meubles design contemporains, comme cette armoire-console « Dolmen Gold » en aluminium poli et laque lapilazulli. D’abord peintre, puis restaurateur de vieilles voitures de sport de collection durant quinze ans, il se lance en 2005 dans l’aventure de la création de mobilier. Lauréat du Prix de la Relève en 2006 et 2008 par les Ateliers d’Arts de France qui récompense les artisans d’art en début de carrière, Jean-Michel Bliard est considéré aujourd’hui comme un prodige des métiers d’art.

     

    QUAND

    ✓ 21 Dec 2015 – 03 Jan 2016 – Entrée libre et gratuite
    ✓ Ouverture à 18h le 21 décembre : vernissage de 18h à 22h
    ✓ Ouverture tous les jours à partir du 22/12/15 mêmes les 25/12/15 et 01/01/16 de 11h à 20h

    Halle des Blancs Manteaux
    48 rue Vieille du Temple
    Paris,  75004
    France

     

     

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] La Métamorphose 2015

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Jean-Michel Bliard

     

     

     

  • Rétrospective Garry Winogrand au Jeu de Paume

     

     

    Le Jeu de Paume consacre au photographe américain Garry Winogrand (1928-1984) sa première rétrospective depuis vingt-cinq ans. Célèbre pour ses instantanés noir et blanc dressant un vibrant portrait des Etats-Unis des années 1950 au début des années 80, Winogrand est sans conteste l’un des maîtres de la photographie de rue, au même titre que Walker Evans, Robert Frank, Lee Friedlander ou William Klein.

    Pourtant, l’analyse de son oeuvre, particulièrement prolifique, et de son influence dans l’histoire du médium, reste lacunaire. Disparu brutalement à 56 ans, Winogrand n’aura pas eu le temps de rattraper le retard pris dans l’archivage, le développement et le tirage de ses photographies… Près de 65 000 pellicules et planches contacts, soit quelque 250 000 clichés, restent alors inexploitées.

    Cette rétrospective réunit ses images les plus emblématiques, ainsi que des tirages inédits, puisés dans les archives en grande partie inexplorées de la fin de sa vie. Elle offre une vue d’ensemble rigoureuse de son parcours, et embrasse, pour la première fois, la totalité de sa carrière. Chroniqueur de l’Amérique d’après-guerre, témoin de son siècle, à l’égal d’un Norman Mailer ou d’un Robert Rauschenberg, Winogrand se fait la voix d’une nation fragilisée, oscillant entre doute et espoir. La fin du rêve américain, en quelque sorte…

    Commissariat : Leo Rubinfien, Erin O’Toole et Sarah Greenough

    Exposition coproduite par le San Francisco Museum of Modern Art et la National Gallery of Art de Washington

    > A l’occasion de l’exposition, un catalogue monographique de référence est édité. 448 pages, disponible en versions française et anglaise. Coédition Jeu de Paume / SFMoma

    > Acheter le catalogue : http://www.librairiejeudepaume.org

     

     

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Le Jeu de Paume

     

     

     

  • Paris Photo | Grand Palais | Novembre 2014

     

     

    La 18ème édition de Paris Photo accueillera au Grand Palais, du 13 au 16 novembre 2014, 143 galeries et 26 éditeurs d’ouvrages photographiques. Paris Photo est la première foire internationale d’art consacrée à la photographie.

    Artistes, galeristes, collectionneurs, professionnels, curieux et passionnés, se retrouvent chaque automne autour d’une programmation ambitieuse et exigeante, mettant l’accent sur la diversité et la qualité des artistes et des œuvres présentées par les galeristes :

    La Collection Privée présente le rôle pionnier joué par des collectionneurs privés qui, animés par leur passion et leur persévérance, rassemblent des œuvres maîtresses ou révèlent de nouvelles approches.

    – L’exposition Acquisitions Récentes présente quant à elle les nouvelles collections de photographies d’institutions internationales invitées.

    – L’exposition Livre Ouvert souligne l’importance du livre dans l’histoire du medium photographique.

    Pour rendre compte de la vitalité du secteur du livre de photographie, Paris Photo, en partenariat avec la Fondation Aperture, a créé les « Paris Photo – Aperture Foundation Photobook Awards », remis chaque année au sein de la Foire. Les catégories pour 2014 sont : « Premier livre », « Livre de l’année » et « Catalogue de l’année ».

    La Plateforme de Paris Photo, dirigée chaque année par un commissaire invité, offre au public conférences, entretiens, tables rondes et performances.

    Grand Palais
    Avenue Winston Churchill
    75008 Paris

    Horaires d’ouverture :

    • Jeudi 13, vendredi 14 et samedi 15, de 12h30 à 20h00
    • Dimanche 16, de 12h30 à 19h00

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Liens externes » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Paris Photo Official

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Grand Palais

     

     

  • Exposition Sade | Attaquer Le Soleil – Musée d’Orsay (du 14 octobre 2014 au 25 janvier 2015)

     

     

    « Combien de fois, sacredieu, n’ai-je pas désiré qu’on pût attaquer le soleil, en priver l’univers, ou s’en servir pour embraser le monde ? » (Les Cent vingt journées de Sodome, 1785)

     

    A compter du 14 octobre 2014, le Musée d’Orsay consacre une exposition au Marquis de Sade, en réunissant dans ce lieu prestigieux des peintures, sculptures, objets et diverses photographies, tout en ponctuant ce parcours initiatique de citations de Sade qui viennent dialoguer avec les oeuvres exposées.

    Alphonse Donatien de Sade (1740-1814) a bouleversé, sans pour autant l’avoir conceptualisé de son vivant, l’histoire de la littérature, comme plus généralement celle des arts, avant de devenir un véritable mythe après sa mort.

    Le « Divin Marquis » passa le tiers de son existence enfermé, avant de mourir obèse et malade en 1814, et son oeuvre fut condamnée à la censure, la clandestinité et l’oubli, jusqu’à sa réhabilitation en 1957.

    C’est finalement son patronyme qui sauvera probablement le Marquis de l’oubli éternel, après sa mort, et jusqu’à la reconnaissance ultime de son influence sur les arts que constituera la parution de ses oeuvres complètes à la Bibliothèque de la Pléiade en 1990. Quant au néologisme « sadisme », il apparait pour la première fois en 1834 dans le Dictionnaire Universel de Boiste comme « aberration épouvantable de la débauche : système monstrueux et antisocial qui révolte la nature ».

    De « Justine » aux « Cent-vingt journées de Sodome », l’oeuvre de Sade met en exergue une liberté et une audace sans doute jamais atteintes par aucun autre auteur, des fantasmes vécus jusqu’aux limites, un style énergique et puissant, et bien entendu la beauté de la langue française, en remettant en cause de manière radicale les questions de limite, de proportion et de débordement, les notions de beauté, de laideur, de sublime, et l’image du corps. En débarrassant de manière radicale le regard de tous ses présupposés religieux, idéologiques, moraux, sociaux, Sade nous amène à nous questionner sur les raisons qui ont pu nous pousser à nous débarrasser de toutes ces thématiques pendant plus de deux siècles…

    En préambule à cette exposition, David Freymond et Florent Michel nous livrent leur vision de l’écrivain, en réalisant ce clip magnifique.

    En ce qui me concerne, c’est de Sade que me vient cette addiction immodérée aux bonbons à l’anis…

     

     

    [youtube id= »z4eDdjIiIaI » align= »center » mode= »normal » maxwidth= »900px »]

     

     

    [kleo_divider type= »full » double= »no » position= »center » text= »Pour aller plus loin » class= » » id= » »]

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Musée d’Orsay

    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] La Pléiade

     

     

  • Making Peace | Lieu d’Europe (Strasbourg)

    Making Peace | Lieu d’Europe (Strasbourg)

     

     

    Présentée sur les grilles du Lieu d’Europe à Strasbourg jusqu’au 30 novembre 2014, et organisée par le Bureau International De La Paix, l’exposition « Making Peace » illustre par l’intermédiaire de 124 photos les principes fondamentaux nécessaires à une paix durable.

    À travers ces œuvres engagées, l’exposition a avant tout pour but de rendre hommage et d’encourager chaque citoyen à agir pour un monde meilleur.

    En 2014, « Making Peace » est exposée également à Sarajevo, à Bâle et au Cap.

     

     

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    [kleo_icon icon= »link » icon_size= »large »] Making Peace